Wednesday, August 30, 2006

A propos de la messe de Lille (29/08/1976)

(Légende : où se trouve cette église à la foule semblable à 1000 autres chapelles tradilandaises ? Aquitaine ? Bavière ? Wisconsin ? Valais ? L'architectre du bâtiment donne la réponse : Nouvelle-Zélande...)
Lille, 29 août 1976. L’un des étés les plus chauds du siècle touche à sa fin. Chaud sur le plan climatique : frappée par la canicule, la France étouffe. Il n’a pas plu depuis près de trois mois. Chaud sur le plan sportif : après avoir écrasé le championnat, l’AS Saint-Etienne est tombée avec les honneurs en finale de la Coupe des Clubs Champions contre le Bayern de Munich voir Le Libre Arverne n°187). Chaud sur le plan politique : le Premier Ministre, un jeune loup ambitieux du nom de Jacques Chirac, trahit le Président Valéry Giscard d’Estaing après avoir trahi Chaban-Delmas deux ans plus tôt. Il est remplacé à Matignon par sa rondissime suffisance Raymond Barre, promu le Joffre d’une économie dont il sera le Gamelin… Sur le plan religieux, les esprits sont également échauffés. Le mois d’août fut une véritable démonstration de force du catholicisme de tradition. Plus d’un millier de catholiques de traditions assisteront à la messe du 15 août à Lanvallay (Côtes-du-Nord), 500 à Lametz (Ardennes) où l’abbé Mouroux prononcera ces mots qui résumeront tout le combat pour la Vraie Messe : « Nous sommes entrés maintenant dans une lutte titanesque entre l’Eglise catholique et l’Eglise conciliaire »… Deux mois plus tôt, le 29 juin, Monseigneur Lefebvre avait ordonné 15 prêtres, ce qui lui valut une suspense a divinis. Conclusion logique d’une longue persécution initiée le 13 février 1975. Suite à une inspection à Ecône le 13 novembre 1974 agissant sans mission officielle, Mgr Lefebvre fut convoqué dans une sorte de tribunal maoïste présidé par le Cardinal Garrone qui le compara à Athanase et le traita de fou, comme l’était au même moment Plioutch en URSS… Le 9 mai 1975, l’Evêque de Fribourg, Mgr Mamie, avait voulu de par son bon vouloir supprimer la Fraternité Saint-Pie X créée avec la bénédiction de son prédécesseur Mgr Charrière le 1er novembre 1970, décision frappée au bas mot de dix cas de nullité. La tension montait crescendo, entretenue par les médiats. Quelques temps auparavant, l’un des pionniers de la Tradition, Paul Scortesco, dissident roumain, avait été retrouvé brûlé vif dans son lit, probablement assassiné par la Securitate.

En ce jour de la décollation de Saint Jean-Baptiste, Mgr Lefebvre célébra une messe dans les locaux de la Foire Commerciale de Lille devant 10.000 personnes venues non seulement de toute la France, mais aussi de toute l’Europe occidentale. Son sermon, applaudi par les fidèles, fustige la dérive de l’Eglise. Cependant, il révèle aussi l’homme d’exception qu’était le prélat. De sa voix douce que les habitués des retraites de Saint Ignace connaissent bien, il déclara : « Je ne veux point être le chef des traditionalistes, et je ne le suis point. Pourquoi ? Parce que je suis, moi aussi, un simple catholique, certes prêtre, certes évêque, mais qui suis dans les mêmes conditions dans lesquelles vous vous trouvez et qui ai les mêmes réactions devant la destruction de l’Eglise, devant la destruction de notre Foi, devant les ruines qui s’accumulent sous nos yeux ». Il évoqua le sénateur Prélot : « Nous (les libéraux) avons lutté pendant un siècle et demi pour faire prévaloir nos opinions à l’intérieur de l’Eglise, et nous n’y avons pas réussi. Enfin est venu Vatican II et nous avons triomphé. Désormais les thèses et les principes du catholicisme libéral sont définitivement et officiellement acceptés par la Sainte Eglise ». Ce fameux libéralisme condamné par le Syllabus du regretté pape Pie IX. Fort d’une conviction à déplacer les montagnes, l’ancien Archevêque continua : « ce qu’a fait la Révolution n’est rien à côté de ce qu’a fait le Concile Vatican II » « Cela a été le summum de la victoire du démon de détruire l’Eglise par obéissance ». La presse, y compris le très mondain Figaro s’en prend à Mgr Lefebvre. Le journaliste prétend lui donner une leçon de catéchisme. Il s’appelle Dominique Jamet. Il collabore maintenant à Marianne, hebdomadaire intégriste laïc.. C’est dans Le Figaro justement que le 4 août, Mgr Lefebvre déclara « Dans la mesure où le pape s’éloignerait de cette tradition (la tradition vivante de l’Eglise à laquelle le chrétien doit être uni dans l’espace et dans le temps), il deviendrait schismatique. Il romprait avec l’Eglise. Les théologiens comme Saint Bellarmin, Catejan, le cardinal Journet et bien d’autres ont étudié cette éventualité. Ce n’est donc pas une chose inconcevable ». Il déclara même : « L’hérésie, le schisme, l’excommunication ipso facto, l’invalidité de l’élection sont des causes qui éventuellement peuvent faire qu’un pape ne l’ait jamais été ou ne le soit plus ». L’épiscopat français, bouffi d’orgueil, gangrené par l’infiltration maçonnique depuis 1849 et communiste depuis 1935, toise avec mépris ces milliers de fidèles qui pointent du doigt sa trahison. « Seuls quelques intégristes gémissant encore sur le ralliement, constituent les maigres troupes de Mgr Lefebvre. Rome peut frapper », déclarèrent les Evêques au Cardinal Villot. Dans son livre, Monseigneur Lefebvre paru en 1977, Jean-Anne Chalet de l’AFP voyait dans les Traditionalistes un feu de paille qui sera vite éteint. Même analyse en 1988 chez Patrice de Plunkett qui assurait au Cardinal Ratzinger que 80 % des fidèles de la Tradition rallieraient la Fraternité Saint-Pierre.

Trente ans plus tard, quel est le bilan du geste courageux de Monseigneur Lefebvre ? Une génération est passée. Mgr Lefebvre, Mgr Ducaud-Bourget ont été rappelés à Dieu. Les personnes âgées qui en 1976 étaient censées constituer la majorité des fidèles de la Tradition ont quitté ce monde. Paul VI a rendu compte des ses actes devant le Tout-Puissant. Lui succéda Jean-Paul Ier, le Pape probablement assassiné car il aurait été celui de la réconciliation. Puis Jean-Paul II, le marrane infiltré qui, après 25 ans de Pontificat était devenu un Janus à deux visages, la Grâce sanctifiante faisant son œuvre. Désormais, la barque de Saint-Pierre est entre les mains de Benoît XVI, qui semble revenir des errances modernistes. Si la Tradition était telle que la dépeignaient ses ennemis, elle aurait disparu depuis longtemps, comme une flamme meurt lentement faute de combustible. Or, c’est plutôt l’église conciliaire qui s’écroule à vue d’œil. Au commencement, la Tradition était une petite flamme vacillante au sommet d’une bougie. Des hommes et des femmes prenant leur destin en main, cherchant dans toute la France des églises où pouvoir pratiquer leur foi, des écoles pour leurs enfants. Il n’y avait que des ruines : quelques vieux prêtres, deux seules écoles vraiment catholiques (Malvières pour les filles, La Péraudière pour les garçons). Alors ils bâtirent et financèrent, ne ménageant ni leur temps, ni leurs forces, ni leur argent. Des bonnes écoles, des séminaires, des chapelles, des prieurés… Ce fut la génération des années 77-88, la génération combattante. Mais il vient un moment dans toute « guerre éclair » où l’on doit s’occuper de l’arrière : recompléter les unités éprouvées, maintenir la cohésion entre l’avant-garde et l’arrière-garde et consolider les positions. On ne pouvait plus se contenter de corps de fermes, de hangars aménagés à la va-vite. Ce fut l’époque où les chapelles furent construites ou achetées, où la Tradition s’enrichit de quatre évêques, où le réseau d’écoles, de prieurés, de chapelles couvrirent la France entière. Les enfants de la génération précédente étaient devenus adultes. Le fossé s’est de plus en plus creusé avec le reste du pays. Privée de plus en plus de surface sociale, la Tradition a perdu de sa richesse financière. Mais elle a une autre richesse, qui supplante aisément la précédente : ses enfants. Les vieux « tradis » de 1975 en avaient un peu plus que le reste du pays : 3. Entre 1980 et 2005, l’indice de fécondité des femmes de la tradition passa de 4 enfants par femmes en moyenne à 7 (6,9 exactement). D’où dynamisme des écoles et des vocations. Moins de revenus et plus d’enfants, c’est la mort progressive de l’esprit bourgeois. Ce fut la génération des années 88-02, la génération fortifiante. 2002 marqua une nouvelle fracture entre la communauté traditionaliste et le reste du pays. Le terme de Tradiland naquit. Un peuple s’est constitué, véritable « communauté immigrée » dans ce qui fut jadis leur pays. L’explosion du Front National et l’aggiornamento de Marine Le Pen amena leur quasi-retrait de la sphère politique française le seul lien qui leur restait. Chassés ignominieusement de l’Eglise conciliaire, ils voient le Pape multiplier les offres, chaque fois plus élevées, pour un retour au bercail. Avec leur poids démographique grandissant et l’excellence de leur système, ils pourraient redresser le cap de la nef ecclésiale si Benoît XVI leur donne un statut similaire à l’Opus Dei c’est-à-dire extra-diocésain et nous permettant de garder intact notre patrimoine. Une fois ceci fait, le dernier obstacle à la création d’un pays par nous pour nous sera levé. C’est la génération post-02, la génération re-conquérante.

Sunday, August 27, 2006

A propos du colonel Argoud

Sonnerie aux morts. Le colonel Antoine Argoud, ancien de l’OAS, est décédé le 10 juin 2004 à l’âge de 89 ans. Né le 26 juin 1914 à Darney (88), ce polytechnicien (promotion 1934) avait choisi l’arme blindée dont il fut l’un des plus brillants officiers, notamment lors de son passage à l’état-major du maréchal de Lattre de Tassigny. En 1954, il invente la « brigade Javelot » rattachée à la 7e division (Besançon) et dont l’emblème était un centaure lançant un pilum. Cette division de l’armée française devait intervenir en Allemagne en cas d’invasion soviétique en tant qu’unité de deuxième vague et était dotée de la Force de Frappe à l’échelon tactique (la force de frappe stratégique, stationnée au plateau d’Albion dans le Vaucluse, était protégée par la 150e DI), d’où nécessité de la protéger.

Pendant la guerre d’Algérie, le colonel Argoud fut sous les ordres du général Massu décédé récemment (voir Le Libre Arverne n°2). Il développa les «techniques d’action psychologique » qui lui permirent d’acquérir une renommée mondiale, puisqu’elles sont encore enseignées dans les écoles d’officier de l’armée américaine et qu’elles connurent même la consécration littéraire puisqu’elles servirent de trame à la bande-dessinée La Zizanie de la série Astérix où ces théories furent employées avec succès par Tullius Détritus et le légionnaire Savantcosinus… Rapidement, il remarque que cette guerre est « un épisode de la lutte entre le monde communiste et le monde occidental ». et met au point un « programme social » pour réconcilier les élites avec l’armée. Renvoyé en métropole par Debré suite à la « journée des barricades », il décide alors de participer à la résistance militaire visant à faire tomber le tyran De Gaulle… Le 26 avril 1961, il arrive à Oran mais apprend que tout est consommé. Condamné à mort le 17 juillet, il se réfugie en Espagne qui est alors le havre des proscrits. Interné aux Canaries, il s’évade et organise une tournée clandestine dans les casernes où beaucoup de jeunes officiers lui accordent leur soutien.

Le 25 février 1963, il est enlevé en Allemagne par trois célèbres mafieux que l’on retrouvera plus tard lors de l’affaire Ben Barka : Georges Boucheseiche, Jean Palisse et Julien Le Ny. Tous connaîtront une fin tragique suite à l’affaire en question : Boucheseiche et Le Ny seront liquidés par la police marocaine sur ordre de Dlimi en 1971… Torturé pendant 15 jours par la police politique gaulliste, il sera remis ensuite à la police nationale. En décembre 1963, il est condamné à la prison à vie. Le 24 juillet 1968, il est gracié par un De Gaulle prêt à n’importe quoi pour se protéger de quelques apatrides chahuteurs… Il rentrera dans les Vosges à pied, passant par Colombey-les-deux-églises au grand déplaisir de son bourreau qui voulait lui en interdire l’accès… Sans ressources, car le colonel de réserve a privé les amnistiés de leurs décorations et de leurs pensions, il devient expert graphologue au tribunal de Nancy, étant consulté d’ailleurs lors de l’affaire de la noyade du petit Grégory.

En guise de testament, il disait quelques semaines avant d’aller rejoindre les oies sauvages : «La France est perdue à vue humaine. La faiblesse de la natalité en constitue la cause essentielle. Le chaos qui s’est installé dans la société en France n’est que le résultat de l’absence des trois facteurs essentiels à sa survie : la dénatalité, l’absence totale d’autorité et l’absence d’une morale publique ». Mon colonel, la France est morte et c’est Dogol/De Gaulle qui l’a tuée. Ma génération, celle qui est née après 68, s’est réveillée un matin en découvrant qu’on lui avait caché la mort de sa vraie mère, remplacée par une marâtre. Maintenant que nous sommes condamnés à vivre d’espoir dans l’attente d’un nouveau pays qui sera la France sans êtes la France tout en l’étant quand même, nous pouvons donner libre cours à notre identité culturelle. Nous n’avons plus rien, sinon nos rêves et nos espérances. Alors mon colonel, je ne puis vous donner que cela. Notre nouvelle patrie tradilandaise vous honorera : une académie militaire, un régiment, un département de guerre psychologique, une avenue… nul ne sait encore ce qui portera votre nom. Mais votre mémoire, notre mémoire, sera honorée. Colonel Antoine Argoud ? Présent !

A propos de l'affaire des Fiches

(Légende : mal marié à une intrigante, le naïf Syveton paiera de sa vie son combat contre la racaille maçonnique)
Tout le monde connaît l’Affaire Dreyfus, du nom de cet officier israélite accusé d’espionnage au profit de l’Allemagne et qui, suite à une campagne de presse virulente lancée par de puissants financiers liés à lui par liens de sang, sera blanchi bien que des doutes sérieux planent sur son innocence (voir Le Libre Arverne n°10). Mais jamais la propagande du régime ne rappelle ce qui a été une affaire bien plus grave car ayant brisé la vie de familles entières : l’Affaire des Fiches. Sous la tyrannie anti-chrétienne de la IIIe République, des centaines d’officiers ont été chassés de l’armée, bloqués dans leur avancement, parfois réduits à la misère la plus noire pour le seul crime d’être catholique ou d’avoir une femme se rendant à la messe… Et pour étouffer ses manigances, le gouvernement maçon et laïcard ira jusqu’à tuer à deux reprises pour faire définitivement taire ceux qui avaient révélé la vérité. Comme dans toutes les affaires de fuite, c’est la rancœur d’un homme, en l’occurrence un haut dignitaire maçonnique, qui va précipiter l’affaire. Furieux de s’être vu refuser une promotion interne à la Secte à laquelle il estimait avoir droit, Jean-Baptiste Bidegain, ancien catholique renégat, va prendre contact avec un député nationaliste, Gabriel Syveton. Prêt à assouvir sa vengeance contre ses F\, il va remettre à l’élu les fameuses fiches qu’il a été dérober dans les coffres de la mafia à peau de goret.

La nature des documents est saisissante. Il s’agit de véritables fiches de délation qui, au mépris de leur « déclaration des droits de l’homme » visaient à persécuter les gens en fonction de leurs opinions politiques et de leurs convictions religieuses, rédigées généralement en des termes orduriers. Les motifs d’exclusion des promotions sont ahurissants : une femme qui va à la messe, un officier qui assiste à la première communion de son fils, des enfants scolarisés chez les jésuites voire même une vocation dans la famille et adieu la promotion… Quand il n’y a pas de « preuves » du supposé non-laïcisme de l’accusé , on salit sa vie privée par des ragots d’autant moins vérifiés qu’ils sont faux : joueur, pédophile, prévaricateur, les délateurs maçons ne manquent pas de qualificatifs pour attribuer aux autres leurs propres turpitudes. Autre système typiquement républicain pour museler l’adversaire, la fameuse notion de « trouble à l’ordre public » qui peut tout aussi bien interdire aux prêtres de porter la soutane dans la rue, une librairie nationaliste d’ouvrir ses portes, un historien dissident d’enseigner ou, dans le cas présent, un officier catholique d’être promu.

C’est le 4 novembre 1904 et les jours qui vont suivre que le scandale va véritablement exploser. Syveton gifla le général André, ministre de la Guerre à l’origine de l’affaire et protégé du sinistre général de Galliffet, en pleine Chambre des Députés. Quelques jours plus tôt, le 28 octobre, Jean Guyot de Villeneuve avait interpellé André à la tribune et lu publiquement plusieurs de ces fiches. Immédiatement, le triangle de détresse fut effectué au sein du Parlement et le gouvernement nia dans un premier temps avoir eu connaissance de ces agissements, mais, devant l’abondance des preuves, promit de faire cesser ces pratiques. Aux abois, les spadassins du régime utilisèrent leur arme secrète : la propre femme de Syveton qui assassina son mari le 8 décembre 1904 et maquilla le meurtre en suicide, au moment même où ce dernier allait se rendre une nouvelle fois à la Chambre pour porter l’estocade au gouvernement. Le régime avait paré le coup avec ses méthodes habituelles…

Il est intéressant de comparer les évolutions des différents protagonistes de l’affaire. Dans le camp des délateurs, le général Percin livra Lille aux Allemands en 1914, le capitaine Mollin disparut en Afrique, le colonel Valabrègue sera limogé par Joffre en 1915, pareil pour le commandant Bernard qui fit preuve de son incompétence à Ypres, le lieutenant-colonel Sarrail échoua lamentablement dans l’Argonne et fut privé de tout commandement en 1917, le capitaine Humbert sera arrêté pour haute trahison en 1918 et acquitté à la minorité de faveur en 1919… Bidegain se suicida en 1926. De l’autre côté, Guyot de Villeneuve fut assassiné en 1907 par un infirmier F\… La plupart des officiers protégés par les maçons se révélèrent tellement nuls que Joffre, pourtant F\ lui aussi, les limogea fin 1914 et promut les officiers catholiques cassés par le régime. En quelques mois, ces derniers montrèrent de telles qualités dont on avait privé la patrie qu’ils grimpèrent la hiérarchie en un temps record : 14 des 19 officiers qui, de août à décembre 1914 furent promus deux fois, avaient été cassés par le général André. Parmi eux, Pétain, de Maud’hui, d’Urbal, de Mitry, Cadoudal, Fayolle… Tous firent une guerre des plus glorieuses !

De très nombreux enseignements sont à tirer de cette Affaire des Fiches. Le premier est que la République nous considère comme des sous-hommes. Comme pour tous les crimes de la Gueuse contre les catholiques, la réponse a été la même : c’est regrettable, on ne le refera plus. Pas un pardon, pas un travail de mémoire, pas la moindre indemnisation. Pire, le système des Fiches continua jusqu’en 1912 au moins et reprit ensuite après-guerre jusqu’en 1940. Mais cette fois, la France ne s’en releva pas. Le second, est que toute négociation avec la République, sous quelque forme que ce soit, est à proscrire. Il faut avoir à l’esprit que tout combat contre la gueuse est un combat à mort. Son attitude lors de l’Affaire des Fiches est symptomatique. Elle a joué le pourrissement de la situation, endormi les catholiques avec de fausses promesses qu’elle n’a évidemment jamais tenues, comme par exemple réintégrer dans le grade qu’ils méritaient les officiers discriminés. Il ne faut jamais, sous aucun prétexte, négocier avec les partisans de la République. Ils nous ont toujours trahis, n’ont jamais, à aucun moment, respecté la parole donnée, que ce soit à Quiberon, lors de l’affaire des Fiches, en 1919, lors de l’affaire du Grand Bornand et quelques autres encore. A méditer pour l’avenir. Quand ils nous tendent la main, c’est qu’ils sont aux abois et que l’autre main dissimule un poignard.

Wednesday, August 23, 2006

A propos de l'URSS

(Légende du dessin : Affiche sur le péril bolchévik en Europe. Le sacrifice de l'Allemagne le 22 juin 1941 sauva la moitié du continent)

Le deuxième numéro de la revue de notre camarade Jean Plantin est digne de la première livraison. Si le premier numéro avait une forte connotation « nippone », le second est plutôt consacré à la Russie avec des articles de Mark Weber (Etats-Unis), Mykhailo Seleshko (Ukraine-Canada) et Daniel Michaels (Etats-Unis), plus des articles de Pierre Guillaume sur un tout autre sujet : son amitié passée avec un certain Lionel Jospin. Le premier article concerne un sujet tabou d’entre les tabous : la collaboration massive de la communauté juive avec l’horreur communiste qui commence par l’assassinat de la famille impériale (on y apprend notamment que les jolies petites princesses ont été achevées à la baïonnette). La décision avait été prise conjointement par Lénine et Sverdlov. S’en suit des preuves accablantes, noms et faits à l’appui, sur le rôle joués par les juifs dans la barbarie communiste. Ensuite, un épais dossier de 58 pages sur les charniers de Vinnista où 20.000 personnes, essentiellement de jeunes hommes ukrainiens mais aussi des jeunes filles, ont été exterminés, ordre du commissaire politique Levitski et de Kagan, un proche de Staline lui aussi juif. Le but était d’éradiquer totalement toute résistance en Ukraine en exterminant les forces vives de la nation. A l’échelon de la ville, l’extermination était exécutée par Abramovitch et son adjoint Rosenbaum. Le NKVD local, la section de sûreté et la section spéciale étaient également dirigés par trois fils d’Israël : Sokolinski, Chyrin et Tomtchynski. Détail sordide, les cadavres féminins dans la fosse étaient habillés pour les plus âgées… mais nus pour les plus jeunes ce qui laisse aisément deviner leur sort. On découvrir même lors de l’ouverture des charniers en 1942 le cadavre d’une femme enceinte qui, enterrée vivante, avait accouchée dans la fosse. Les Juifs ukrainiens qui n’avaient pas fui avec l’armée rouge paieront leurs crimes de 1941 à 1944… Les articles suivants évoquent le plan de l’invasion de l’Europe par l’URSS prévue pour le 15 juillet 1941 (initialement, elle était prévue pour le 12 juin, mais fut repoussée, ce qui sera fatal au plan stalinien). On y apprend que Staline avait mobilisé son armée dès 1939 et surclassait l’Allemagne dans tous les domaines, y compris la marine. Les Soviétiques alignaient plusieurs milliers de chars lourds contre… 309 chars moyens pour les Allemands, 5 corps d’armées parachutistes contre 2 divisions, 13.000 avions contre 2.500, 6 fois plus de canons et l’aide américaine depuis les accords secrets de 1938 ! Le 22 juin 1941, l’Allemagne s’est sacrifiée pour notre liberté. Ne l’oublions jamais.

A propos de l'esclavage

(Légende : tableau de 1866 représentant un marché aux esclaves en terre d'Islam. 1,25 millions de femmes et d'enfants européens furent ainsi enlevés et vendus. Les derniers cas remontent à 1962 en Algérie...)
Il est bon, en ces temps de mensonges historiques institutionnalisés, de faire un bref et utile rappel historique sur le phénomène de l’esclavage, notamment sur la traite négrière. Les Européens n’ont joué qu’un rôle d’épiphénomène dans cet esclavage qui était majoritairement organisé par les Juifs. 5 Juifs étaient à bord des navires de Colomb. C’est l’un d’entre eux, Gabriel Sanchez, qui - avec l’aval des quatre autres – fit capturer 500 Indiens pour les revendre à Séville. Expulsé d’Espagne, les Juifs partirent aux Pays-Bas et fondèrent la Compagnie hollandaise des Indes Occidentales dont le premier négrier fut Hayman Levi, précurseur du commerce triangulaire. Il fut surpassé en « génie » par ses coreligionnaires Nicholas Löwe et Joseph Simon qui, à Newport, créèrent un réseau de 22 distilleries, vendant le rhum aux Indiens et aux colons, se rendant responsables des massacres commis par ces derniers, ivres-morts… Newport devient une ville juive, la plaque tournante du trafic d’esclaves dont ils avaient le quasi-monopole eux et leur flotte de 128 vaisseaux, notamment ceux d’Aaron Lopez qui, de 1726 à 1774, contrôlait à lui tout seul 50 % du marché et ce sont ses coreligionnaires Sandiford Lay, Salomon, Benezet et Woolman qui essayèrent, sans succès, d’imposer l’esclavage dans les Etats du nord. Parmi les esclavagistes juifs, notons un certain Matthias Bush en Pennsylvanie au 19e siècle et John et Jacobus Rosenfeld, qui n’avaient pas encore fait changer leur nom en Roosevelt… En France, le principal esclavagiste était un certain Mendes, qui prit le nom de Mendès-France pour se différencier du reste de la tribu restée au Portugal, qui fut condamné par la justice de Louis XVI à libérer sur-le-champ deux esclaves noirs qu’il avait amené en Europe. Il serait temps que les Juifs indemnisent les Noirs pour ce génocide de même façon que les Allemands les ont indemnisés… Il ne faut pas croire que les Juifs avaient le monopole de l’esclavage : si ces derniers ont amené près de 11 millions de Noirs en Amérique, leurs demi-frères arabes en ont amené tout autant là où le croissant musulman flottait. Ce sont 17 millions de Noirs qui auraient été déportés de 650 à 1920, plus d’un million et demi mourant dans le transport. Un sujet sur l’esclavage qu’il faudrait avoir le courage d’aborder, surtout à l’heure actuelle, c’est celui commis par les Musulmans à l’encontre des peuples d’Europe occidentale : selon l’historien américain Robert Davis, 1,25 million d’Européens de l’ouest ont été capturés et vendus comme esclaves par les actuels habitants du Maghreb. Déjà, à la Renaissance, on écrivait : « Le mois de juin suivant (1529) douze Galères & quelques Fustes de Mores s’estant arrétées plusieurs jours aux isles d’Hieres, firent de grands pillages sur tous les navires chrétiens qui passaient par là », puis ils attaquèrent La Napoule qu’ils brûlèrent et dont ils firent tous les habitants prisonniers et l’année suivante, ils « fourragerent toust le terroir de Toulon et d’Hieres jusqu’à La Valette, emportant meubles, bestiaux, hommes, femmes, enfans pour en recevoir rançan ou pour les vendre ». Ce passé jamais expié pèse encore actuellement dans les relations entre Français et Maghrébins, notamment dans le domaine des viols ethniques (les filles blanches sont considérées comme des « putes à harem », ce qui explique la complicité générale des beurettes dans ces tournantes) ou du racket (les Gaulois sont méprisés, la tradition des Barbaresques se transmettant de bouche à oreille, la civilisation arabe étant généralement orale, et sont considérés comme tout juste bons à être rançonnés, légalement ou non…). Finissons cet utile devoir de mémoire par un exemple personnel. Un camarade de promotion ivoirien prenait un jour un café avec moi car nous devions travailler ensemble. Une négresse d’Amérique, en manteau de fourrure, vint parler à son frère de race et voyant qu’il était d’Afrique et non Afro-américain, elle lui lança dédaigneuse : « Vous les noirs d’Afrique, vous êtes des singes à peine descendus de vos arbres ». L’Ivoirien, c’est le cas de le dire, entra dans une colère… noire et tança l’impudente : « Qui es-tu pour me parler ?Vous les noirs d’Amérique vous êtes une race d’esclaves. Là-bas, vous êtes tout juste bons à être les esclaves des Blancs et avant, vous étiez nos esclaves à nous car c’est nous qui vous avons vendus aux Blancs, ne l’oubliez pas, vous étiez nos esclaves avant d’être les leurs». In negro veritas…

A propos de la Nuit de Cristal

(Légende de la photo : le célèbre magasin d'art munichos Bernheimer fut protégé durant la Nuit de Cristal par les SS sur ordre d'Hitler. L'Allemagne paiera cher le coup de sang de Goebbels qui prit prétexte d'un sordide réglement de comptes d'un couple gay pour lâcher les SA sur les Juifs. Il y gagna la haine de Goering...)
Le 9 novembre 1938, éclatait la Nuit de Cristal où, encadrée et excitée par une poignée de SA qui agissaient sans ordres, une part du peuple allemand s’en est violemment prise aux intérêts juifs suite à ce qui a été à leurs yeux la provocation de trop… Suite à l’assassinat de l’attaché d’ambassade Ernst von Rath le 7 novembre par Herzl Gryspan (un juif de 17 ans l’ayant officiellement confondu avec son supérieur) qui faisait suite à la destruction par attentat du dirigeable Hindenburg et par la prise d’assaut du Bremen par des extrémistes juifs dans le port de New York, des SA encouragés par Goebbels incitèrent au pogrom. Notons que la version officielle arrangeait tout le monde, mais il semblerait qu’il n’y ait pas eu confusion. La victime avait bien été tuée par le jeune Juif en parfaite connaissance de cause, sans erreur sur l’identité de celle-ci. D’après des recherches actuelles (et qui ne viennent pas, mais alors pas du tout, des milieux révisionnistes…), le fringuant diplomate allemand avait été purement et simplement assassiné par son jeune amoureux juif pris d’une crise de jalousie… Il est intéressant de noter que Goebbels, probablement le plus antisémite des chefs nazis, est le seul responsable de ces dérapages, comme l’a prouvé David Irving. Göring parlera le 10 novembre de « violence infâme ! ». Hitler alla personnellement en Bavière pour faire cesser le pogrom et fit protéger par l’armée certains commerces juifs de Munich, comme Bernheimer (marchand d’art). Le même jour, le petit docteur dût subir le courroux successif d’Hitler et de Göring. Le 12 novembre, en plein conseil des ministres, Göring jugea ces pogroms préjudiciables à l’économie allemande. Le bilan était lourd : 35 juifs lynchés, 190 synagogues endommagées, 7.500 magasins pillés (le pillage de Margraf, le célèbre joaillier juif de Berlin coûta au Reich 1,7 million de marks !). Le simple verre des vitrines que seule la Belgique produisait fit plonger de 6 millions de marks le commerce extérieur allemand. «Rien que ça suffirait pour vous coller le dos au mur ! » hurla Göring à Goebbels. En représailles, 20.000 Juifs furent arrêtés (mais les anciens combattants de 14-18 ne furent pas concernés) et la communauté dût verser une amende de 1 milliard de marks… A la mi-septembre 2003, 10 militants de formations qualifiées par les médiats de « néo-nazies » ont été interpellés avec un arsenal jugé par la police allemande comme « le plus important depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale ». Ces « terroristes » avaient, toujours selon la police, projeté d’assassiner le 9 novembre le Président allemand Johannes Rau, le chef de l’exécutif bavarois Edmund Stoiber et plusieurs dignitaires juifs qui assistaient à la pose de la pierre de fondation d’une synagogue. Comme le dit le journaliste dissident américain « Terrible Tommy » : « Pourquoi en envoyer une douzaine forcément infiltrée quand un Palestinien peut faire ça tout seul ? ». Au même moment, un « mémorial de l’Holocauste » connaissait bien des déboires : l’entreprise Degusda qui avait participé à la construction des 2.700 stèles de béton censées commémorer les « millions de juifs européens victimes de la barbarie nazie » avait commercialisé l’insecticide « Zyklon B », inventé par le juif Fritz Haber (inventeur également du gaz moutarde, Prix Nobel 1918, chassé d’Allemagne en 1933). Cet insecticide était massivement utilisé pour désinfecter les vêtements pleins de vermine des détenus pour juguler les épidémies de typhus, la propagande de guerre alliée accusant le Reich d’avoir utilisé ce gaz à des fins d’extermination de masse, tâche pour laquelle il n’était pas du tout approprié…

A propos du colonel de réserve De Gaulle

(Légende de l'affiche : De Gaulle "général (en réalité colonel de réserve) micro" : après la phony-war ("jeu de mot anglais à la fois "guerre phonique" et "guerre bidon", traduction de notre "drôle de guerre"), le phony-warrior.
La vérité fait peur aux zélotes du pouvoir. L’arme ultime de ce régime aux abois, c’est la censure, que ce soit sur la question de l’immigration-invasion ou sur la Seconde Guerre Mondiale. Le malandrin qui tente de dire la vérité est immédiatement lynché financièrement, cassé professionnellement… Récemment, c’est une autre imposture liée à la Seconde Guerre Mondiale qui vacille sur ses bases : De Gaulle en personne. Le diable portant souvent pierre, c’est l’un de nos pires ennemis, Georges-Marc Benamou, qui, pour de strictes raisons de commerce international (voir Le Libre Arverne n°54) s’est senti obligé de tirer sur l’usurpateur… Immédiatement, la presse juive, essentiellement Le Figaro Magazine et Marianne, s’est précipitée au secours de celui qui a tant servi la cause d’Eretz Israël avant d’être lourdement châtié en 1968-1969 pour sa seule infidélité… Dans le journal de Dassault, homme qui pourtant avait voulu éliminer de Gaulle en 1962 (il avait été le principal bailleur de fonds de l’OAS via un certain Giscard d’Estaing qui lorgnait sur Matignon…), un énorme dossier de 16 pages sur le personnage : « De Gaulle, que reste-il de la légende ? » sous l’égide de… F\ Max Gallo, brossant un portrait à l’eau de rose de l’immonde personnage. Homme de toutes les trahisons, de tous les reniements, l’homme qui a détruit la France est devenu une sorte d’icône… Il faut le rappeler, le hurler, le seriner jusqu’à épuisement : De Gaulle s’est rendu aux Allemands comme un lâche à Douaumont en 1916 et il lui faudra toute la protection de Pétain pour ne pas être considéré comme déserteur. Il a subi une défaite écrasante à Moncornet en 1940 que ses services de propagande ont transformé en victoire, la vraie victoire étant celle d’Arras où l’armée britannique a mis en déroute une unité d’élite de la SS : la Totenkopf ! Il est parti à Londres en mission et n’y est resté que parce que les Anglais, ayant besoin d’un deux étoiles quelconque, avaient saboté son avion pour l’empêcher de rentrer. Il n’est resté général que quelques semaines, la décision du 22 juin 1940 signé du ministre de la Guerre de la IIIe République (et non de Vichy), le mettait à la retraite avec le grade de colonel de réserve. Il a falsifié en 1943 son livre Vers une armée de métier, y ajoutant les considérations sur l’arme blindée qui le font passer pour visionnaire. Il a rétabli en 1944 l’ignoble décret Crémieux qui nous a fait perdre la confiance des Arabes. Il a laissé, parfois encouragé, les communistes à massacrer 97.000 à 150.000 personnes de 1944 à 1946. Il a livré les Harkis aux bouchers du FLN. Il nous a fait perdre l’Algérie et l’Empire après avoir menti aux Pieds-Noirs… Il a retiré la France de l’OTAN pour aider l’URSS qu’il a toujours admirée. Il a livré, sous couvert de « modernisation » l’économie française aux cartels mondialistes apatrides (voir le livre d’Henry Coston, Les Financiers qui mènent le monde)… En 1968, comme en 1916, 1940, 1946, il a fui courageusement comme un larron devant l’adversité, se réfugiant éploré dans le treillis de Massu, implorant l’aide de l’armée contre quelques jeunes braillards qu’il obtiendra au prix de l’humiliante amnistie des résistants de l’OAS… Dans Marianne du 3 novembre, c’est JFK lui-même qui monte au créneau : « Nouvel attentat contre le général De Gaulle » qui est une volée de bois vert contre son coreligionnaire et ancien ami Benamou. Et d’appeler à son secours rien de moins que le fanatique trotsko-sioniste Vidal-Naquet, spécialiste de la Grèce antique et docteur sans thèse, ce qui le rend effectivement apte à parler de la Seconde Guerre Mondiale et de la Guerre d’Algérie, lui l’ancien collabo du FLN. Avec son élégance coutumière, il déclare : « ce livre est une merde » et accuse Benamou d’avoir « largement gonflé » le chiffre des harkis tués, alors qu’il n’a fait que donner les chiffres officiels que tout le monde connaît. Toujours cet éternel négationnisme de l’anti-France. Benjamin Stora, de la même tribu, prétend qu’on n’a « rien caché » sur la guerre d’Algérie, ce qui fait sourire… Toujours dans la même ethnie, Pierre Joxe, le fils du criminel, de celui qui fut le «Papon » du génocide Harki, fulmine : « on fait le procès des artisans de la paix ». Même son de cloche chez Mesmer qui, bien sûr ressort les arguments éculés de la haute finance apatride sur le fait qu’on ne pouvait pas garder l’Algérie et minimise son rôle et celui de Joxe sur le génocide Harki. On est en droit de se demander : pourquoi la juiverie se cramponne-t-elle à un De Gaulle comme la corde soutient le pendu ? La réponse est très simple : parce que De Gaulle (dont Armand Bernardini, l’éminent (et ô combien insupportable) érudit spécialiste d’onomastique jurait mordicus dans le n° 7 de L’Ethnie française de janvier 1943 que son nom venait de l’hébreu Dogol, « qui se glorifie ») n’avait rien à refuser à la Synagogue, à tel point que Le Franciste du 23 juin 1941 le brocardait ainsi : « De Gaulle s’appellera désormais : de Galilée ! ». Rétablissement du décret Crémieux, présence au gouvernement des Blum, Debré, Joxe, Chaban, Neuwirth, Foccart…, soutien sans faille à l’URSS financée par la banque Warburg, destruction planifiée du petit commerce au profit des trusts… Il faut appliquer avec un zèle extrême la « jurisprudence Vichy » et éradiquer la lèpre gaulliste avec ses propres armes. Tout d’abord, il faut reconnaître juridiquement le génocide allemand de 1945-1950, le génocide harki et le communisme comme idéologie ayant commis des crimes contre l’humanité. Ensuite, montrer la collaboration de De Gaulle avec ces trois faits désormais imprescriptibles. Ensuite, le reste tombera tout seul : le nom de De Gaulle sera voué aux gémonies et celui qui a empoisonné l’âme française pendant trente ans retournera dans les poubelles de l’histoire dont il n’aurait jamais dû sortir…

Tuesday, August 22, 2006

A propos de la théosophie

(Légende de la photo : le symbole de la secte luciférienne des Illuminés de Bavière a été placée sur les billets américains en 1935 par Henry Morgenthau, le père du génocide allemand)
A quel personnage de la mythologie peut-on comparer les journalistes de la presse dissidente ? Certains diront Hercule, à cause du nettoyage des écuries d’Augias. En fait, notre tâche est plutôt à comparer à celle du pauvre Sisyphe qui, puni par les dieux pour sa trop grande intelligence, devait éternellement hisser un rocher en haut d’une montagne, rocher qui retombait immanquablement…C’est un peu la tâche qui est la nôtre dès qu’il est question du fascisme et de la Seconde Guerre Mondiale. Dans Le Figaro du 2 octobre 2003, Emmanuel Le Roy Ladurie (de l’Institut) parle d’Helena Blavatsky, la célèbre luciférienne créatrice de la Théosophie (secte dont furent membres notamment Gandhi, Jung, Martin Buber, Bakounine, Trotsky, Lénine, Isadora Duncan, Theodor Reuss) et qu’il hisse au rang de mère spirituelle du nazisme. Rien de moins. Voici donc le rétablissement de la vérité historique pour les lecteurs du Figaro qui ne le liront jamais. D’origine juive et cousine du comte de Witte représentant du Tsar lors de la paix russo-japonaise de 1905, Helena Petrovna Blavatsky (1831-1891) est connue pour avoir fondé une secte appelée « théosophie » en 1875 dont le but est « d’effacer le christianisme de la surface de la Terre » et prônant le culte d’Isis en symbiose avec la Golden Dawn, cette association qui effectivement joua un rôle dans le nazisme en manipulant le pauvre Rudolf Hess et dont la famille Bush est membre. Elle sera notamment une proche du F\ Giuseppe Garibaldi, qui n’est pas précisément une référence du fascisme, en compagnie des tristement célèbres F\ Adriano Lemmi, l’un des grands penseurs du mondialisme avec F\ Albert Pike et F\ Giuseppe Mazzini… Voyons l’œuvre qu’elle a laissée : en 1881, S\ Annie Besant-Wood (1847-1933), son héritière en 1891, rejoindra la Democratic Federation fondée par les marxistes Henry Mayer Hyndmann et Eléonore Marx (la fille de Karl, épouse du théosophe Edward Aveling). Elle a notamment déclaré dans Inquire within the Light bearers of darkness en 1930 : «Si vous voyez l’un de nous travailler pour un mouvement particulier dans le monde, sachez que cela fait partie du plan mondial, et ce grand plan est : un nouveau ciel et un nouvelle terre édifiés sur les ruines de l’ancienne civilisation ». Besant a aussi été membre de la Fabian Society, un groupe visant à créer un régime socialiste, technocratique et mondialiste à l’échelon mondial, créé le 4 janvier 1884 et qui joue un rôle déterminant dans la formation des élites à Oxford, Cambridge, Harvard, Columbia, Johns Hopkins, London School of Economics…Viendra ensuite la troisième grande prêtresse, Alice Bailey (1880-1949). Elle fondera le Lucifer Trust, devenu le Lucis Trust en 1922, logé actuellement à Genève dans les locaux du Congrès Juif Mondial et qui regroupe des organismes officiellement hors de tous soupçons tels la Findhorn Fondation, le World Wild-life Foundation, Greenpeace, Amnesty International et collabore de manière très proche avec d’autres associations (Le Libre Journal n°203, 10 mars 2000). Le Lucifer Trust (devenu Lucis Trust en 1922) a pour but avoué la destruction de l’humanité. Et non seulement, il n’y a aucun lien entre le LT et le fascisme, mais justement, on y trouve les pires ennemis du national-socialisme : la ploutocratie US et le communisme soviétique… Parmi les financiers du culte luciférien, on trouve la Fondation Rockefeller, le rabbin Mark Tannenbaum du Congrès Juif Américain (venu donner ses ordres lors de Vatican II), le président d’IBM, Robert Mac Namara, les théosophes, la famille Field… En 1947, l’UWF (United World Federation) fut fondée par le banquier James Warburg (de la fameuse banque qui finança l’URSS) et son coreligionnaire Norman Cousins, membre du Lucis Trust. De même, Blavatsky avait des conceptions anti-nazies et anti-fascistes sur le domaine de la famille. Là où le IIIe Reich et le régime mussolinien prônaient les familles nombreuses, Blavatsky était acharnée du « contrôle des naissances », le sinistre Planning Familial étant l’une des créations de sa secte par le biais de sa disciple Margaret Sanger (contreairement à ce que l'on a cru, Sanger est irlandaise, c'est son mari qui était juif), le tout financé par la Fondation Rockefeller… membre du Lucis Trust !! Sa disciple Besant prônait la destruction de la famille traditionnelle. Bailey, la troisième larronne, prônait avortement, limitation de la famille, manipulation génétique et euthanasie… On voit que ce cher vieux Le Roy Ladurie s’est quelque peu trompé et que non seulement Blavastky n’a rien de fasciste, mais qu’elle est totalement impliquée dans le modèle de société prôné par les vainqueurs en 1945… Il est vrai qu’associer Blavatsky au fascisme permet d’éluder la vraie question : qui a appliqué les délires de Blavatsky, qui s’en est fait écho ? La réponse est claire : ceux-là même qui ont gagné la Seconde Guerre Mondiale. Et c’étaient les nazis et les fascistes qui l’avaient gagnés, ça se saurait…

A propos de l'amiral Rögge


(Légende : comme Lewinski von Manstein et Milch, les origines juives de Rögge ne l'empechèrent pas de devenir l'un des officiers préférés de Hitler. Il servit le régime avec une fidélité jamais prise en défaut).
D’une haute tenue intellectuelle, cette revue historique non-conformiste dirigée par notre confrère Balbino Katz, donne une large place à l’Allemagne. Pour commencer, un article très intéressant sur le meilleur officier de marine du IIIe Reich, le commandant Bernhard Rogge, un juif fidèle à son pays. Se heurtant à la crasse imbécillité d’un petit apparatchik local, le Kreisleiter (assimilable à un conseiller général) d’Eutin, Rogge demanda la protection du Führer par le biais de l’amiral Räder. Le chef d’état allemand somma le petit chefaillon de canton d’arrêter immédiatement toute forme de discrimination contre Rogge qui avait prouvé qu’il était peut-être juif de religion mais avant tout allemand de cœur. Hélas, l’épouse de l’officier n’avait pas résisté psychologiquement et s’était suicidée… Atterré mais comprenant qu’il avait été victime d’un pauvre abruti, Rogge fut d’une fidélité irréprochable à son pays, comme Milch, comme Lewinsky von Manstein, comme Heydrich, comme les 25 généraux juifs, comme les 150.000 soldats juifs de la Wehrmacht… Né le 4 novembre 1899, volontaire dans la Kriegsmarine de Guillaume II dès l’âge de 16 ans, il devient aspirant de marine sur le Moltke en 1916. Il servit la République de Weimar comme il avait servi le Kaiser et, en 1937, le régime hitlérien lui confia le commandement du plus beau navire à voile du monde : Albert-Leo Schlageter (du nom d’un résistant allemand fusillé par les Français en 1923 dans la Ruhr), qui navigue toujours actuellement (c’est le Sagres de la marine portugaise après avoir été le Guanabara brésilien de 1948 à 1960). Sûr de la fidélité de son officier, Hitler lui confia en 1939 le commandement du cargo Goldenfels qui devait être transformé en croiseur auxiliaire. D’emblée, Rogge sauve son navire en faisant effacer le terme « Hilfskreuzer II » peint en gros sur la coque !!! Rebaptisé Atlantis, le navire prit la mer. Le 22 octobre 1940, il prit le cargo yougoslave Durmitor. L’odyssée de ce dernier et de son équipage de prise jusqu’au port de Warsheik (Somalie italienne) mériterait un livre entier. Le 8 novembre, il s’empare du pétrolier norvégien Teddy mais sa plus belle prise fut sans doute le cargo anglais Automedon capturé le 11 novembre 1940 : dans le coffre-fort du navire, rien de moins que le plan de défense anglais de Singapour, les codes de la marine marchande anglaise, l’organigramme des forces armées anglaises en Extrême-Orient, et une cargaison de valeur : avions et automobiles en pièces détachées, whisky, cigarettes, produits médicaux, microscopes… De sa « base arrière » des Kergelen, l’Atlantis multiplia les missions et y enterra son premier mort : le quartier-maître Bernahrd Herrmann, mort accidentellement le 29 décembre. Le 8 décembre 1940, Rogge apprit que Hitler le faisait Chevalier de la Croix de Fer. En avril 1941, le navire avait coulé ou capturé 16 navires ennemis. Le 17 avril 1941, l’Atlantis attaque par erreur un paquebot égyptien, le Zamzam : n’ayant pas été informé de sa vente à l’Egypte, Robbe avait bien reconnu… le transporteur de troupes Leicestershire qu’il était encore en 1940 ! Bien qu’il n’y a eu que trois blessés graves, l’incident fut médiatisé par un journaliste américain présent à bord, David Scherman. La propagande alliée put ainsi à loisir gloser sur « la barbarie nazie » et prêter à Rogge des crimes imaginaires, comme en 1914-18 et comme en 1945… La croisière de l’Atlantis finit le 22 novembre 1941, quand il fut coulé par le croiseur anglais Dunedin. Rapatrié en Allemagne, Robbe fut nommé contre-amiral en 1943, puis vice-amiral en mars 1945. En 1957, la RFA le rappela, le rétrogradant au grade de contre-amiral mais à sa retraite en novembre 1962, il avait retrouvé ses étoiles et était même devenu le commandant des forces de l’OTAN en Allemagne du Nord. Il s’éteignit couvert de gloire le 29 juin 1982, dans le port de Hambourg…

Aventure de l’Histoire hors-série n°9 – Editions Didro – BP 209 – 91941 COURTABOEUF – 10,95 € port compris

A propos de l'assassinat de Kennedy

(Légende de la photo : Dallas, ton univers impitoyable...)

Dans son numéro du 22 octobre 2003, l’hebdomadaire à sensation accuse le président Lyndon Johnson d’avoir fait assassiner le président Kennedy à Dallas. C’est la dixième théorie sur le sujet après le KGB, les anticastristes, l’extrême droite, la Mafia (hypothèse la plus probable), les militaro-industriels, Cuba, le FBI, la CIA et les Illuminatis… Cette nouvelle thèse est l’œuvre de deux employés de Canal Plus, William Reymond et Bernard Nicolas qui ont tourné un film, JFK, autopsie d’un complot. Sur le détail technique de l’attentat , il n’y a aucune nouveauté : le film amateur tourné par Abraham Zapruder montre que la balle qui a touché Kennedy est venue de face et non de dos comme l’a prétendu la version officielle et donc qu’il n’y a pas eu un tueur mais deux. Personne ne l’a nié, ce fait est inclus dans toutes les théories sur la mort de Kennedy, celles qui font intervenir des tueurs à gages comme celle avancée dans Le Livre jaune n°5 qui accuse le chauffeur de Kennedy, William Greer, d’avoir assassiné le Président qui – selon la thèse développée – voulait rendre public les documents de l’organisation Majestic 12 comme l’avait voulu faire en 1949 l’amiral Forrestal « suicidé » dans la chambre de l’hôpital où il était interné. Cette « découverte » n’est pas nouvelle. William Reymond l’avait déjà relatée dans un livre paru chez Flammarion en 1998, JFK, autopsie d’un crime d’Etat dont la trame principale avait été publiée dans Le Figaro Magazine du 28 novembre 1998. Dans l’ouvrage collectif que j’ai dirigé, Kennedy, une saga rouge sang, un article de Vittorio De La Rocca démonte la thèse de Reymond qui sent la commande officielle et explique qu’il était dans l’intérêt des mondialistes que l’opinion publique en sache le moins possible sur l’affaire Kennedy : Lee Oswald étant communiste, l’implication de l’URSS aurait pu trouver des arguments, créer une psychose collective et amener la défaite de Johnson aux présidentielles de 1964 face au très anti-communiste et très droitiste Barry Goldwater, dont peu de gens se souviennent qu’il a été le candidat républicain, coincé qu’il est entre les deux investitures de Nixon (1960 et 1968)… Selon Reymond, le tueur de Kennedy, le vrai, serait un certain Malcolm Everett Wallace, un tueur à gages que l’on nous présente comme « proche du vice-président Johnson ». C’est bien gentil comme hypothèse, mais savez-vous comme on appelle un tueur à gages en anglais ? Gun for hire : fusil à louer. Notons la notion de « location » : celui qui paie commande… Un bon tueur à gages n’a pas de client attitré, et si Wallace est l’homme que l’on nous présente, alors il pouvait avoir d’autres clients. A commencer par cette bonne vieille Mafia, qui sait se montrer généreuse avec les fournisseurs des transports fluviaux Charon… Le journal cite le témoignage du docteur Charles Crenshaw, de garde à l’hôpital de Dallas ce jour-là, qui accuse le pouvoir d’avoir procédé au remodelage de la face du Président par le biais de John Ligget. Pourquoi alors avoir liquidé Kennedy ? Il aurait supprimé les avantages fiscaux aux producteurs de pétrole selon ce qu’en dit le milliardaire Billie Sol Estes. Mais pourquoi tuer Kennedy alors qu’ils avaient suffisamment de dossiers compromettants sur lui, notamment ses liens notoires avec la Mafia, pour le discréditer comme ils firent avec son rival républicain Nixon ? Si on réanime l’histoire du « lobby pétrolier texan », c’est qu’il y a une raison valable, surtout à l’heure où c’est l’un d’entre eux, George Bush Jr, qui occupe la Maison Blanche. Il semble probable que Kennedy ait été tué par la Mafia, ou plutôt les mafias : l’italienne et la juive (Kennedy incarnant la mafia irlandaise) à cause de la rupture des accords de 1960 sur « le partage du gâteau » : les premiers ayant jugé l’arrestation de leur homme de main Jimmy Hoffa comme une déclaration de guerre et le fiasco volontairement provoqué de la Baie des Cochons provoqua la fureur de Meyer Lansky qui pouvait dire définitivement adieu à ses bordels et à ses casinos cubains… Sachant que Lee Oswald était communiste et que son assassin, Jack Ruby (ou plutôt Jacob Léon Rubinstein) l’était tout autant – tout en travaillant pour Lansky – on faisait une pierre, deux coups en éliminant le président et en mettant le parti démocrate dans une position délicate : deux communistes impliqués, les soupçons se porteraient sur Moscou et donc feraient planer sur Johnson l’ombre menaçante de Goldwater… Au fait, juste en passant… quelle association est financée par la mafia juive ? les B’naï B’rith. Qui dirige les B’naï B’rith ? Bronfman. Que dirige également Bronfman ? Universal (studio de cinéma, coucou Oliver Stone…) et Vivendi… Qui est filiale de Vivendi ? Canal Plus. Qui est employé de Canal Plus ? Reymond. CQFD… A noter l’éditorial particulièrement risible d’Alain Genestar (pléonasme) sur le mensonge en politique : « Le mensonge est devenu une banalité. Il est pourtant le piège mortel qui menace la politique, ressuscitant les extrémistes de droite et de gauche. Ces croque-morts des démocraties paresseuses ». C’est vrai, mais le mensonge est consubstantiel à la démocratie. Il existe même une loi, la Loi Gayssot, qui oblige à croire à une vérité officielle sous peine de sanctions financières, voire de prison. « La France n’est pas en reste. Un livre à paraître de Georges-Marc Benamou, dont Match se fera largement écho dans les prochaines semaines, dénonce la responsabilité des autorités françaises dans le massacre des harkis en Algérie ». C’est vraiment se moquer du monde : quelles « révélations » peut bien faire Benamou, dont le défunt journal Globe avait été financé sur les fonds occultes d’Elf, sur la question des Harkis ? Rien. Tout ce qu’il peut raconter, on le sait déjà grâce aux livres et brochures du colonel Moinet, du Cercle National des Combattants (dans Torture, vous avez dit torture, on voit des photos du génocide) ou du Bachaga Boualem… Mais n’assistons-nous pas actuellement à une rivalité entre Elf et les compagnies pétrolières américaines pour le contrôle de l’or noir du Sahara ? Ces « révélations » sur les Harkis tombent opportunément pour signaler à Alger : « Soit vous signez en bas du contrat, soit vos « héros » encore en vie vont être accusés de « crimes contre l’humanité » et extradés, à commencer par Bouteflika, ancien commissaire politique de la Wilaya du sud ». Dès 1962, les nationalistes (qui eux ne sont pas vendus à Elf…) avaient évoqué l’horreur du génocide harki. On ne les a pas plus écoutés que lorsqu’ils dénonçaient le Goulag cinquante ans avant Soljenitsyne… La vérité n’est pas dans Paris Match, et encore moins chez Genestar. La vérité est ailleurs : dans la presse dite « d’extrême droite » qui, sur les Harkis, sur Kennedy, sur le passé de Mitterrand, sur celui de Chirac, sur les liens entre islamistes et extrême gauche, sur la Seconde Guerre Mondiale, sur le Goulag et sur le 11 septembre 2001 a tout révélé, bien avant les autres… Saint Jean l’Evangéliste disait : « La vérité rend libre ! ». Nous sommes libres. Nous sommes la vérité, ou du moins une part majeure de celle-ci…

A propos de Pie XII

(Légende : Pape d'une grande piété, auteur de textes splendides sur l'enseignement catholique, le Pape Pie XII (dont la béatification est à l'ordre du jour) a mené la barque de Saint-Pierre dans les moments tourmentés de la Seconde Guerre Mondiale. Sous son pontificat, les communistes exterminèrent des centaines de milliers de catholiques. Son Eglise protégea tous les persécutés, quelles que furent leur religion, leur race ou leurs opinions politiques)

Revoilà dans Le Figaro Littéraire du 9 octobre 2003 le fameux serpent de mer sur la prétendue collaboration du Pape Pie XII à la Shoah. Parmi les contributions, on compte celle d’Alexandre Adler et de Costa-Gravas, deux collaborateurs du communisme anti-catholique et qui de plus sont juif pour le premier, orthodoxe pour le second, deux religions ayant particulièrement persécuté les catholiques au XXe siècle. Bref tour d’horizon des principaux mensonges et erreurs historiques qui se sont glissés ça et là. Philippe Simmonot dans « Un pion d’Hitler ? » multiplie les allusions douteuses et historiquement fausses, avec l’habituel négationnisme de circonstance : négation des crimes de guerre (essentiellement viols) des troupes noires de l’armée française lors de l’occupation de la Ruhr, négation de la haine juive contre les chrétiens enseignée par le Talmud et qui explique que « l’anti-judaïsme » des chrétiens n’est que légitime défense, négation du caractère essentiellement juif du communisme sans lequel on ne peut rien comprendre de la période 1933-1945… De plus, il parle de son silence devant ces juifs de Rome voiturés en camions à destination des camps de concentration. On a entendu plus souvent le Pape protester contre les excès du nazisme que le patron du Congrès Juif Mondial contre les persécutions anti-chrétiennes du communisme… Dans « Retour sur un silence », Gérard Leclerc, lui, continue à colporter des analyses caduques maintes fois démenties, comme par exemple un Pie XI « obnubilé » par le péril communiste et donc moins préoccupé par les nazis. Contre-vérité flagrante : outre le fait que Pie XI a lâché aussi bien les catholiques espagnols (ce que lui rappela opportunément Ribbentrop en 1937…) que les catholiques mexicains, il avait raison de concentrer l’essentiel de son activité à la dénonciation du communisme. Le nazisme ne persécutait que les catholiques qui se mirent au service de Staline pendant la guerre, c’est-à-dire pour ce qu’ils faisaient et non pour ce qu’ils étaient. En URSS, les catholiques étaient persécutés en raison même de leur foi. Le nazisme avait voulu l’éradication du judaïsme en Europe, judaïsme dont l’un des dogmes religieux, massivement appliqué en URSS, est justement l’extermination des chrétiens comme le dicte le Talmud. D’ailleurs, PAS UN JUIF, pas un seul, n’a risqué sa place en URSS pour sauver un chrétien de la déportation vers les camps de la mort en Sibérie et ce, alors que jusqu’en 1939, ils représentaient 40 % des membres du NKVD (alors qu’ils ne représentaient pas 2 % de la population russe !) et 70 % de ses cadres, notamment ceux de la direction du Goulag ! Dans tous les pays qui ont eu le malheur de tomber entre les griffes de l’Armée rouge, les Juifs ont massivement collaboré avec celle-ci en y planifiant à chaque fois l’extermination des chrétiens. Depuis 2000 ans, la guerre menée par le « peuple élu » devenu le « peuple maudit » contre les chrétiens se déroule avec acharnement. Et soutenir l’un des camps, c’est automatiquement s’opposer à l’autre. Dans « L’absolution ? Oui mais… », Alexandre Adler illustre parfaitement ce que je viens de dire. Neveu du fondateur de la sinistre Securitate roumaine (Walter Roman), mais également gendre du sinistre criminel de guerre Kriegel-Valrimont (surnommé « Criminel-Valrimont » député de « Meurtre » et Moselle…), il reproche à Pie XII sa lutte contre le communisme « qui faisait le jeu d’Hitler » ! Dans « Pacelli savait, il s’est tu », Costa-Gravas persiste dans sa haine anti-catholique caractérisée par le film Amen, consacré au mythomane pilleur de biens juifs Kurt Gerstein, disgracié par le régime pour cette raison et prêt à n’importe quoi pour se rendre intéressant, le Vatican ayant infirmé ses délires. Il reproche également au Pape de ne pas avoir soutenu Staline. Finalement, cette série d’articles est très intéressante. Elle montre toute l’offensive des anciens collabos rouges visant à réhabiliter le communisme en temps « qu’adversaire principal du nazisme ». Il n’y a eu aucune épuration en 1989 et le pire peut à nouveau se produire. C’est pour cela qu’il faut inlassablement faire œuvre de devoir de mémoire et prouver, par des témoignages et des documents, que ce n’est pas le communisme qui a fait barrage à « l’horreur nazie », mais le national-socialisme qui nous a sauvés de l’horreur communiste…

A propos de la subversion aux Etats-Unis

(Légende : le colonel cubain Mendoza et son adjoint nicaraguayen regardent avec colère leurs soldats exécutés par des partisans américains dans le Colorado. Le film l'Aube Rouge évoquent des Etats-Unis attaqués par les Soviétiques suite à la réussite du plan de subversion).
Notre correspondant en Californie nous a fait parvenir deux documents, l’un de 1963, l’autre de 2003. Le premier était un plan transmis en 1963 par Albert Sydney Herlong Jr (1909-1995), représentant de la Floride, et indiquant les 45 objectifs communistes aux Etats-Unis, dont une part importante a été réalisée ou est en voie de réalisation. Ces projets communistes couvraient l’essentiel de la vie sociale américaine et on peut remarquer une certaine coïncidence toute protocolaire entre le « Politiquement Correct » et le plan susdit aussi bien sur le plan de la société que des relations internationales… Le projet n°2 visait notamment à détruire l’idée même de résistance américaine en imposant l’idée que l’esclavage communiste serait préférable à la mort nucléaire : le film The Day after basé sur les très douteuses thèses de « l’hiver nucléaire » y a contribué. Le point n°7, faire rentrer la Chine communiste à la place de Formose, a été appliqué en 1971. Le point n°8, qui prévoyait le maintien de la RDA, a été appliqué jusqu’en 1987. Le point n°11 montre les convergences de vues entre mondialistes et communistes : il vise à faire de l’ONU un gouvernement mondial. Les points n°17 et 18 ont été en tout cas appliqués en France : prendre le contrôle de l’enseignement et des journaux étudiants. Les points suivants évoquent une guerre culturelle qui a été totalement réalisée, pas forcément par les communistes staliniens mais plutôt par les trotskistes : s’emparer des postes-clefs à la télé et dans les radios (21), discréditer la culture américaine (22), promouvoir l’art dégénéré (23), promouvoir la pornographie (25), présenter l’homosexualité comme normale et saine (26)… Le point 27 est la reprise de la réunion de l’Ecole des cadres du parti à Moscou en 1935 : infiltrer l’Eglise et y supprimer les Saintes Ecritures (27) et bien sûr promouvoir l’intégrisme laïc à l’école (28). Point peu évident en 1963 mais réalisé oh combien ! : infiltrer le FBI (35), ainsi que toutes professions ayant trait à la psychiatrie afin d’exercer une coercition contre ceux qui seraient contre ce projet en 45 points en les accusant de « pathologie mentale » (rappelons qu’en 1963, on avait aucune connaissance sur le Goulag psychiatrique, preuve de l’authenticité du document) (39). Les derniers points ont été appliqués : destruction de la famille (40), volonté d’enlever les enfants à l’environnement familial en rendant les parents responsables de tous les retards, tares et échecs de l’enfant (41), promouvoir la violence comme solution aux problèmes (42), soutenir les décolonisations surtout si le pays n’est pas prêt à l’autogestion (43), internationaliser le canal de Panama (44) (réalisé sous Clinton sous forme de restitution à Panama) et créer une juridiction internationale visant à supplanter les justices nationales (45). Le 4 août 2003, la lettre d’information Joseph Farah’s G2 Bulletin publie un texte d’Anis Shorrosh, un arabe chrétien immigré aux Etats-Unis en 1967 et originaire de Palestine, ancien d’Oxford, qui dresse une synthèse de la stratégie musulmane à l’horizon 2020 : 1 – imposer une loi réprimant les propos racistes, 2 – promouvoir l’Islam chez les Noirs en évitant de rappeler que «nègre » et « esclave » se disent pareillement en arabe (Abed), 3 – promouvoir médiatiquement l’Islam en l’assimilant au judaïsme et au christianisme, 4 – faire du lobbying électoral en faveur des candidats pro-musulmans, 5 – acheter un maximum d’actions d’entreprises des médiats, de la télé, de la presse et du cinéma afin d’en prendre le contrôle, 6 – brandir la menace d’un embargo pétrolier contre les Etats-Unis, 7 – attaquer judiciairement pour « racisme » toute personne critiquant l’Islam ou le Coran, 8 – faire embaucher des musulmans à la Maison Blanche, investir les professions médicales, informatiques, les associations de parents d’élèves et ouvrir des restaurants arabes (pour s’y réunir clandestinement), 9 – Accélérer la submersion ethnique aux Etats-Unis (100.000 musulmans par an entrés depuis 1961), interdire toute contraception chez les Musulmans, épouser de préférence des femmes américaines pour ensuite les convertir (actuellement 10.000 par an), les répudier au bout de cinq ans et se remarier, 10 – Créer un maximum d’écoles coraniques, 11 – Créer des universités musulmanes, 12 – Laisser la propagande dire que les terroristes ont détourné l’Islam : en fait, c’est l’Islam qui a détourné les terroristes, 13 – Appeler les Américains à la compassion et à la tolérance pour « les immigrés musulmans venus de pays oppresseurs », 14 – Terroriser et désinformer les Américains en multipliant les fausses alertes d’attaques contre les ponts, les tunnels, les châteaux d’eau, les aéroports, les appartements et les centres commerciaux, 15 – Fomenter des mutineries dans les prisons pour exiger l’application de la ch’aria, 16 – Multiplier les associations caritatives dont l’argent servira à financer le terrorisme islamique, 17 – Accroître l’intérêt pour l’Islam sur les campus, 18 – Faire une convention annuelle réunissant les mosquées, les écoles islamiques, les médiats islamiques pour coordonner les plans d’action, 19 – Envoyer des messages d’intimidation à ceux qui critiquent l’Islam et essayer de les éliminer, 20 – Présenter les Musulmans comme des citoyens loyaux des Etats-Unis qui ont le plus fort taux de participation électorale de toutes les minorités aux Etats-Unis… Rappelons à toutes fins utiles que les deux documents en question, tout comme les Protocoles des Sages de Sion, sont des documents apocryphes, dans le sens où ce sont des notes de synthèse qui n’ont pas été réalisées par ceux qui y sont impliqués, mais néanmoins, ces documents sont vrais dans le sens qu’ils ont été réalisés à partir de documents émanant d’eux…

Monday, August 21, 2006

A propos des crimes communistes

(Légende de la photo : camp d'extermination de Nazino. Les détenus y furent abandonnés sans nourriture, sans matériel et sans abris. Quelques années plus tard, les Américains reprendront l'idée).
C’est à un véritable devoir de mémoire auquel s’est attelé notre ami Jean-Charles Letram qui n’est que le nom de plume du dessinateur JC, l’immortel inventeur des deux plus sympathiques saucisses de l’histoire de la BD, la « de souche » Chipo et la Merguez « d’importation »… « Ce numéro est dédié à toutes les victimes non-communistes du communisme » précise-t-il en introduction. Citations, extraits de livres, permettent de montrer l’aspect génétiquement criminel de l’idéologie la plus meurtrière de tous les temps avec l’Islam… En quatre pages, JC réalise le tour de force de faire un tour d’horizon complet des horreurs de cette idéologie de haine puisant ses racines dans le Talmud qui fut le livre de chevet des parents de Oulianov dit Lénine, Mordeshaï dit Marx et Bronstein, dit Trotsky. Remercions au passage JC de citer nos travaux de synthèse (en l’occurrence L’Imposture antiraciste) et de rappeler les citations abjectes des Malraux, Brecht, Aragon dont les noms souillent encore trop de rues et d’établissements scolaires français… Tout d’abord, citant Courtois, Hoffmann et Soljenitsyne, il rappelle que le crime de masse et le crime contre l’humanité occupent une place centrale dans le fonctionnement du système soviétique, que Lénine et Staline ont procédé à l’élimination sociale et physique de tous ceux qu’ils suspectaient de vouloir s’opposer à leur domination, qu’ils ont instauré le système des camps de concentration et que Staline a été un plus grand criminel que Hitler... Viennent ensuite les témoignages : la directive de Lénine d’août 1918 demandant de pendre les paysans non-communistes, la description des massacres d’Astrakhan en mars 1919 (5.000 personnes des classes bourgeoises et 4.000 ouvriers et soldats mutinés noyés et fusillés en une semaine), les charniers découverts en Estonie en janvier 1920 à Rakvere et Dorpat, et Reval (Tallinn) avec la barbarie coutumière des Juifs de la Tcheka : officier aux épaulettes clouées sur les épaules, archevêque Platon congelé vivant, prisonniers dépecés à la hache… Ensuite, on lit le témoignage poignant du héros Kravchenko, cet Ukrainien qui, dans J’ai choisi la liberté, a évoqué le génocide de son peuple en 1932-1933… Ensuite, un autre témoignage sur les convois de la mort en avril 1933 amenant les victimes du racisme social talmudique entre les agglomérations et le camp de la mort de Nazino où 6.000 personnes furent abandonnées sans nourriture, ni outils, ni habitations et moururent tous de faim. Ensuite, un témoignage sur les massacres commis par les éléments juifs de la Tcheka dans la ville ukrainienne de Vinnista en 1937 où 30.000 personnes furent exterminées. La population locale se vengera cruellement de ses bourreaux lors de la libération de la ville par les troupes allemandes… Ensuite, un extrait d’un jugement du NKVD sur Vassili Sidorov, né en 1893 à Setchevo et arrêté le 13 février 1938 pour avoir évoqué les crimes de Staline et les purges. Condamné à mort le 16 juillet 1938 pour « propagande contre-révolutionnaire caractérisée par des propos défaitistes », il sera fusillé le 3 août 1938, sa famille dépouillée de tous ses biens et sera réhabilité à titre posthume le 24 janvier 1989. Puis, rappel du massacre des officiers polonais non seulement à Katyn (4404 morts) mais aussi à Piatichatki (3896 morts) et Miednoje (6287 morts). Il y a également un témoignage sur la Roumanie, notamment les tortures infligées par la Securitate fondée par Walter Roman (l’oncle d’Alexandre Adler) aux opposants, notamment menées par un certain lieutenant-colonel Turcanu, criminel devenu bourreau communiste, qui s’acharnait sur les étudiants chrétiens, probablement pour complaire à ses maîtres hébraïques et un autre témoignage sur le camp de la mort de Lovetch en Bulgarie. Bref, un rappel indispensable de l’horreur rouge, pour que personne n’oublie.

FFI n°31 – octobre 2003 – 2 €

A propos des noyades de Nantes

(Légende du dessin : les noyades de Nantes furent un moment horrible du génocide Vendéen. Bien rares furent les Justes qui tentèrent de s'y opposer. La veulerie de la population nantaises s'y révélera. Ville bourgeoise enrichie par l'esclavage, Nantes est toujours un bastion de gauche.)
Marie Rambure, née Marie de Sainte-Hermine, avait 16 ans lors de l’Holocauste du peuple vendéen. Elle a raconté son histoire dans un livre Une Famille de brigands en 1793, que les enfants de la laïque ou même du privé sous contrat ne liront sans doute jamais… Ils ne sauront donc jamais qu’il y a deux cent ans, dans la prétendue « patrie des droits de l’Homme », des centaines de milliers de femmes et d’enfants ont été exterminés parce qu’on les accusait d’être des « cléricaux » et des « réactionnaires », c’est-à-dire d’être ce qu’on appelle aujourd’hui des « extrémistes de droite » et des « intégristes catholiques », et que les « Républicains » se sentent probablement disposés à recommencer puisque les noms des tueurs révolutionnaires sont encore donnés à des rues, des stations de métro ou des établissements scolaires. Elle raconte la libération de son village par les royalistes, la virée de Galerne, la capture de sa sœur Geneviève à Fougères et son audacieuse libération par son mari, le comte Arthur de Sérant… Réfugiée à Nantes, Marie fut aux premières loges pour assister aux massacres commis par Carrier et les forces républicaines et à la veule passivité des Nantais (Nantes est d’ailleurs toujours un bastion de gauche…) avant d’être à son tour faite prisonnière avec sa mère, sa sœur et son petit neveu Louis, encore bébé (qui mourra en prison faute de soins). Un des rares Justes républicains qui se compromirent pour aider les catholiques persécutés, le jeune capitaine Charles Rambure, fit tout pour sauver des vies humaines. Apprenant par le petit Tonio, un enfant enlevé par des bohémiens que la famille de la comtesse de Sérant avait délivré et adopté (et qui deviendra l’abbé Antoine de Sérant), que la marquise de Saint-Hermine et ses deux filles allaient être noyées dans la Loire, il tenta avec le général Marceau de les délivrer. Carrier n’autorisa qu’une seule rescapée, ce sera la jeune Marie qui, en 1797, épousera son sauveur… Montant progressivement en grade, colonel de l’armée d’Italie, Charles Rambure fut promu général de division et nommé Grand-Aigle de la Légion d’Honneur après la bataille d’Austerlitz en 1805 avant de mourir en héros à la bataille d’Auerstaedt le 14 octobre 1806 aux côtés du maréchal Davout, son fils – devenu capitaine dans les Chevaux-légers – tombant lui aussi lors de la conquête de l’Algérie. Ce gros livre, qui a le mérite d’être un témoignage authentique et non une commande du Shoah-business, est essentiel pour le devoir de mémoire. Tout catholique digne de ce nom doit le lire et se souvenir que pour nous autres, la République n’a apporté que misère, mort et discrimination.

Marie de SAINTE-HERMINE, Une famille de brigands en 1793, Editions du Choletais – 20 € - ISBN : 2-902502-92-8

A propos des Tyskerbarnas

(Légende de la photo : Chanteuse du groupe ABBA, la norvégienne Anne-Frid Lyngstad avait fui avec sa mère en Suède pour échapper aux persécutions infligées aux enfants nés des amours germano-norvégiens).


Les plus âgés de nos lecteurs se souviennent d’un groupe de pop suédois des années soixante-dix appelé Abba, dont l’élément de charme était la chanteuse Anna-Frid Lyngstad. En réalité, elle n’était pas suédoise, mais norvégienne. Plus exactement, sa mère était norvégienne et son père était allemand. Elle a été victime de la politique de persécution systématique des enfants nés des amours entre des soldats allemands en garnison et des Norvégiennes. Ces enfants, appelés les « Tyskerbarnas » ont été martyrisés pour le seul crime d’avoir eu un père allemand, avec la complicité de la CIA et du gouvernement norvégien. Au nombre de 12.000, ces enfants conçus dans les Lebensraum, centres d’aides et d’accueil pour filles-mères où parfois les soldats allemands, notamment les SS, venaient prendre femme, ont été victimes de la haine populaire savamment entretenue par le tombereau de haine tombé sur l’Allemagne après 1945.Née en 1942, Harriet von Nickel, une de ces enfants, raconte comment un groupe de villageois de Bursr ont essayé de la violer alors qu’elle avait 9 ans et lui ont gravé une croix gammée sur le front avec des clous. Trois ans plus tôt, un homme l’avait jetée dans l’eau pour voir « si la sorcière coule ou flotte ». A deux ans, sa famille d’accueil l’enchaînait dans la niche du chien. Voilà où a mené la propagande alliée ! Lorsque la défaite allemande fut certaine, Quisling tenta de mettre à l’abri ces enfants : 250 partirent pour l’Allemagne, la charitable Suède en accueillit plusieurs centaines, d’autres trouvèrent refuge au Brésil et en Australie. Hélas, l’immense majorité tomba entre les mains des autorités. Les enfants furent arrachés à leurs mère et enfermés dans des asiles psychiatriques. Les mères furent déportées dans des camps de concentrations où elles furent réduits en esclavage et souvent violées. Plus horrible encore, les enfants servirent pour des expériences, notamment des essais sur des drogues, et furent également souvent victimes de sévices sexuels et de tortures. Leur mère étaient qualifiées systématiquement qualifiées de « demeurées » et « d’asociales ». Quant aux petits, ils étaient qualifiés « d’abrutis allemands », de « rats » et de « sales bâtards ». Et ce sont les tortionnaires de ces femmes et de ces enfants qui viennent nous faire la morale, qui critiquent les nazis alors qu’ils ne valent pas mieux qu’eux et furent sans doute pires, qui nous présentent Mengele comme un monstre alors qu’ils ont fait exactement ce qu’ils lui reprochent… Si les gens qui ont soutenu Hitler sont des salauds, alors ceux qui ont été du côté des Alliés sont aussi des salauds… Les tenants du régime de collaboration avec l’ordre ploutocratique de 1945 sont de tristes sires qui ne méritent que le mépris le plus tenace. Franchement, un tel régime de haine et d’hypocrisie mérite-t-il de vivre ? Heureux les morts, ceux de la SS comme ceux du Vercors. Il n’y a pas eu pire que les crimes commis au nom de Dieu. Si ce ne sont ceux commis au nom de l’Homme…

Saturday, August 19, 2006

A propos de l'Algérie

(Légende des photos : famille Barral, exterminée par le FLN. A gauche, Josiane (12 ans), en haut à droite Suzy (20 ans) et en bas à droite sa mère (44 ans). La fillette a été retrouvée attachée à son lit et violée collectivement).

Dans Les Lettres Fersanes de juillet 2006, j'ai publié le témoignage d'un soldat sur le massacre abominable d'une famille de Pieds-Noirs par le FLN (voir le blog http://henridefersan.blogspot.com). Hélas, le manque de place m'ont contreint à faire des coupes. Au nom de la mémoire, je me devais de le publier quelque part in extenso. Ce sera donc ici.
Je veux raconter...
Les toutes premières victimes innocentes, qui au lendemain de la Toussaint sanglante, pour la plupart des femmes et des enfants, étaient retrouvées affreusement mutilées, mais ceci n'allait être que le prélude d'une extermination qui devait durer plus de sept ans.
Alors que je me trouvais avec mon unité en Oranie, nous étions chargés d’assurer la protection de femmes isolées et au cours de la journée nous passions les voir afin de les rassurer. Je me souviens en particulier d'une famille de cultivateurs dont leur ferme n'était qu'à une vingtaine de kilomètres de notre base, elle était composée du père, de la mère et de quatre enfants dont l’aînée, une fillette de quatorze ans et le dernier âgé seulement de quelques mois, ils avaient installé sur le toit une sirène à air comprimé qu’ils devaient déclencher en cas d’attaque. Je me souviens de cette nuit où le hurlement lugubre de la sirène semblait nous dire : « dépêchez-vous » .
Je veux vous raconter ce que nous avons retrouvé à notre arrivée :
La grange était en feu, dans la cour la fillette était au sol, morte et entièrement dévêtue, après l’avoir violée ils lui avaient tranche la tête et déposée entre ses jambes nues. Mes hommes et moi étions pétrifiés, incapable de bouger, le plus jeune du groupe a vomi et a refusé d’aller plus loin.
Nous nous sommes dirigés vers l’entrée de la maison et là, dans la grande pièce qui servait de séjour, j'ai découvert ce qu'on appelle l'horreur, le père était étendu près de la grande table qui occupait le centre de cette pièce, son visage, les yeux grand ouvert disaient encore sa souffrance et sa bouche entre-ouverte avait vainement tenté de prendre un peu d'air quand ils l'ont égorgé, son pantalon était rabattu sur ses chaussures.
Il était émasculé et il y avait du sang partout sur le sol.
Sur la grande table gisait sa femme, la jupe retroussée sur sa poitrine, une grande plaie allant du pubis jusqu'à la taille et par où s’échappaient ses viscères qui pendaient le long de la table.
Un peu plus loin sur le sol, une « bouillie » sanguinolente qui de prime abord ne ressemblait à rien, était en fait les deux garçons sur qui les terroristes s’étaient acharnés probablement à coup de barre transformant leur tête en une espèce de galette rouge dont la cervelle striait de blanc cette flaque.
Enfin je dois raconter aussi comment nous avons découvert le quatrième enfant. Un bébé d’une quinzaine de mois, comment décrire la scène tant cela est hideux, dans la cheminée éteinte ils s’étaient servi du tournebroche pour empaler l’enfant, le pique qui traversait son corps ressortait près du cou, sa tête pendait et ses mains touchaient les cendres du foyer.
Il flottait dans la pièce une odeur fade, et je sais à présent ce que l’on appelle l’odeur de la mort ; Les corps étaient encore chauds preuve que le massacre venait d’avoir lieu, les salopards ne devaient pas être bien loin.
Nous avons roulé les cadavres dans nos toiles de tentes afin de les ramener à notre camp, et j’ai du personnellement retirer le pique qui empalait le bébé car les hommes qui m’accompagnaient ont refusé de toucher le petit corps meurtri et je ne voulais pas, par respect pour cet enfant dont le seul crime avait été de naître européen, que d’autres le voient.
Peut-on imaginer que des êtres humains puissent commettre de tels actes au nom d’une quelconque idéologie sans devenir eux-mêmes des animaux.

Jean-Claude KESSLER

Friday, August 18, 2006

A propos du gazage de masse

(Légende : gaz extrêmement meurtrier, le phosgène avait servi de base de travail pour un plan anglo-américain d'extermination de masse des populations civiles japonaises et allemandes. Ordonné par Churchill et Trumann, ce plan fut ajourné après que le navire transportant le gaz fut coulé dans le port de Bari par les Allemands. Ultérieurement, l'arme atomique, le phosphore et la famine furent privilégiés)
Malgré la répression, Jean Plantin continue avec acharnement son travail en faveur de la vérité historique. Le premier numéro de cette nouvelle revue est tout simplement passionnant, révélant des crimes alliés occultés ou méconnus, taillant en pièces certains mythes contemporains, avec des contributions de Mark Weber (USA), Robert Faurisson (France), Charles Provan (USA), John Sack (USA-Israël) et Eric Werner (Suisse). Au programme, un article sur Ernst Nolte et les campagnes de presse dont il a été victime de la part du New York Times et qui amenèrent à une agression en 1994 qui faillit bien être mortelle. Ensuite, un article sur les bombardements alliés qui tuèrent des détenus des camps allemands, notamment ceux du paquebot Cap Arcona et du cargo Thielbek, qui abordaient ostensiblement un drapeau blanc. Malgré ce dernier, qu’on ne pouvait pas ne pas voir, les Typhoon anglais les coulèrent, comme les Américains avaient mitraillé un sous-marin battant pavillon de la Croix-Rouge car plein de naufragés anglais, provoquant la mort de 7.600 détenus du camp de Neuengamme. Un autre article soulève un fait inconnu de la propagande officielle : un plan américain d’extermination par le gaz de la population japonaise sous le nom d’Operation Downfall (opération Décombres) en bombardant 25 villes japonaises et 25 centres industriels. Pour Tokyo, les Américains comptaient déverser 54.000 tonnes de gaz phosgène (chlorure de carbonyle), escomptant la mort de 5 millions de personnes. Ce projet était né du cerveau démoniaque du général William Porter, qui le transmit au général George Marshall qui le fit suivre le 14 juin 1945 à l’amiral Ernest King. Truman donna son accord le 18 juin, mais la capitulation japonaise rendit ce plan caduque. Toujours dans les crimes de guerres américains au Japon, un article sur l’inutilité militaire de la bombe d’Hiroshima, sachant que dès décembre 1944, les Japonais avaient demandé à se rendre et un court article sur les viols à Okinawa où environ 10.000 femmes ont été violées par les Marines américains en 1945. Toujours dans le registre des crimes de guerre, mais contre les Allemands cette fois, un article sur trois Juifs coupables d’avoir participé à l’extermination des Allemands de Pologne : Lola Potok, qui a sévi au camp de Gleiwitz et a notamment brûlé vif un jeune allemand de 14 ans pour le crime de porter un short scout qu’elle avait confondu avec celui des Jeunesses Hitlériennes, Salomon Morel, le boucher du camp de Zgoda qui tua personnellement au moins 1583 Allemands, le docteur Cedrowski, qui laissa mourir de faim et de froid 48 des 50 bébés des prisonnières allemandes... Un autre article sur les crimes de guerre israélien en 1948, notamment sur le massacre de Tantoura (23 mai 1948) commis par la brigade Alexandroni et des contributions sur le vrai-faux journal d’Anne Frank, l’affabulateur Miklos Nyiszli ou les trucages de l’exposition sur les crimes de la Wehrmacht. A noter que deux des auteurs, Provan et Sack sont « exterminationistes », le dernier cité étant d’ailleurs… juif !

A propos des Cosaques

(Légende : Cosaques aux côtés de soldats italiens. Quand toute la chrétienté combattait le bolchevisme talmudique)
« Nous aimons vivre au fond des bois, aller coucher sur la dure, la forêt nous dit de ses milles voix :lance-toi dans la grande aventure ». Ce livre rend un vibrant hommage au peuple Cosaque qui a toujours résisté corps et âmes au bolchevisme. Passionnant, il constitue un véritable hommage au peuple des Steppes qui, en 1941, continua aux côtés des Allemands un combat contre cette idéologie qui voulait les exterminer. Même si une longue place est consacrée au chef des unités cosaques de la Wehrmacht, le général Helmut von Pannwitz, le héros de cette histoire est un lieutenant allemand, Wilheim Kunze, 38 ans. Professeur dans le civil, ne parlant pas un mot de la moindre langue slave, il se retrouve affecté comme officier de renseignement au sein de la 1ère armée blindée. Il rencontrera un jeune Cosaque déserteur de l’armée rouge, Ilja Tarassenko, qui lui sauvera la vie et en plus, démasquera un commissaire politique du NKVD infiltré dans l’unité de l’Allemand ! Et cet officier allemand, qui ne connaît rien à la Russie, épousera sa sœur jumelle, Tatjana, âgée de 22 ans, et deviendra un capitaine cosaque. Puis, quand le génocide du peuple cosaque sera consommé, il offrira à la jolie Tatjana une nouvelle patrie en l’emmenant chez lui à Hanovre. « Nous aimons vivre sur nos chevaux dans les plaines du Caucase, emportés par leur rapide galop, nous allons plus vite que Pégase ». Le génocide Cosaque, qui fit près de trois millions de morts, dura de 1920 à 1947 et a été quasiment occulté des livres d’histoire. Il est vrai que lorsqu’ils ne commettaient pas eux-mêmes des crimes contre l’humanité, les Alliés s’en rendaient complices. Le livre révèle ainsi les crimes dont personne n’a jamais entendu parler : le père de Tarassenko avait vu ainsi en 1920 les hommes de la GPU massacrer les 53 membres de sa Staniza (communauté) sise près du village de Gandenburg (Allemands de la Volga, communauté exterminée en 1941) et tous les animaux domestiques. En 1934, les chars, l’artillerie, l’aviation rouge écrasèrent dans le sang la révolte d’Iman Schamil et ses Ossètes, Tcherkesses, Karatschaiens et Karbadiniens. En 1942, ils n’avaient pas oublié quand les Allemands sont venus les libérer… En 1945, les Anglais trahirent leur parole et livrèrent les Cosaques à Staline qui les extermina jusqu’au dernier, rayant de la carte une communauté de 3 millions de personnes. Les responsables directs de cette infamie furent Randolf Churchill, le fils de l’ivrogne qui croyait diriger la Grande-Bretagne et qui se distrayait dans l’onanisme en regardant un kaléidoscope qui lui montrait les images des villes allemandes en flammes, le maréchal Alexander, le général Arbuthnott, le général Musson... Les Croates connurent le même sort. Livré aux rouges, le général Walter Rolf, qui n’avait pas pu obtenir la vie sauve pour les femmes et les enfants, tua son épouse et ses enfants. Les 30.000 femmes et enfants qui accompagnaient ses 15.000 hommes furent exterminés et très souvent violés par les barbares de Weiss alias Broz alias Tito… Kunze et sa femme furent les seuls rescapés de leur division. Ils furent sauvés, cela ne s’invente pas, par le soldat Ryan. Ou plutôt, par le capitaine Ryan, un Anglais compréhensif. « Nous aimons vivre auprès du feu et chanter sous les étoiles, la nuit claire nous dit de ses mille feux : sois gai quand le ciel est sans voile ». Une grosse part du livre est consacrée à la campagne des Cosaques en Croatie, où ils furent affectés à la lutte contre les partisans communistes de Tito, renforcés par ceux qui estimaient que Pavelic avait trahi la Croatie en offrant sa couronne à un prince italien. Grâce à von Pannwitz, des unités de cavalerie furent constituées et engagées aux côtés des armées croates et allemandes pour essayer d’éradiquer les partisans de la terreur rouge que les Cosaques connaissaient d’autant mieux qu’ils en furent victimes. Le lieutenant Kunze la vit de ses propres yeux : à Trenckovo, les communistes avaient massacré une famille de fermiers : le mari avait été fusillé, la jeune femme égorgée et violée pendant son agonie, les deux jeunes enfants avaient eu la tête fracassée contre le mur. Un peu plus tard, en mai 1945, Kunze vola au secours de sa femme engagée comme infirmière. Leur hôpital de campagne fut attaqué par les partisans. Se battant comme des lions, Tatijana et son grand-père tuèrent à deux un commissaire politique et une vingtaine de partisans mais ne purent empêcher ces derniers de brûler vifs les blessés dans l’hôpital. « Nous aimons vivre librement, boire vodka et manger pirouchki, danser et rire dans tout le régiment et défiler dans les villages conquis ». La mentalité cosaque est assez particulière et seuls des Allemands ayant vécus en terre slave (comme Pannwitz, originaire de la communauté allemande de Pologne) étaient capables de les comprendre. Le livre insiste en tout cas sur un fait historique incontestable : le Gauleiter d’Ukraine Erich Koch, communiste infiltré au parti nazi, et le national-bolchevique Martin Bormann, lui aussi traître à la solde du NKVD, qui « hasard » étaient les plus acharnés à défendre auprès du Führer la thèse inepte de l’infériorité de Slaves (qu’Himmler a abandonné dès 1942), ont à eux deux saboté la politique allemande à l’est : ce n’est que le 21 avril 1943 que Pannwitz a pu obtenir la constitution de divisions cosaques, et encore, parce qu’il avait réussi à déjouer la vigilance de Bormann et à s’adresser personnellement à Hitler le 13 janvier 1943. Et c’était trop tard… Les Cosaques avaient un style de vie qui parfois leur jouait des tours pendables : les « réquisitions » de poules et de moutons ne plaisaient pas toujours aux paysans qui en étaient les victimes et leur goût prononcé pour les femmes et l’alcool les a mis dans des situations périlleuses, comme le lieutenant Bolchov à Andriewski qui s’est fait piéger par des jeunes filles venues « fraterniser avec les cosaques » et qui, sous couvert de besoins pressants, s’éloignèrent pour miner la voie de chemin de fer qu’ils avaient sous leur garde… Ils avaient aussi leurs coutumes : quand il fut clair que le cosaque Volkov avait trahi, il fut fouetté à mort à coups de nagaika plutôt que d’être livré aux cours martiales allemandes… Les Cosaques furent fidèles à leur patrie d’adoption : sur 25.000 qui servirent sous commandement allemand, seuls 250 désertèrent, soit un taux inférieur à la Wehrmacht elle-même ! Le sort des Cosaques, comme celui des martyrs de Quiberon, de la garnison de la Bastille, de la dernière promotion de l’école d’Uriage, ou de la 1ère armée russe de libération prouve qu’IL NE FAUT JAMAIS AVOIR CONFIANCE DANS LA PAROLE D’UN « DEMOCRATE »… C’est la leçon à retenir de ce livre.

A propos de Leni Riefenstahl

(Légende : affiche des Jeux Olympiques de Berlin. Remporté par l'Allemagne, ces Jeux furent les seuls de du 20e siècle qui ne furent pas remportés par les USA ou l'URSS. Pour la première fois depuis 1900, les USA étaient défaits.)
La cinéaste allemande Leni Riefenstahl est morte à l’âge de 101 ans. Helene Bertha Amalia Riefenstahl est née à Berlin le 22 août 1902 dans un couple mixte (père allemand, mère juive) de commerçants aisés. Pour défier son père sévère, elle prit des cours pour devenir danseuse, mais un accident sur scène à Prague en 1924 mit fin à sa carrière. Protégée par Adolf Hitler et détestée par Joseph Goebbels, elle deviendra la cinéaste officielle du régime sans pour autant prendre sa carte du NSDAP. Grande sportive, elle fit une carrière d’actrice de 1926 à 1930 puis passa de l’autre côté de la caméra. Elle deviendra la cinéaste officielle du Reich avec l’aide d’un adjoint au moins – sinon plus – brillant qu’elle : Walter Ruttmann. Communiste allemand, il se ralliera sincèrement au national-socialisme et mourra en héros sur le Front de l’Est en 1941 (et non pas à Berlin comme on l’écrit parfois par erreur). Son film culte fut bien évidemment Les Dieux du stade, où sa caméra consacrera la renommée mondiale du sprinter noir Jesse Owens qui, selon le témoignage de sa veuve lors de l’inauguration du stade olympique de Berlin en 1984, fut traité comme les autres athlètes par les autorités du Reich alors qu’ il était discriminé au sein même de l’équipe de l’Amérique social-démocrate de Roosevelt… Riefenstahl éprouvait une véritable fascination pour les peuplades primitives d’Afrique, par nostalgie des temps anciens où les peuples germains vivaient dans les forêts dans un style de vie somme toute guère différent… Blanchie par les comités de « dénazification » en 1952, elle se consacra aux documentaires, notamment en réalisant plusieurs films de plongée sous-marine (sport qu’elle pratiqua de… 70 à 95 ans !!!). A sa mort, les bonnes consciences de gauche lui reprochèrent d’avoir travaillé pour Hitler (Le Monde du 10 septembre titre : Leni Riefenstahl, artiste asservie au nazisme ; Libération du même jour titre Riefenstahl, 100 ans de nazitude ». Les mêmes qui trouvent qu’Eisenstein, le chantre de Staline, est digne d’éloges et automatiquement excusé…