Wednesday, August 23, 2006

A propos de l'URSS

(Légende du dessin : Affiche sur le péril bolchévik en Europe. Le sacrifice de l'Allemagne le 22 juin 1941 sauva la moitié du continent)

Le deuxième numéro de la revue de notre camarade Jean Plantin est digne de la première livraison. Si le premier numéro avait une forte connotation « nippone », le second est plutôt consacré à la Russie avec des articles de Mark Weber (Etats-Unis), Mykhailo Seleshko (Ukraine-Canada) et Daniel Michaels (Etats-Unis), plus des articles de Pierre Guillaume sur un tout autre sujet : son amitié passée avec un certain Lionel Jospin. Le premier article concerne un sujet tabou d’entre les tabous : la collaboration massive de la communauté juive avec l’horreur communiste qui commence par l’assassinat de la famille impériale (on y apprend notamment que les jolies petites princesses ont été achevées à la baïonnette). La décision avait été prise conjointement par Lénine et Sverdlov. S’en suit des preuves accablantes, noms et faits à l’appui, sur le rôle joués par les juifs dans la barbarie communiste. Ensuite, un épais dossier de 58 pages sur les charniers de Vinnista où 20.000 personnes, essentiellement de jeunes hommes ukrainiens mais aussi des jeunes filles, ont été exterminés, ordre du commissaire politique Levitski et de Kagan, un proche de Staline lui aussi juif. Le but était d’éradiquer totalement toute résistance en Ukraine en exterminant les forces vives de la nation. A l’échelon de la ville, l’extermination était exécutée par Abramovitch et son adjoint Rosenbaum. Le NKVD local, la section de sûreté et la section spéciale étaient également dirigés par trois fils d’Israël : Sokolinski, Chyrin et Tomtchynski. Détail sordide, les cadavres féminins dans la fosse étaient habillés pour les plus âgées… mais nus pour les plus jeunes ce qui laisse aisément deviner leur sort. On découvrir même lors de l’ouverture des charniers en 1942 le cadavre d’une femme enceinte qui, enterrée vivante, avait accouchée dans la fosse. Les Juifs ukrainiens qui n’avaient pas fui avec l’armée rouge paieront leurs crimes de 1941 à 1944… Les articles suivants évoquent le plan de l’invasion de l’Europe par l’URSS prévue pour le 15 juillet 1941 (initialement, elle était prévue pour le 12 juin, mais fut repoussée, ce qui sera fatal au plan stalinien). On y apprend que Staline avait mobilisé son armée dès 1939 et surclassait l’Allemagne dans tous les domaines, y compris la marine. Les Soviétiques alignaient plusieurs milliers de chars lourds contre… 309 chars moyens pour les Allemands, 5 corps d’armées parachutistes contre 2 divisions, 13.000 avions contre 2.500, 6 fois plus de canons et l’aide américaine depuis les accords secrets de 1938 ! Le 22 juin 1941, l’Allemagne s’est sacrifiée pour notre liberté. Ne l’oublions jamais.

21 Comments:

Blogger Enzo said...

Jospin n'avait aucune chance d'être élu : il avait refusé de renier son père.

4:26 AM  
Blogger Enzo said...

Remarque extrêmement pertinante. Tu noteras que les Allemands sont arrivés à Moscou sans trop d'ennuis car ils avaient écrasés 200 divisions soviétiques. Ils pensaient avoir détruit l'armée rouge... sauf qu'ils sont tombés sur 165 autres divisions qui étaient en état de combattre... et qui ont gagné.

Tout le matériel russe a été détruit à la frontière, et sur la connaissance du terrain, ben non justement : comment veux-tu que la 192e division de montagne, arrivée de Tachkent depuis 15 jours, n'ayant que des cartes de l'Allemagne et de la Roumanie, connaisse les marais du Priepr ?

Les meilleurs avions soviétiques étaient à 2 km de la frontière : le premier raid de la Luftwaffe les pulvérisa au sol. Même chose pour les chars, dégommés au Stuka (mais les chars allemands étaient inefficace : lors de la bataille de Daugaplis en Lettonie, 70 coups au but directs des Panzer allemand ne réussirent pas à détruire un KV-1 !!! Ce furent les Stuka qui eurent sa peau... et la pénurie d'essence.

Voici une image. Imagine un ring de boxe. l'URSS c'est Mike Tyson et le Reich, c'est Leonardo di Caprio. Di Caprio sait que si Tyson attaque, il est mort. Donc, alors que Tyson met ses gants, il lui envoie de toutes ses forces un coup de pieds dans les couilles. Tyson se plie de douleur et Di Carpacio le bourre de coups de pieds. Mais Tyson se relève et lui explose la gueule... méchament en plus ! Il lui arrache même les oreilles avec les dents en criant "grunt, moi colère".

8:24 AM  
Anonymous Anonymous said...

Article qui a beaucoup de parti pris mais qui demeure interressant. Sujet trés "sensible"...

10:17 AM  
Blogger Enzo said...

J'ai toujours dis que tu étais quelqu'un du centre-droit Hérisson ;)

1:35 PM  
Anonymous Anonymous said...

Interressant historique De ou tiens-tu tous ces textes ? Peux-tu me donner des références ? Je lis je lissss je bois ....!fais moi signe sur mon BLOG en réponse a ceci je fais ensuite un lien jusqu'ici .Merci @+++

2:01 PM  
Blogger Enzo said...

Ces articles sonr extraits des journaux dissidents (samidzats en russe) Le Libre Arverne et Les Lettres Fersanes.

9:13 PM  
Blogger Enzo said...

Petite précision : le Kagan dont il est question dans cet article est en fait KAGANOVITCH.

2:12 AM  
Anonymous Anonymous said...

"Le 22 juin 1941, l’Allemagne s’est sacrifiée pour notre liberté. Ne l’oublions jamais."

Ne faut-il pas, pour considérer que sacrifice il y a eu, envisager que l'état-major allemand connaissait les visées secrètes soviétiques ? Sans quoi le plan Barbarossa n'est plus une guerre sacrificielle mais une simple guerre d'agression a but expansioniste et/ou idéologique ?

Peut-on par ailleurs dire de l'Allemagne nazie s'est sacrifiée pour notre liberté quand la moitié de l'Europe est alors occupée... par l'Allemagne ?

9:17 AM  
Blogger Enzo said...

L'Allemagne s'est sacrifiée pour nous sauver du bolchevisme, le plus abominable régime de l'histoire humaine. N'était occupées par l'Allemagne que la France, la Belgique, la Hollande, la Norvège, la Grèce et la Serbie. La Finlande, la Roumanie, la Bulgarie, la Hongrie, la Slovaquie, la Croatie et l'Italie étaient alliés.

Les Allemands se doutaient de quelque chose dès juib 1940, quand Moscou cessa de livrer son pétrole.
Les photos de reconnaissance de l'aviation allemande montrant plus de 200 divisions russes à la frontière confirma Berlin des intentions réelles de Moscou.

Ceci dit, Hitler avait bien sur l'intention d'éradiquer la peste rouge dans sa tanière, mais pas avant 1944 : prise de court en 1939 par une guerre à l'ouest qu'elle ne voulait pas, l'Allemagne n'avait pas de bombariders lourds, pas de chars lourds, quelques chars moyens et une pénurie criante de camions.

10:45 AM  
Anonymous Anonymous said...

L'Allemange nazie ne s'est pas sacrifiée pour nous sauver de quoi que ce soit : le sort des peuples d'Europe sous domination allemande étaient absents des considérations idéologiques qui ont amené le régime nazi à attaquer l'URSS. Il fallait liquider à la fois le bolchévisme et les slaves, considérés comme des sous hommes, et étendre encore le lebensraum allemand.


Il n'y a pas d'esprit de sacrifice : trop confiant dans l'efficacité de sa blitzkrieg, Hitler n'envisage pas la défaite. Il table même sur une victoire relativement rapide, au point qu'il prend le risque de lancer l'opération Barbarossa avec du retard (pour assister le piètre allié italien qui ne s'en sort pas seul en Grèce) et surtout au point que l'industrie militaire allemande, alors qu'elle en a encore le temps, ne prévoit pas les équipements qui seront nécessaires à l'armée pour affronter le terrible hiver russe quand la guerre s'enlisera.

Et ce sont des considérations idéologiques qui pousseront Hitler, qui se rêvait en stratège de génie, à commettre l'ultime erreur qui précipitera sa défaite : plutôt que d'écouter les préconisations de ses généraux et de concentrer l'effort de guerre sur des objectifs stratégiques (et notamment les champs de pétrole russes) il ordonne de concenter les efforts sur un objectif purement symbolique : Stalingrad. On connait la suite de l'histoire : la reddition sans condition de Von Paulus et de ses centaines de milliers d'hommes marquera le tournant de la guerre, la première d'une longue série de défaites militaires.

L'Allemagne nazie ne s'est pas sacrifiée, son chef l'a perdu par aveuglement idéologique qui a confiné à l'incompétence, ce qui est très différent. Ne l'oublions jamais.

Quand bien même Staline aurait envisagé une opération similaire (ce qui est plausible, tant la juste formule voulant que la meilleure défense soit l'attaque aurait pu justifier une guerre préventive contre un allié pressenti comme capable des coups les plus retors), l'Allemagne nazie de 1941 est de taille à lutter, notamment en raison de sa totale suprématie aérienne sur ce front.

Je profite de ce message pour corriger le précédent vôtre : il convient d'ajouter le Luxembourg, la Tchécoslovaquie et le Danemark à la liste des pays occupés par l'Allemagne. Et de retirer la Finlande de la liste des alliés : la Finlande a certes profité de l'opération Barbarossa pour tenter de reprendre à l'URSS des territoires perdus lors d'un précédent conflit mais n'était pas ni n'a jamais été l'alliée des nazis.

Enfin quand il est question de régimes abominables, j'avoue ne pas faire de grande distinction entre la barbarie "bolchévique" et la barbarie nazie. Que ce soit au Goulag ou dans un Konzentrationslager, sous les coups de la Gestapo ou du NKVD, tous les morts finissent par se ressembler.

7:17 PM  
Blogger Enzo said...

Le Luxembourg a retrouvé sa patrie allemande dont on l'avait séparé en 1815. Le Danemark n'était pas véritablement occupé, c'est le seul pays "occupé" qui est sorti de la guerre plus riche qu'il y était entré... La Tchécoslovaquie est un cas spéciale : la Bohême-Moravie avait pour vocation de revenir à la mère-patrie allemanden la Slovaquie a eu sa liberté.

Sur les Slaves, c'est votre opinion, elle est à nuancer très fortement. Le dogme de l'infériorité des Slaves était défendue par un taré comme Himmler mais ce dernier l'a abandonné en 1942. La politique allemande a été sabotée par les agents du NKVD Koch et Bormann, ces derniers ne trahissant pas vraiment d'ailleurs puisque Koch était un ancien du KPD et Bormann un national-bolchevique.

2 millions de Slaves ont enfilé l'uniforme allemand et Hitler les a aidé à se replier en 1944 avec famille et bétail.

Le dogmatisme allemand sur la question aura fondu en quelques années vu comment les jeunes soldats allemands étaient sensibles à la beauté des blondes filles d'Ukraine.

Pour le reste de l'Europe, la France sous contrôle allemand aurait certainement moins perdu que la Franbce sous contrôle allié. Notre pays ne serait certainement pas devenu ce qu'il est devenu...

Pour finir, vous évoquez les camps nazis et son cortèges d"horreurs très réeles0. Oui, la Gestapo valait le NKVD (ce qui est caustique, c'est que ce sont les juifs du NKVD qui ont formé les tortionnaires gestapistes !)qui, en matière de torture, valait aussi bien la MP américaine, les FTP, les FFI ou les Anglais. Et ne parlons pas de la Kampetai japonaise, encore pire...

Un camp nazi valait un camp américain... Le camp polonais de Zgoda, le camp américain d'Andernach, le camp français du Tronçais ont été le tjhéâtre d'horreurs institutionnelles valant largement celles des nazis.

Il y a une différence de taille en outre entre Hitler et Staline, c'est que pour le Géorgien, on ne peut parler de légitime défense contre l'Allemagne puisque les préparatifs de "l'Opération Orage" ont été amorcés en 1927, soit 6 ans avant l'arrivée de Hitler !

11:19 PM  
Anonymous Anonymous said...

Mon message n'est peut être pas dans le goût du site mais comme je sais que vous êtes des fervents partisans du libre débat entre les historiens, je suis sur que vous n'effacerez pas mon commentaire.

Lorsque je lis cet article et certains commentaires, je m'intérroge: comment peut on être contre le goulag ?

Les réactionnaires antisémites, fascistes, à la botte du capital financier monopoliste ne méritent-ils pas d'être, humainement bien sûr, rééduqués par le travail dans des camps prévus à cet effet ?
Ou exécutés en tant que traitres à la nation française, défenseurs du régime de Vichy et gent de l'étranger, comme le furent, en Russie un certain nombre d'éléments infiltrés démasqués par les procès de Moscou de 1936, 1938.

Vive le peuple soviétique qui a libéré l'Europe du fascisme au sacrifice de 26 millions de vies innocentes!

Vive sa glorieuse armée rouge et ses succès éclatants devant Moscou, Léningrad, Stalingrad, Koursk, Berlin (etc.) !

Gloire à son chef éclairé le généralissime Joseph Staline, le plus grand chef de tous les temps et de tous les pays!

11:32 PM  
Blogger Enzo said...

Le message ci-dessus montre que la bête immonde n'est pas morte, le nid n'ayant pas été désinfecté. C'est pourquoi nous réclamons une implacabilité totale contre tous ceux qui ont collaboré avec le communisme criminel, que ce soit en pensée, en parole, par action et par omission.

Ceci dit, camarade stalinien, ton chef avait au moins une grande qualité : il a liquidé ces porcs de trotskistes.

2:39 AM  
Anonymous Anonymous said...

a enzo

Sache TOUT DE MEME que sans l'URSS tu parlerais allemand !!!!!!Et souvient toi qu'ils ont eu plus de 25 millions de morts pour que toi aujourd'hui tu puisse vivre libre!!!

A BON ENTENDEUR

7:04 AM  
Blogger Enzo said...

1- Et sans les Allemands on parlerait le russe... En tout cas, je préfère parler l'allemand que l'arabe ou le babileke...

2 - Si les Allemands avaient gagné la guerre, on parlerait Français (mieux qu'aujourd'hui) et on serait dna sl'europe Unie qui aurait un peu plus de gueule que celle d'aujourd'hui.

3 - Ils ont eut 25 millions de morts parce que leur régime a tenté de nous asservir... Par contre, je n'oublie pas que l'Allemagne nous a sauvé pour que nous voyons non pas libre (on ne l'est pas tellement) mais qu'au moins, on ne crève pas de faim ce qui aurait été le cas en URSS.

7:12 AM  
Anonymous Anonymous said...

Je voit malheureusement que le régime de vichy a laisser des traces....;
Sûrement que nos parents ne devaient pas se battre pour les mêmes idées et sur les mêmes fronts !

7:42 AM  
Blogger Enzo said...

Vichy ? Pas ma tasse de thé...

Mes parents étaient trop jeunes pour cette période et mo,n grand-père était dans le mauvais camp. Le tien...

7:51 AM  
Anonymous Anonymous said...

Le chiffre officiel soviétique de "vingt millions" de victimes en URSS a parfois été considéré comme "exagéré". Pourtant, des recherches plus récentes portent l’estimation à 26-27 millions, toutes catégories de mortalité confondues. Auxquels il fait ajouter les dizaines de millions de mutilés, d’orphelins, de sans-logis qui ont du, après 1945, et sans "plan Marshall", rebâtir une URSS exsangue et lourdement handicapée. Une autre vérité doit être rappelée. Le "front de l’Est" contre le "judéo-bolchevisme", selon la définition nazie du pouvoir soviétique, n’était pas le fait des seuls Allemands. Des troupes alliées de Roumanie, de Hongrie, d’Espagne, d’Italie, de Croatie, des légions et divisions SS venues de toute l’Europe, y compris du pays flamand et de Wallonie, y ont appuyé l’entreprise nazie, avec la bénédiction de certains clergés. Certains historiens se croient d’ailleurs fondés à parler de "guerre civile européenne", où l’Europe "chrétienne et civilisée" se serait coalisée aux côtés des fascismes "contre la barbarie bolchevique" . Une thèse qui convient aujourd’hui à ceux qui, en Allemagne et parmi les héritiers des nationalismes collaborateurs en pays baltes et en Ukraine, ou en Flandre, entendent réhabiliter les anciens SS et les mouvements nationaux ou "antistaliniens" qui se fourvoyèrent avec Hitler jusqu’à prendre part au génocide nazi.

9:12 AM  
Blogger Enzo said...

Toujours les mêmes mensonges répétés 100 fois comme le préconisait Lénine... Démontons un par un vos propos :
1 - Vous êtes malhonnetes d'attribuer aux nazis les 46 (et non 20 ou 26) millions de morts de l'URSS. Ceux-ci sont dû principalement : à la famine généralisée dans le pays, tous les hommes ayant été mobilisés depuis août 1939 (cf. Suvorov) ; aux répressions féroces des commissaires politiques qui fusillaient les familles des soldats prisonniers en Allemagne (cf. Hoffman) ; à l'ignominie des même commissaires qui, dans certaines batailles, ont envoyé délibérément femmes et enfants comme boucliers humains.

2 - L'URSS a refusé le Plan Marshall et a complètement pillé l'Allemagne du peu qui lui restait, ainsi que les états baltes, la Pologne, la Hongrie, la Tchécoslovaquie... Sans parler des centaines de milliers d'enfants et adolescents allemands envoyés comme esclaves en URSS. De plus, l'URSS était déjà en totale faillte économique.

3 - La sur-représentation des juifs dans le NKVD (cf. S. Beria) et les horreurs qu'ils commirent contre les chrétiens ont incité à juste titre le clergé à écraser dans son nid le régime le plus anticatholique depuis 1793. Gloire soit rendue à cette jeunesse européenne qui s'est sacrifiée pour que l'Europe ne connaisse pas les ténèbres éternelle du Goulag.

9:24 AM  
Anonymous Anonymous said...

L'opération Orage a peut-etre été mis en place 6 ans avant l'arrivé d'Hitler...mais 2 ans après Mein Kampf, dans lequel petit rappel Hitler parle d'étendre l'espace vital allemand à l'Est. Et les années 1926-1927 montre un retour en force du parti nazi.
Je déteste autant le régime nazi que le régime communiste, mais il me semble pour moi que les installations à la frontière russe n'est rien d'autre qu'une préparation pour se défendre.
Et parfois, la meilleur défense est l'attaque donc il aurait pu etre envisageable d'attaquer l'Allemagne si la menace se serait fait trop forte.

Après, on connait les accords de non agression et de partage des pays de l'Est entre Berlin et Moscou.

1:27 AM  
Blogger Enzo said...

En 19237, Hitler et les nazis n'étaient rien électoralement. Et il ne faut pas oublier que les accords Roosevelt-Staline de 1938 livraient l'Europe à l'URSS !!!

1:46 AM  

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