Wednesday, December 20, 2006

A propos du génocide ukrainien de 1932-33

(Légende de la photo : dessin de Dimitri, souvenir personnel de sa campagne de Russie. Fraternisation d'un motocycliste allemand avec les enfants d'Ukraine. En 1941, les Ukrainiens accueillirent les Allemands en libérateurs)
Le gouvernement ukrainien vient de faire une œuvre utile de mémoire : une exposition sur le génocide de 1932-33 vient d’être inaugurée le 24. Nous avions déjà évoqué ce génocide dans le n°46 du Libre Arverne mais désormais le bilan est à revoir à la hausse. Ce n’est pas 6 millions mais 10 millions d’Ukrainiens qui sont morts de faim dans ce qui a été le génocide le plus terrible du 20e siècle. Les preuves sont accablantes : rapports secrets des autorités, témoignages, photos d’enfants squelettiques et de rues jonchées de cadavres… Nous ne reviendrons pas sur les éléments donnés dans le numéro précédemment cité, ni sur le génocide de 1937-38 qui sera abordé dans le numéro 242. Nous avions vu dans le n°46 le rôle de Kaganovitch et l’une des raisons de ce génocide : obtenir un maximum de devises pour le financement de l’Opération Orage, le plan de conquête de l’Europe dont la date de déclenchement sera fixée finalement au 6 juillet 1941… Le financement de l’Opération Orage n’était pas la seule raison du génocide ukrainien : il y avait également celui de « l’industrialisation » du pays et bien évidemment la haine atavique qu’éprouvent les Juifs pour les peuples chrétiens et paysans comme les Ukrainiens, voués par le Talmud à l’extermination.

Les instances juives internationales ont collaboré avec le communisme, et ce en plein génocide ukrainien, de manière systématique et totale. Les B’naï B’rith, la plus puissante organisation juive internationale, se sont faits les apologistes et les principaux soutiens de l’URSS, spécialement dans sa politique ukrainienne. Alors que le génocide bat son plein, les B’naï B’rith ne trouvèrent comme reproche à l’URSS que la baisse de la pratique religieuse juive (article Les Juifs en Crimée, février 1932) mais signale avec ravissement la sur-représentation des Juifs dans les instances dirigeantes du communisme ukrainien… Par le biais du Joint Distribution Committee, la communauté juive américaine finança à hauteur de 17,3 millions de dollars la création de 180 villages juifs en Ukraine et en Crimée sur des terres volées aux paysans chrétiens. On comprend mieux quand on sait que Lazare Kaganovitch était très lié à Etienne Mercier (de la banque Rothschild), l’un des meneurs du Mouvement Synarchique d’Empire (financé par les aciéries Lambert-Ribot), la banque Lazard et la banque Worms. Nous avons vu également que c’est le 5 janvier 1930 que le génocide ukrainien fut voté par le Politburo. C’est Kaganovitch qui s’en charge personnellement. Le 22 octobre 1932, il est mandaté par le Politburo avec son coreligionnaire Molotov pour piller la région. Il s’installe le 2 novembre à Rostov et donne ses directives : « l’extermination des saboteurs ». Les « saboteurs » en question sont le peuple ukrainien dans son intégralité. Molotov envoie un rapport à Moscou : les Ukrainiens vont mourir de faim, mais le plan de collecte sera appliqué impitoyablement. N’ayant plus rien à manger, les paysans essayent de partir vers les villes. Ils seront impitoyablement refoulés et exterminés. L’exposition regorge de témoignages de ce genre. Katerina Martchenko, née dans le village de Klichyntsi, dans la région de Tcherkassy, au bord du Dniepr, qui a fait une glorieuse Seconde Guerre Mondiale dans les rangs de l’Armée Rouge, déclare : « Ce qui nous a sauvé, ma mère, mon frère et moi, mais aussi d’autres habitants du village, c’était la rivière. Nous allions pêcher en cachette. Ils n’avaient pas pu réquisitionner les poissons ! ». Plus loin : « Mon village comptait 1.200 maisons, soit environ 7.000 âmes, et 2.000 personnes ont péri lors de la famine qui a duré environ un an ». L’horreur de cette famine planifiée ressort dans ce témoignage : « Nous empruntions un raccourci pour aller à l’école. Un matin, ma mère nous a dit : « Vous passerez désormais par la rue principale. Il y a des cannibales, des ogres ». Un grand-père, rendu fou par la faim, avait tué et mangé son petit-fils. C’est son fils, et père de l’enfant, qui en rentrant de la ferme l’avait surpris en train de manger et il l’avait tué de rage ».

Pour receler le blé volé, Kaganovitch s’adressa à ses frères de sang : les banques internationales américaines, qui – grâce à ces stocks achetés à des prix dérisoires – purent torpiller les cours agricoles et ainsi maintenir dans la ruine les paysans américains et canadiens, déjà très pénalisés par la Crise de 1929 (provoquée par les mêmes banques). En France, c’est Louis Louis-Dreyfus, le grand-père de l’actuel patron de l’Olympique de Marseille, qui vendit le grain volé de la bouche des enfants d’Ukraine. Normal quand on sait que le Louis-Dreyfus en question était l’un des bailleurs de fonds de l’Humanité, enrichi dans la boucherie de la guerre 14-18 (fourniture des armées, grâce à Clemenceau, dont la famille avait des juifs à tous les niveaux comme les immeubles avaient le gaz à tous les étages, la guerre se prolongea un an pour plus de profits… et plus de morts goïm, double bonus). Cargill eut également sa part du gâteau, le trust américain ayant fait « cadeau » à la France du sieur Mendès-France, l’homme qui livra l’Indochine au génocide. Regarde qui m’embauche et je te dirais qui je suis…

Nous avons vu dans le n°46 que la politique allemande en Ukraine avait été sabotée par le communiste infiltré Koch, nommé par le « rouge-brun » Bormann, adversaire juré de la croisade anti-bolchevik. Il était notoire que Alfred Rosenberg, dont l’influence au sein du parti nazi était des plus marginales, défendait l’idée d’une Ukraine libre. Par contre, il est moins connu que Heydrich défendait également cette idée (tout comme il défendait l’idée d’un état juif, étant personnellement sensible à cette question en tant que vierteljude) : il créa ainsi à Prague une université ukrainienne selon les vœux du patriote ukrainien Wolodymir Kubijovytsch, président de l’UCC (Comité National Ukrainien). Les génocides ukrainiens auront une incidence sur la Seconde Guerre Mondiale. 80 % des Juifs d’Ukraine furent évacués par l’Armée Rouge, mais 20 % ne purent ou ne voulurent partir. Le peuple ukrainien se vengea sur eux, les massacrant massivement avant même que le premier allemand n’arrive dans les villes. Ceux qui échappèrent aux Ukrainiens furent souvent liquidés en représailles par les Einseitzkommandos qui appliquèrent le « un pour un » : pour chaque cadavre découvert dans les charniers du NKVD, un juif sera tué. Privés de justice, les Ukrainiens n’eurent pour seul recours que la vengeance et celle-ci prit, comme nombre de vengeances, un tour sinistre. Dans les camps nazis, les Ukrainiens se portèrent volontaires pour les postes de « kapos » et malheur au Juif qui tombait entre leurs mains : il allait payer pour ses frères d’URSS… Combien d’Ukrainiens en accablant de coups un pauvre hère en tenue rayée qui, 9 fois sur 10, n’avait jamais entendu parler de l’Ukraine, pensaient ainsi venger une sœur, un père, un cousin, un fils mort de faim… Vengeance inutile, car ayant eu pour résultat l’exact contraire de ce que recherchaient les Ukrainiens : leurs bourreaux devenaient aux yeux du monde des victimes.

Le gouvernement se trompe sur un point. Le peuple russe est totalement innocent de cette affaire (puisqu’il n’a jamais dirigé l’URSS) et le ponctionner sous prétexte qu’il serait l’héritier de l’URSS serait injuste. Il faut ponctionner l’état qui se rapproche le plus de la composition ethnique des bourreaux du peuple ukrainien. Cet état existe : c’est Israël. Israël doit payer pour ce qui est sans doute le crime le plus abominable du 20e siècle, l’Holocauste par haine anti-chrétienne et ce à au moins 3 reprises de tout un peuple, sans distinction d’âge, de classe sociale ou de sexe. Le montant des réparations est facile à calculer : pour 6 millions de Juifs, Israël a touché 120 milliards de dollars de l’Allemagne. Donc, pour les Ukrainiens exterminés lors des trois génocides, à savoir 10 millions de morts en 1933, 3 millions en 1937 et 3 millions en 1945, Israël doit verser 320 milliards de dollars au gouvernement ukrainien, mais également donner l’équivalent de 8/3 de tout ce qu’elle a reçu de l’Allemagne en usines, brevets, navires et autre… Il faut également, et c’est la moindre des choses, expulser de l’université et de l’éducation nationale les négationnistes du génocide ukrainien, à commencer par « l’historienne » Lacroix-Riz et ses complices, confisquer les journaux, maisons d’édition et tout autre support culturel ayant édité ses « travaux », confisquer également les entreprises s’étant enrichies directement ou indirectement avec le génocide ukrainien et interdire les organisations qui y ont collaboré, ne serait-ce que par apologie du régime qui l’a provoqué…

Wednesday, December 13, 2006

A propos du général Augusto Pinochet (1915-2006)

« Nous sommes tous des enfants du général » disaient nos jeunes confrères du « Pinochat », le seul chat (pour nos lecteurs de plus de 30 ans : centre de discussion sur Internet en temps réel) qui miaule en allemand. Général Augusto Pinochet Ugarte, qui nous a quitté le10 décembre, fut et de loin le plus sympathique des francs-maçons de la planète… Nous avons vu dans Le Libre Arverne n°47 et 152 le vrai visage d’Allende et de sa clique. En ces jours de deuil, attardons-nous sur la biographie d’el salvador. Né le 25 novembre 1915 à Valpaseiro d’un père agent d’assurances, le général Pinochet est d’origine française. Sa famille a émigré de Saint-Malo, Don Guillermo Pinochet devenu marchand de drap à Conception et épousant Ursula de la Vega y Montero, une jeune fille de la petite noblesse. Son oncle, Norbert Pinochet, était un rude auvergnat de Montaigut-en-Combraille (Puy-de-Dôme) qui eut son heure de gloire le 29 juin 1912. Militant de l’Action Française, il fit libérer un camarade de parti, Gabriel de Baleine, en imitant la voix de Poincaré. Baleine avait été condamné à 15 mois de prison en 1911 pour « outrages au président de la 9e Chambre » lors du procès de Lucien Lacour (condamné à trois ans de prison le 29 mars 1911 pour avoir calotté Aristide Briand). Aîné d’une famille de 6 enfants, Augusto Pinochet entra à l’Académie Militaire à 18 ans. Lieutenant en 1936, il devient attaché militaire à Washington en 1956, général de brigade en 1969 puis général de division en 1970. En 1971, alors que Pinochet était encore F\, Allende le nomma à la tête de la 2e armée puis, après la tentative de révolution nationaliste écrasée en juin car non-soutenue par les Etats-Unis, le général Pinochet fut nommé par El Porco comme commandant en chef de l’armée cet homme réputé pour sa rigueur et son légalisme.

Le 11 septembre 1973, Pinochet dirige la révolte des militaires chiliens contre un Président déchu par le Congrès de sa fonction depuis le 22 août. Il n’y a jamais eu de coup d’état puisque la Chambre des Députés avaient déclaré le gouvernement Allende « illégal pour violations répétées de la Constitution, des droits de grève et de réunion, pour avoir créé un pouvoir parallèle et des ligues para-militaires agissant par la force, pour avoir usurpé les fonctions législative et judiciaire ». Décision entérinée par la Cour Suprême. On ne peut pas occulter le rôle bénéfique de madame Pinochet sur son mari : c’est elle qui l’a convaincu d’abandonner son affiliation à la F\, contraire à ses convictions catholiques (et cela ne sera jamais pardonné, la Secte persécutant les « renégats »), mais également de renverser le tyran Allende. L’histoire a retenu que c’est en montrant leurs dix petits-enfants en train de jouer qu’elle convainquit son mari en lui disant : « Vas-tu les abandonner à la tyrannie communiste ? ». Alors Pinochet le légaliste se lança dans le combat. Pendant longtemps, on s’est demandé ce qui avait poussé Heinz « Henry » Kissinger à soutenir Pinochet, même une fois celui-ci parti. Généralement, ce sont les criminels d’extrême gauche qui bénéficiaient de la tendre compréhension du diplomate planétarien. De plus, la haine de Kissinger pour tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un chrétien était notoire. La rivalité Pinochet-Allende fut l’unique exception à la règle. En fait, c’est Victor Farias qui a découvert la clé du mystère, comme nous l’avons montré dans le n°152 : la communauté juive avait perçu Allende comme un dangereux antisémite et n’avait pas oublié son soutien non renié au IIIe Reich.

Le Chili de Pinochet avait préservé certaines libertés fondamentales, totalement absentes y compris dans l’URSS de Gorbatschev si ovationnée par ceux qui insultaient le régime chilien. Si tous les partis politiques, y compris ceux favorables à la Junte (en 1988 il fit charger par la police 300 de ses propres partisans qui avaient manifesté sans autorisation), étaient interdits, la liberté de la presse était totale (les journaux communistes Analisis, Fortin Mapocho, Pluma y Pincel, Principios étaient légaux) y compris pour la télévision (4 chaînes indépendantes sans compter les 52 radios d’opposition. En France, en 2006, il y a UNE radio d’opposition contre 5 dans la seule ville de Santiago pour le Chili de Pinochet), de même que la liberté de circulation et la liberté de culte. De plus, la présence policière était réduite au stricte minimum, inférieure même à celle de Paris ! Au contraire de Cuba et de l’URSS, il n’a jamais entravé les enquêtes des « commissions des droits de l’homme ». Certes, il y eut les dommages collatéraux de la révolution du 11 septembre : 2279 morts, essentiellement des criminels formés dans le bloc de l’Est, des assassins de plume ou des terroristes professionnels. La plupart d’entre eux sont morts en tentant de fuir en Argentine pour y continuer leur politique de terreur stoppée par le général Videla. Ce nombre inclut aussi les victimes des milices marxistes. Notons aussi 680 « disparus », la plupart bénéficiant de faux papiers donnés par le régime Allende (150.000 fausses cartes d’identité avaient été saisies par la Junte) et en réalité partis continuer de semer la terreur au Pérou avec les maoïstes du Sentier Lumineux, au Mexique pour effectuer les basses besognes du PRI ou en Colombie comme mercenaires des narcotrafiquants. De plus, Pinochet fut fidèle à sa promesse de 1977 et rétablit la démocratie au Chili en se retirant du pouvoir suite à son échec honorable au référendum du 5 octobre 1988 : 44 % des voix en sa faveur alors que les sondages ne lui en donnaient pas 30 %. Patricio Aylwin, son successeur, était l’homme lige du trust agricole « argentin » Bunge, celui-là même qui employait le sinistre Pierre Mendes-France et dirigé par les Hirsch, les cartels agricoles étant généralement enserrés dans les tentacules d’Heinz-Henry…

Bien évidemment, les pires calomnies nées des cerveaux détraqués par la haine et la revanche des vaincus de 1973 ont été reprises par les médiats lors de la mort du général. Même si le bobard des « 100.000 morts » (pourquoi pas 6 millions pendant qu’ils y sont…) n’est plus repris, on continue à nous bassiner avec la « torture » (il y eut des cas avérés, mais en quantité et en horreur bien inférieurs aux pratiques de la « Résistance » en 1944 et même à la République Française…) et avec les « disparitions ». C’est tout juste si on n’a pas ressorti de sa naphtaline Evelyne Ripoll qui, en 1989, avait fait croire à sa séquestration et son viol par « deux membres de la police politique chilienne ». Faits qui n’avaient existés que dans l’imagination débordante de cette employée du Parisien Libéré. La meilleure réponse aux menteurs professionnels fut donnée par le peuple chilien lui-même. Plus de 80.000 personnes ont honoré la dépouille mortelle de l’ancien président alors qu’à peine 500 gauchistes nostalgiques des heures sombres de la tyrannie Allende venaient éructer leur haine. A 91 ans, le général Pinochet se retire définitivement de la scène. Il entre dans le glorieux Panthéon aux côtés de Franco, de Salazar, de Mannerheim, de Horthy, d’Ehrhardt, de tous ceux qui – les armes à la main – ont brisé net les criminels marxistes qui terrorisaient leur pays. Arriba Pinochet ! Arriba la Junta ! Por la razón o la fuerza…

Monday, December 04, 2006

A propos de Soeur Symphorosia, martyre (extrait de "Histoire de l'Europe racontée aux grands enfants et adolescents)

(Légende de la photo : cette jeune bundesmädel aurait pu être une élève de soeur Symphorosia. On estime à plus d'un million le nombre de femmes et fillettes allemandes violées et exterminées par les Alliés)


Sœur Symphorosia était une religieuse enseignante qui vivait à Koechendorf dans une région appelée la Silésie, qui a toujours été allemande mais qu’on a attribué depuis à la Pologne. En février 1945, les communistes fanatisés par leurs commissaires politiques, se lancent dans une campagne d’extermination du peuple allemand. Comme elle refusait de livrer au massacre et au viol les petites filles et les adolescentes de son pensionnat, les soldats alliés l’empoignèrent et l’emportèrent à l’abattoir. De là, les gens du village entendirent des coups et des cris. Quand ils allèrent voir, plus tard, ce qui était arrivé à la sœur qui n’était pas revenue, ils la trouvèrent coupée en petits morceaux pendus au fumoir. Le martyr de la religieuse permit de mettre à l’abri les enfants. De très nombreuses religieuses et prêtres, ainsi que des centaines de milliers de catholiques, ont été exterminés en Europe centrale sur ordre des commissaires politiques, souvent juifs, en haine de la foi.