Wednesday, December 13, 2006

A propos du général Augusto Pinochet (1915-2006)

« Nous sommes tous des enfants du général » disaient nos jeunes confrères du « Pinochat », le seul chat (pour nos lecteurs de plus de 30 ans : centre de discussion sur Internet en temps réel) qui miaule en allemand. Général Augusto Pinochet Ugarte, qui nous a quitté le10 décembre, fut et de loin le plus sympathique des francs-maçons de la planète… Nous avons vu dans Le Libre Arverne n°47 et 152 le vrai visage d’Allende et de sa clique. En ces jours de deuil, attardons-nous sur la biographie d’el salvador. Né le 25 novembre 1915 à Valpaseiro d’un père agent d’assurances, le général Pinochet est d’origine française. Sa famille a émigré de Saint-Malo, Don Guillermo Pinochet devenu marchand de drap à Conception et épousant Ursula de la Vega y Montero, une jeune fille de la petite noblesse. Son oncle, Norbert Pinochet, était un rude auvergnat de Montaigut-en-Combraille (Puy-de-Dôme) qui eut son heure de gloire le 29 juin 1912. Militant de l’Action Française, il fit libérer un camarade de parti, Gabriel de Baleine, en imitant la voix de Poincaré. Baleine avait été condamné à 15 mois de prison en 1911 pour « outrages au président de la 9e Chambre » lors du procès de Lucien Lacour (condamné à trois ans de prison le 29 mars 1911 pour avoir calotté Aristide Briand). Aîné d’une famille de 6 enfants, Augusto Pinochet entra à l’Académie Militaire à 18 ans. Lieutenant en 1936, il devient attaché militaire à Washington en 1956, général de brigade en 1969 puis général de division en 1970. En 1971, alors que Pinochet était encore F\, Allende le nomma à la tête de la 2e armée puis, après la tentative de révolution nationaliste écrasée en juin car non-soutenue par les Etats-Unis, le général Pinochet fut nommé par El Porco comme commandant en chef de l’armée cet homme réputé pour sa rigueur et son légalisme.

Le 11 septembre 1973, Pinochet dirige la révolte des militaires chiliens contre un Président déchu par le Congrès de sa fonction depuis le 22 août. Il n’y a jamais eu de coup d’état puisque la Chambre des Députés avaient déclaré le gouvernement Allende « illégal pour violations répétées de la Constitution, des droits de grève et de réunion, pour avoir créé un pouvoir parallèle et des ligues para-militaires agissant par la force, pour avoir usurpé les fonctions législative et judiciaire ». Décision entérinée par la Cour Suprême. On ne peut pas occulter le rôle bénéfique de madame Pinochet sur son mari : c’est elle qui l’a convaincu d’abandonner son affiliation à la F\, contraire à ses convictions catholiques (et cela ne sera jamais pardonné, la Secte persécutant les « renégats »), mais également de renverser le tyran Allende. L’histoire a retenu que c’est en montrant leurs dix petits-enfants en train de jouer qu’elle convainquit son mari en lui disant : « Vas-tu les abandonner à la tyrannie communiste ? ». Alors Pinochet le légaliste se lança dans le combat. Pendant longtemps, on s’est demandé ce qui avait poussé Heinz « Henry » Kissinger à soutenir Pinochet, même une fois celui-ci parti. Généralement, ce sont les criminels d’extrême gauche qui bénéficiaient de la tendre compréhension du diplomate planétarien. De plus, la haine de Kissinger pour tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un chrétien était notoire. La rivalité Pinochet-Allende fut l’unique exception à la règle. En fait, c’est Victor Farias qui a découvert la clé du mystère, comme nous l’avons montré dans le n°152 : la communauté juive avait perçu Allende comme un dangereux antisémite et n’avait pas oublié son soutien non renié au IIIe Reich.

Le Chili de Pinochet avait préservé certaines libertés fondamentales, totalement absentes y compris dans l’URSS de Gorbatschev si ovationnée par ceux qui insultaient le régime chilien. Si tous les partis politiques, y compris ceux favorables à la Junte (en 1988 il fit charger par la police 300 de ses propres partisans qui avaient manifesté sans autorisation), étaient interdits, la liberté de la presse était totale (les journaux communistes Analisis, Fortin Mapocho, Pluma y Pincel, Principios étaient légaux) y compris pour la télévision (4 chaînes indépendantes sans compter les 52 radios d’opposition. En France, en 2006, il y a UNE radio d’opposition contre 5 dans la seule ville de Santiago pour le Chili de Pinochet), de même que la liberté de circulation et la liberté de culte. De plus, la présence policière était réduite au stricte minimum, inférieure même à celle de Paris ! Au contraire de Cuba et de l’URSS, il n’a jamais entravé les enquêtes des « commissions des droits de l’homme ». Certes, il y eut les dommages collatéraux de la révolution du 11 septembre : 2279 morts, essentiellement des criminels formés dans le bloc de l’Est, des assassins de plume ou des terroristes professionnels. La plupart d’entre eux sont morts en tentant de fuir en Argentine pour y continuer leur politique de terreur stoppée par le général Videla. Ce nombre inclut aussi les victimes des milices marxistes. Notons aussi 680 « disparus », la plupart bénéficiant de faux papiers donnés par le régime Allende (150.000 fausses cartes d’identité avaient été saisies par la Junte) et en réalité partis continuer de semer la terreur au Pérou avec les maoïstes du Sentier Lumineux, au Mexique pour effectuer les basses besognes du PRI ou en Colombie comme mercenaires des narcotrafiquants. De plus, Pinochet fut fidèle à sa promesse de 1977 et rétablit la démocratie au Chili en se retirant du pouvoir suite à son échec honorable au référendum du 5 octobre 1988 : 44 % des voix en sa faveur alors que les sondages ne lui en donnaient pas 30 %. Patricio Aylwin, son successeur, était l’homme lige du trust agricole « argentin » Bunge, celui-là même qui employait le sinistre Pierre Mendes-France et dirigé par les Hirsch, les cartels agricoles étant généralement enserrés dans les tentacules d’Heinz-Henry…

Bien évidemment, les pires calomnies nées des cerveaux détraqués par la haine et la revanche des vaincus de 1973 ont été reprises par les médiats lors de la mort du général. Même si le bobard des « 100.000 morts » (pourquoi pas 6 millions pendant qu’ils y sont…) n’est plus repris, on continue à nous bassiner avec la « torture » (il y eut des cas avérés, mais en quantité et en horreur bien inférieurs aux pratiques de la « Résistance » en 1944 et même à la République Française…) et avec les « disparitions ». C’est tout juste si on n’a pas ressorti de sa naphtaline Evelyne Ripoll qui, en 1989, avait fait croire à sa séquestration et son viol par « deux membres de la police politique chilienne ». Faits qui n’avaient existés que dans l’imagination débordante de cette employée du Parisien Libéré. La meilleure réponse aux menteurs professionnels fut donnée par le peuple chilien lui-même. Plus de 80.000 personnes ont honoré la dépouille mortelle de l’ancien président alors qu’à peine 500 gauchistes nostalgiques des heures sombres de la tyrannie Allende venaient éructer leur haine. A 91 ans, le général Pinochet se retire définitivement de la scène. Il entre dans le glorieux Panthéon aux côtés de Franco, de Salazar, de Mannerheim, de Horthy, d’Ehrhardt, de tous ceux qui – les armes à la main – ont brisé net les criminels marxistes qui terrorisaient leur pays. Arriba Pinochet ! Arriba la Junta ! Por la razón o la fuerza…

50 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Mmmm il n'y a pas de héros blanc...ou Noir, des hommes, seulement des hommes...

11:09 AM  
Anonymous Anonymous said...

Lado negativo del General Pinochet: apoyo a la Pérfida Albión (G.B. de la señora Thatcher) en la Guerra de las Malvinas (año 1982).........

9:06 AM  
Blogger Enzo said...

Au vu de la rivalité musclée entre le Chili et l'Argentine à cause entre autre du détroit de Beagle, c'est compréhensible. Mais inexcusable...

9:11 AM  
Anonymous Anonymous said...

El Ejército Argentino empleaba los famosos misiles Exocet que lanzaba desde los aviones Superetandard (Aeroespatiale)...........

11:38 AM  
Anonymous Anonymous said...

Mon brave, vous vous égarez.
Vous n'avez pas, vous même, subi les exactions de tout ces tortionnaires que vous admirez tant.
Vous manquez singuliérement d'humanité.

1:33 PM  
Blogger Enzo said...

Les "tortionnaires" de Pinochet étaient des anges à côtés des ordures de la "Résistance".

La torture au Chili n'avait pas cette débauche sadique propre aux régimes de gauche. Il n'a fait torturé que des criminels communistes, eux-mêmes tortionnaires, pour leur faire cracher où étaient leurs bombes et leurs caches d'armes. Blâmable certes, mais dans un contexte de guerre civile assez compréhesible. Pour sauver des innocents, il faut parfois "appuyer sur le concret"...

1:38 PM  
Blogger Robert said...

Quelle imagination cet Enzo...!

Une fois de plus, comme tous ses petits camarades révisionistes, "c'est de la faute aux méchants communistes".

Théorie du complot quand tu nous tiens!

Et le superbe final "on ne fait d'omellte sans casser d'oeufs"

J'aurais bien voulu l'y voir!

5:00 AM  
Blogger Enzo said...

Je vais vous faire de la peine, Robert, mais votre idole Staline, il est crevé. Même chose pour l'URSS...

Tout ce que je dis sur le Chili est prouvé, la plupart ayant même été admis par la presse officielle en France.

Quant au communisme, ce n'est pas une opinion, c'est un crime.

5:23 AM  
Blogger Robert said...

"Votre idole Staline" (sic)

Rien ne vous permet d'affirmer que Staline est mon idole, on retrouve là une nouvelle fois la logique binaire habituelle blanc/noir, bons/méchants, etc...

Par contre, Pinochet semble être bien la vôtre, j'image que tous les autres dictateurs d'Amérique Latine également, ainsi que Franco et tous les autres...pour peu qu'il ne soient pas rouges.

Au moins, vous assumez...cependant, il est assez facile d'avoir de telles opinions quand on a son petit cul bien au chaud en France...

12:38 AM  
Blogger Enzo said...

Délirant ce Robert...

Les dictatures d'Amérique Latine, qui me font modérément rêver, je ne suis pas un fan des golpe, ont eu l'immense mérite, notamment dans le Cône latino, d'avoir éradiqué le communisme dont on a vu les effets génocidaires (et raciste) à Cuba, au Nicaragua, au Pérou, voire au Mexique.

Quant à être fasciste en France, ce n'est pas confortable et dangereux non seulement pour sa carrière mais aussi pour sa vie. Mais qu'attendre dans un pays ou une femme niant les crimes de Staline peut enseigner en fac en toute impunité, avec protection gouvernementale...

Bref, continuez à nous faire rire, aimable bouffon...

3:39 AM  
Anonymous Anonymous said...

Vous parlez d ordure en parlant de la résistance ,je vous plaint
Vous auriez fait un bon milicien et un bon collaborateur AU SERVICE DES BOCHES que vous aimez tant.Si vous voulez rendre service a la France ET AUX FRANCAIS faite vous nationalise ALLEMAND ET ALLEZ LES PLAINDRES CHEZ EUX
Quant a franco,pinochet,hitler je vous RAPELLE que eux aussi sont CREVES AVEC LEUR REGIME....

10:37 AM  
Blogger Enzo said...

Que quelqu'un rassure l'étranger que je suis... les Français ne sont pas tous comme ça quand même ???

10:40 AM  
Blogger Robert said...

Et les Italiens, ils sont tous comme toi?

12:02 AM  
Blogger Enzo said...

Je n'en sais rien, je ne suis pas Italien...

12:46 AM  
Anonymous Anonymous said...

Ce genre de propos devraient être interdits...
Comment pouvez-vous oser écrire cela ????...
Vous rendez-vous compte que des jeunes peuvent vous lire et prendre pour argent comptant ce que vous écrivez ?
c'est honteux !
Votre sens moral et votre conscience vous laissent-ils en repos après tout cela ?
mais peut-être n'en avez-vous tout simplement pas ? ça facilite bien des choses.
je ne vous salue pas.
CR

5:09 AM  
Blogger Enzo said...

La vérité fait peur aux gens comme vous... Au lycées, les profs nous disaient que Pinochet était une ordure. Ils nous disaient aussi que l'URSS était une réussite, que la RDA était plus libre que la RFA, que Soljenitsyne était un agent de la CIA et que la Roumanie était plus riche que l'Espagne
Au passage, je ne remercierai jamais assez le FN : sans la lecture de sa presse, je n'aurais jamais entendu parler des Lucs-sur-Boulogne, de la Michalade et de la plupart des crimes communistes...

Tout ce qu'écris sur Pinochet est strictement véridique et tiré de journalistes officiels.

5:19 AM  
Anonymous Anonymous said...

si on vous a dit tout ce que vous écrivez ci dessus vous êtes tombés sur des profs étranges aux propos plus que surprenants ! et le mot est faible... quant à oser dire que toutes vos informations sont vérifiées... par des journalistes officiels ? laissez-moi rire ! ils sont payés par qui vos journalistes officiels ?

quant à vos propos je vous signale que vous avez des expressions qui louchent vers le révisionnisme et le négationnisme et qu'en France (heureusement) ces propos sont punis par la loi !

5:28 AM  
Blogger Enzo said...

Non, mes profs de la laïque lisaient ce qu'il y avait écrits dans les manuels scolaires des éditions Bordas. Citons cet extrait du manuel des profs d'histoire de l'époque : « On montrera qu’il existe dans le monde deux camps : l’un impérialiste et antidémocratique (USA) ; l’autre anti-impérialiste et démocratique (URSS) en précisant leurs buts : domination mondiale par l’écrasement du camp anti-impérialiste (USA), lutte contre l’impérialisme et le fascisme, renforcement de la démocratie (URSS). » (cité par le socialiste Jean-François Revel in La Connaissance Inutile)

Mes propos défendent la vérité historique. Il n'est pas étonnant que vous soyez un adepte de la loi Gayssot : les menteurs ne peuvent imposer leurs légendes que par la répression, comme le fit l'idole de Gayssot, Staline.

Sinon, il suffit par exemple de lire les articles du Figaro des années 80 pour y retrouver tout ce que j'ai dis dis sur Pinochet, entre deux articles anti-FN...

5:56 AM  
Anonymous Anonymous said...

les extrêmes qu'ils soient de gauche ou de droite m'ont toujours inquiétée, justement parce qu'ils portent bien leur nom : "extrême".

vous vous défendez bien piètrement : défenseur de la vérité historique ? en puisant vos références dans les écrits du FN ou du Figaro des années 80 ? c'est édifiant au moins...

à bon entendeur
CR

6:18 AM  
Blogger Enzo said...

Ce qui a de bien avec les gens comme vous c'est qu'on les démasque vite... Considérer le Figaro des années 80 comme une source "extrémiste". Je vois. Donc, vous êtes d'extrême gauche honteuse.

6:25 AM  
Anonymous Anonymous said...

vous êtes pathétique. Si on est pas de votre bord on est forcément de l'autre, le "honteux", celui de l'extrême gauche ????
Si vous n'étiez pas aussi affligeant vous me feriez rire...
CR

6:30 AM  
Blogger Enzo said...

Considérer Le Figaro comme un journal extrémiste, c'est pathétique...

Laissez-moi deviner ce que vous appelez "un journal objectif" dans les années 80... Le Monde peut-être ???

6:36 AM  
Anonymous Anonymous said...

pour ma part aucun média n'est entièrement objectif... il n'apporte qu'une information, à un moment donné et d'un certain point de vue. Ensuite il est nécessaire de croiser les informations pour espérer obtenir un renseignement plus ou moins digne de foi. C'est ce qu'on appelle avoir un esprit critique mon cher.
Ceci dit,
Je ne tomberai pas dans votre petit piège favori à savoir attaquer vos détracteurs sur leurs opinions pour les déstabiliser et mieux les démonter. C'était bien essayé mais ce sera sans moi.

Pour info je n'ai jamais dit que le Figaro des années 80 était un journal extrémiste, j'ai juste émis des doutes sur sa fiabilité, comme tous les médias.

CR

6:55 AM  
Blogger Enzo said...

Donc ceux qui critiquent Pinochet ne sont pas plus objectif que ceux qui le défendent. J'ai dis ce que j'avais à dire, si cette version des faits ne vous plait pas, la blogosphère est vaste, vous trouverez volontiers des sources plus orientée dans votre sens.

7:03 AM  
Anonymous Anonymous said...

Effectivement la blogosphère est vaste. Je ne recherche nullement des infos "orientées dans mon sens" pour vous citer, mais je ne peux laisser dire des énormités non plus et les laisser passer. C'est du simple civisme (j'espère que ce mot ne vous est pas étranger au moins).
Aussi mon cher quand on publie des textes aussi polémiques que les vôtres, on ne peut pas espérer ne lire que des réponses qui abondent dans votre sens et rester tranquille dans votre petit coin. Il faut toujours s'attendre à un retour de bâton.
On publie, on est lu, il y a des réponses... Je suis bien désolée qu'elles vous déplaisent mais je crois surtout que "je vous ai coupé le sifflet". Ce sera tout pour ma part.
Encore une fois je ne vous salue pas.
CR

7:11 AM  
Blogger Enzo said...

Vous n'avez rien coupé du tout, vous avez invectivez avec une phraséologie comminsante mais sans un contrz-argument.

Prouvez que je dis des choses fausses avec des sources. Et on en reparlera...

Mais que demander à un petit délateur digne de la Stasi que vous me semblez être. Je n'aurais pas aimé être juif dans votre voisinage en 1942 ou de droite en 1944...

7:14 AM  
Anonymous Anonymous said...

si vous essayez de m'énerver avec vos petites insultes vous ratez votre but. Les types dans votre genre m'insupportent au plus haut point mais je leur fait jamais l'honneur de leur donner suffisamment d'importance au point de sortir de mes gonds. ça n'en vaut franchement pas la peine.

Mais je crois que j'ai réussi au moins une chose, je vous énerve ! vous êtes en train de perdre pied : relisez-vous...

ça devient drôle ceci dit.

7:23 AM  
Blogger Enzo said...

C'est vous qui perdez votre sang-froid.
Je vous demande une chose simple : des arguments
Or, rien de tout cela.
Preuve que vous n'avez rien en stock.

7:32 AM  
Anonymous Anonymous said...

que voulez vous comme argument ? que je vous dise que non Pinochet n'était pas un bienfaiteur de l'humanité comme vous le pensez ? je vais briser un mythe : Pinochet n'a jamais été un philantrope ni même Franco et encore moins Salazar. Mais quand on considère que les personnes tuées sous (et au nom de) son régime ne sont que des dommages collatéraux il est impossible d'entendre raison.
On appelle cela la pauvreté de vue.

7:37 AM  
Blogger Enzo said...

Pinochet à moins de morts sur la conscience que De Gaulle ou que Churchill... Franco et Salazar aussi d'ailleurs...

7:48 AM  
Anonymous Anonymous said...

vous êtes comme les enfants ?
"ah mais il le fait aussi !!! alors je ne suis pas responsable !!!"

c'est vraiment trop facile...

7:54 AM  
Blogger Enzo said...

Non, c'est "ne fais pas aux autre ce que tu ne veux pas qu'on te fasse".

Une histoire de paille et de poutre.

Avant de critiquer Pinochet ou Franco, commence par attaquer Churchill et De Gaulle pour être crédible.


Un gaulliste critiquant un franquiste est aussi crédible que Jack l'éventreur jugeant Maxime Brunerie...

7:57 AM  
Anonymous Anonymous said...

que je sache nous n'avons pas été présentés donc je ne vous autorise pas à me tutoyer. politesse élementaire.

8:13 AM  
Blogger Enzo said...

Désolé, je ne vousvoie que les aristoï, quelque soit leur condition

8:16 AM  
Anonymous Anonymous said...

tiens me voilà propulsée gaulliste maintenant ? toujours aussi cohérent tout ça.

pour le moment je ne réclame que faits historiques et objectifs ... vous en restez aux idéologies...

toujours la même rengaine.

8:16 AM  
Blogger Enzo said...

C'est facile de se réfugier derrière l'anonymat... Voyus dites "je ne suis pas si", "je ne suis pas ça"... mais qu'êtes vous ? Rien...

Pour les faits, tout l'article en regorge ainsi que l'autre article sur Pinochet qui est sur ce blog.

A vous de contrez-argumenter avec des faits dont, pour le moment, vous n'avez fait aucune mention...

8:18 AM  
Anonymous Anonymous said...

vous avez raison je ne suis rien... rien de plus que ces innocents qui ont été exterminés par votre cher Pinochet ou par les autres dont vous vous réclamez au nom de leurs idéologies... c'est plus facile de tuer, torturer et éliminer un "rien" qu'un être humain n'est-ce pas ?

il y a au moins une chose sur moi que vous n'avez pas relevé dans mes propos... vous n'êtes pas très fin observateur ou vous ajoutez encore un élément à la longue liste qui compose votre étroitesse de vue et d'esprit.

CR

8:40 AM  
Blogger Enzo said...

Aucun innocent n'a été "exterminé par la police de Pinochet". Ceux qui l'ont été étaient coupable, nous ne sommes pas sous De Gaulle ou en URSS ou aux USA...

Et je vous mets au défi deprouver le contraire...

Mais bon, allez faire entendre cela à quelqu'un de formaté par l'EN (Education Nationale;, prononcer Euh-Haine)...

Désolé, mais vous n'êtes pas le centre du monde. Vous signez parfois CR, c'est surement un indice mais j'ai passé l'âge de jouer à Scoodiboo...

Vous avez du venir ici par un forum quelconque ou via google.

8:47 AM  
Anonymous Anonymous said...

je suis peut-être formatée EN comme vous dites... vous êtes bien formaté FN et fascisant chacun ses défauts...
mais je n'ai pas l'intention de jouer avec vous ça non... les sujets que vous abordez ne sont pas des jeux ne vous en déplaise...
quant aux moteurs de recherche ils permettent de trouver le meilleur comme le pire (dans votre cas).

Bon vu que nous tournons en rond je vous laisse faire mumuse avec l'Histoire... je repasserai voir de temps en temps si vous ne jouez quand même pas trop avec...

CR (ce sont mes initiales tout simplement ne cherchez pas trop loin, je ne voudrais pas que vous fatiguiez votre esprit si subtil avec des élucubrations trop alambiquées : je n'ai pas la prétention d'être le centre du monde non plus... sachez que vous ne l'êtes pas plus...)

9:03 AM  
Blogger Enzo said...

Bref, nous avons :

1 - une personne pas très courageuse qui ne signe que par des initiales

2 - une personne qui n'a pas été fichue de donner la moindre preuve tangible d'une soi-disant "horreur pinochétiste" supérieure à une démocratie.

3 - une personne qui fait ce que nous appelons "un jugement téméraire" car si je peux parler de l'enseignement de l'Education Nationale, c'est que j'en sors... De plus, j'ai été si peu "formaté" par le FN que je l'ai quitté dès que les positions me déplaisant ont dépassé celles qui m'intéressait.

Heureusement qu'il y a des gens comme vous, cela ne fait que démontrer à mes lecteurs la justesse de mes positions. Je ne dis rien, je dis seulement : "constatez".

9:14 AM  
Anonymous Anonymous said...

bien, on me met en cause, je réponds... reprenons dans l'ordre.

1. je suis aussi courageuse que vous qui signez d'un prénom, qui n'est probablement pas le vôtre... on appelle ça un pseudo non ? donc pseudo ou initiales : je ne vois pas la différence.

2. je ne donne pas la moindre preuve ? parlons-en... dans les torchons que vous publiez si courageusement vos soi-disants preuves sont particulièrement discutables. je ne vais pas revenir sur vos sources ... j'ajouterai juste que lorsque vous citez les manuels scolaires, vous citez en fait un livre citant les manuels...
en Histoire on appelle ça une source de seconde main... très très fiable effectivement.
De plus, les vocables utilisés dans cette situation ne sont que du jargon "guerre froide" donc très franchement je ne vois pas ce que ça apporte de plus.
Mais si ça vous dit, quand j'aurais du temps à perdre je reviendrai démonter vos soi-disants arguments : n'étant juste pas une spécialiste de la période, je n'avancerai aucun chiffre que je ne peux vérifier avant.

3. vous avez quitté le FN après qu'il vous ait formaté ? la belle affaire... pour devenir quoi ? partisan du MNR ? vous avez préféré Bruno à Jean-Marie ? ou des groupuscules encore un peu pls fascisants ? peu m'en chaut, en vérité.
Quant à mon jugement téméraire : eh bien quoi ? vous sortez de l'EN ?
j'espère bien que c'est elle qui vous a sorti à coups de pieds bien sentis... quelqu'un comme vous n'a en effet rien à y faire...

la justesse de vos opinions ? ça me fait doucement rigoler... chers lecteurs de ce charmant blog, n'y lisez que ce qui doit y être lu : une dénaturation des faits historiques au profit d'une idéologie...

sur ce,
CR

10:56 AM  
Blogger Enzo said...

Insultes, ton agressifs et toujours pas le moindre argument, avec d'incompétence...

Merci de nous montrer que vous êtes le maillon faible...

Comme disait François 1er en noyant ses chiens : "il n'est si bonne compagnie qui ne se quitte..."

11:03 AM  
Blogger jul91 said...

quand tu parles d'une politique de terreur stoppée par le général Videla: 30000 morts..Le pays ruiné par la corruption et appauvri, les gens jetés d'un hélicoptère. Les rafles qui touchaient même les adolescents dans les lycées..

6:56 AM  
Blogger Enzo said...

La corruption a été une constante dans toute l'histoire de l'Argentine, démpocratique ou dictatoriale. Videla n'en a pas eu la primeur, lui-même ne l'était pas, son entourage oui.

Même chose pour la faillite économique de l'Argentine, qui a été lancée par Peron qui voulait faire une politique "à l'Allemande" en oubliant que les Argentins n'étaient pas les Allemands et qu'on cherche encore l'équivalent argentin de la Ruhr...

Pour les 30000 morts, ce fut certes terrible mais n'oublions pas que Videla luttait contre une guérilla dont les modèles étaient Mao et Pol Pot, c'est à dire qui était prête à exterminer 8 à 10 millions d'Argentins, notamment toute l'élite du pays.

Pour la torture, les hélicpotères, je ne puis que confirmer, j'ai des témoignages des bourreaux. Mais le climat d'une guerre civile est propre à ce genre d'horreur et la France, en ce domaine, n'a pas de leçons à donner à l'Argentine... 30000 morts chez eux pour 20 millions d'habitants, 105000 chez nous pour 40 millions d'habitants.

7:17 AM  
Blogger Robert said...

"Au lycées, les profs nous disaient que Pinochet était une ordure. Ils nous disaient aussi que l'URSS était une réussite..."

A présent, nous avons compris, le petit Enzo a été traumatisé dans son enfance par ses méchants professeurs...

Ceci explique tout...

4:47 AM  
Blogger Enzo said...

Je suis tombé fortuitement sur l'endroit d'où est venue "Anonymous", qui est une agent d'endoctrinement de l'Euh-Haine, un de ces excellents profs de l'école aux 1500 viols par ans (des gamines de 10 ans maintenant...) et à la violence présente. Mais bon, ce sont eux qui donnent le ton...

Avec de tels profs, la conquête de la France ne nous posera aucun problème. Continuez surtout !!! :)))

12:15 AM  
Anonymous Anonymous said...

1500 viols par ans dites vous? avec vous en tant que professeur, je veux bien le croire...


j'ai aussi un leger recul face à la formule " tiré de journalistes officiels" ça s'appelle le fist fucking non?

Quand à dire que vous craignez pour votre vie, en effet vous le pouvez...

7:00 AM  
Anonymous Anonymous said...

Votre mémoire ...n'est pas la mienne.

http://rupturetranquille.over-blog.com/article-7358083.html

Vive la Sociale, vive la Gueuse !

Et, évidemment, mort aux collabos...

11:46 AM  
Blogger Enzo said...

"mort aux collabos" dites vous...

Vive la Gueuse, vous avez dit, vous êtes donc un collabo de nos ennemis, alors je n'aurais qu'une phrase à vous dire : "Run Forrest Gump, run !!!"

12:10 PM  
Blogger Enzo said...

Source : presse officielle, essentiellement Le Figaro. Les livres de l'ex-tortskyste Suzanne Labin et du résistant Pierre Villemarest ont été aussi utiles.

2:13 AM  

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