Wednesday, August 16, 2006

A propos d'une peau de Chouan

A propos (Légende : Les Lucs sur Boulogne, symbole de l'Holocause vendéen. 519 (560 ?) femmes et enfants vendéens sont brûlés vifs dans l'Eglise au nom de la Liberté, de l'Eglaité et de la Fraternité...)

Encore une preuve supplémentaire du racisme antichrétien atavique de la Gueuse et de ses zélotes. Même si nous ne sommes pas partisans de l’indépendance de la Bretagne, nous ne pouvons qu’approuver l’action de l’Adsav ! (la renaissance en breton, BP 0610, 44476 CARQUEFOU Cedex), un mouvement breton de droite nationale. Le 11 janvier, les patriotes bretons ont investi le Muséum des Sciences Naturelles de Nantes afin de protester contre la présence céans d’une peau de chouan tannée, exigeant que celle-ci soit rendue à la terre de ses ancêtres. Le lendemain, Youenn Le Goff adressait au nom du Collectif des Libertés Bretonnes le communiqué suivant : « Une quarantaine de militants bretons du COLLECTIF des LIBERTES BRETONNES de NANTES. a investi samedi 11 janvier le Muséum des Sciences Naturelles de NANTES, afin de dénoncer le spectacle affligeant de cette peau humaine de chouan tannée exposée au public. Après avoir recouvert la vitrine, où est exposée l’enveloppe humaine, d’un linceul noir brodé d’une hermine blanche, les militants du COLLECTIF des LIBERTES BRETONNES ont rencontré la presse et expliqué leur action symbolique. Ils ont insisté sur cette époque horrible, sanguinaire et inhumaine, celle stratégie politique dans laquelle des utopistes ont tenté d’imposer leurs rêves en éliminant toute opposition. Ce génocide des Bretons et des Vendéens, (suivi quelques années plus tard de celui du Camp de Conlie), la France ne l’a jamais reconnu, ni fait acte de repentance, cette France des droits de l’homme et donneuse de leçons. Ils ont également insisté sur cette France révolutionnaire et son régime issu de 1789 qui a inspiré tous les régimes totalitaires et sanguinaires du monde. On peut affirmer sans erreur que la révolution française et sa dérive totalitaire, accolent logiquement la France de 1793 â I’URSS stalinienne. Lénine, bien avant le nazisme avait inauguré le génocide de masse et instrumentalisé les moyens pour y parvenir. En lui succédant en 1924, Staline a poursuivi la politique de transformation radicale de la société !.Les crimes monstrueux commis lors de ce génocide volontairement perpétré, calculé, cette volonté totale d’extermination, ont été très naturellement justifiés par des hommes comme Saint Just, qui écrivait dans son rapport du 14 août 1793 â la commission des moyens extraordinaires « on tanne à Meudon la peau humaine,. la peau qui provient d’hommes est d’une consistance et d’une beauté supérieure à celle des chamois. Celle des sujets féminins est plus souple mais présente moins de solidité». Et dire qu’il y a encore aujourd’hui de nombreux hommes politiques français qui se réfèrent â un tel monstre sanguinaire. C’est moins la Bretagne que la France qui est malade de son histoire, de sa mémoire. Enfin, un courrier va être adressé dans les prochains jours au Conservateur du Muséum, avec copie a l’ensemble des Conseillers municipaux de la ville de Nantes, afin que soit immédiatement retiré cette peau tannée au nom du respect de l’être humain, mais également qu’elle soit remise â la terre qui l’a vu naître avec une sépulture digne de la recevoir. Le COLLECTIF des LIBERTES BRETONNES recherche dés â présent une municipalité bretonne qui accepterait de recevoir celle dépouille de ce chouan ». Même si je ne suis pas favorable à l’indépendance de la Bretagne, je suis pour un devoir de mémoire sur cette période. Cette peau de Chouan, transformée en vêtement est bel et bien de la peau humaine.. Cette précision est nécessaire, car non seulement la mémoire chouanne a été étouffée, mais en plus elle a été volée. Etouffée, car les Républicains se sont empressés d’effacer au maximum les traces de leurs forfaitures. Si on en croit Reynald Secher dans La Vendée-Vengé ou Simone Loidreau dans Les Colonnes infernales en Vendée, de nombreuses pièces officielles ont été opportunément expurgées. Ainsi, toute la partie du dossier militaire du sanguinaire Grignon concernant la période 1793-1794, de même que celle de son complice de la 2e colonne Lachenay ont « disparue». Comme le disait un chef républicain « Ces brigands [les Vendéens] ne pourront pas écrire de livres ». Entre ceux qui font l’apologie des massacres en Vendée (Michelet), et ceux qui en nient la réalité (Marianne, Télérama, l’Histoire, le Réseau Voltaire) , il faudra attendre les contributions de Reynald Secher et de Pierre Chaunu pour permettre au peuple de savoir ce qui a vraiment été la République. De plus, la mémoire vendéenne a été volée. De crimes réels et atroces commis de 1793 à 1796, on les galvauda en créant des falsifications historiques lors d’autres conflits. A l’histoire, bien réelle, de graisse humaine récupérée sur les cadavres des femmes vendéennes, on fit place aux bobards sur le savon humain fabriqué par les Allemands tant en 1917 qu’en 1945. A la peau de Chouan, bien réelle et bien visible, on fit place au mythe des « abats-jours en peau humaine » de Buchenwald, peau qui, à l’analyse s’avérait être de la banale peau de chèvre. La Guerre de Vendée, c’est le vrai visage de la République. La volonté d’extermination de tout ce qui est différent qui suinte comme le pus d’une plaie. De temps en temps, quand elle vacille sur ses bases, la Gueuse montre son vrai visage comme en 1793, 1905, 1944, 1962 ou, à un degré moindre, 2002. Celui qui avait le mieux compris la terreur ce fut… Karl Marx : « La Terreur, c’est la bourgeoisie parisienne qui a chié dans ses culottes » (Lettre à Engels, en pleine guerre Franco-Prussienne de 1870). Car la Révolution Française et la République qui s’en suivit furent indubitablement bourgeoises. Cette mentalité hédoniste, cupide, jouisseuse, qui nous a amené le malthusianisme démographique et le sacrifice de notre race sur l’autel du profit. Nous ne pendrons pas les bourgeois avec les tripes des curés (de toutes façons, même si les curés sont de gauche, il n’y en aurait pas pour tout le monde…), mais avec celles des « peaux de cochons ». Aucune négociation n’est possible avec la République : outre que pendant la guerre de Vendée elle a massacré tous les Vendéens qu’elle trouvait sur son chemin sans se préoccuper de leurs opinons politiques (ainsi, des collabos des Bleus furent liquidés par leurs propres amis !), les accords de paix signés avec Charette en 1796 furent violés immédiatement par les Bleus. Même Napoléon eut plus de parole ! On pourrait retrouver des exemples similaires en 1905, 1944, 1962 et ainsi de suite. A l’étranger, chaque fois que les catholiques eurent le malheur de négocier avec la République (Mexique, Cuba, Russie) ils ont été trahis. Eduquons les Républicains, mettons-leur du plomb dans la tête… La France doit faire acte de repentance pour le génocide Vendéen. Comme la réalité des massacres de la guerre de Vendée fut pire que tout ce que la propagande attribue aux nazis, alors il faut en déduire les conclusions qui s’imposent : destruction de la République, interdiction de la propagande républicaine, suppression du Panthéon, retrait du nom de Turreau de l’Arc de Triomphe, changement de nom de toutes les rues, places, avenues, bâtiments et stations de métro portant les noms de République, Robespierre, Danton ou tout autre révolutionnaire français ou étranger, interdiction de toute propagande républicaine assimilable à l’apologie de crimes contre l’humanité… DELENDA REPUBLICA EST

6 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Vous avez totalement raison, je ne changerais pas une ligne à ce que vous dites. C'est totalement occulté par les tenants de la pensée officielle, dommage ...

8:30 AM  
Anonymous Anonymous said...

Je suis d'accord avec tout ce qui est écrit, je ne changerais pas une ligne.

9:04 AM  
Anonymous Anonymous said...

je pense qu'il faut au contraire conserver précieusement cette peau de chouan tannée comme preuve historique incontestable !!

3:39 PM  
Anonymous Anonymous said...

Est-ce que vous avez le nom d'un livre ?
Cette histoire de peau me fait penser à une émission télé qui décrivait une histoire assez dégoutante : la dernière survivante d'un groupe de primitifs, vers 1900, après avoir introduit un explorateur blanc dans sa famille, s'être marié avec, a vu tous les siens mourir, et a demandé à avoir une sépulture digne, pas comme un singe, ce qu'on lui a promis de son vivant, et dont les os sont en fait exposés dans un musée d'anthropologie
C'est intéressant, parce qu'après cette histoire, on avait envie de crier au raciste : cette peau de chouan dans un musée montre que depuis 1789 le vent vient en fait d'une direction bien particulière ...

9:33 AM  
Anonymous MG 42 said...

c'est pas cette histoire ?

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saartjie_Baartman

"Esclave, elle fut emmenée en Europe par un Britannique à Londres en 1810 où on la baptisa du nom de Saartjie Baartman avec l'autorisation spéciale de l'évêque de Chester. Vendue, elle devient bête de foire "

...nos "bons amis" les esclavagistes anglais déjà denoncés par serges de beketch.


"Georges Cuvier zoologue et chirurgien, estime que Saartjie est la preuve de l'infériorité de certaines races. Peu après sa mort, il entreprend de la disséquer au nom du progrès des connaissances humaines. Il réalise un moulage complet du corps et prélève le squelette ainsi que le cerveau et les organes génitaux qu'il place dans des bocaux de formol. "


"Cuvier, le plus célèbre
anatomiste de son temps la réclame et l'obtient.Il
dissèque le corps, après en avoir réalisé un moulage, en conserve le
squelette ainsi que les fesses et les organes génitaux conservés dans
un bocal de formol
... Ces restes furent
exhibés au Museum d'histoire naturelle de Paris. Mais son aventure
continue : une personne qui a consde Saartje. Ensuite, l'ensemble des restes furent exposés au
trocadéro pendant l'exposition universelle de 1889 pour la célébration
du centenaire de la Révolution française.
Rappatriés
au Muséum, l'ensemble est de nouveau séparé, puisque le conservateur
déclare la perte du squelette. Le moulage et les parties conservées
dans le formol seront d'abord exposés dans la section préhistoire et
enfin remisés dans la réserve, suite à des plaintes du personnel et des
visiteurs."


http://fr.shvoong.com/social-sciences/anthropology/172872-%C3%A9nigme-la-v%C3%A9nus-hottentote/

6:36 AM  
Anonymous MG 42 said...

http://www.vivelesrondes.com/?p=948

"Cette situation honteuse ne manqua pas d’émouvoir une association de lutte pour les droits des personnes de couleur, puisque l’esclavage avait été récemment aboli en Angleterre. Mais Saartjie, menacée par Dunlop et Heindrick d’être mise dans une maison de passes ou dans un asile d’aliénés, n’eut de cesse de déclarer qu’elle était là de son plein gré, puisqu’on lui avait promis qu’elle retournerait dans son pays d’ici quelques années, avec son argent gagné, à la fin de son « contrat » (qu’elle avait signé alors qu’elle ne savait pas lire)… Devant la cours de justice, elle s’entêta, de crainte de tomber sous la tutelle de l’association qui tentait de la soustraire à sa triste condition de bête de foire : elle préféra rester sous celle de ses « maîtres », qu’elle connaissait déjà. On la fit baptiser et Saartjie devint Sarah Baartman. Dunlop lui fit même l’honneur de l’épouser, sans lui dire qu’il était déjà marié et que par là-même, leur mariage ne valait rien… Mais étant officiellement son mari, il n’avait même plus à lui donner de gages puisque légalement tout l’argent de son « épouse » lui revenait… "

des cafards...



"Sarah Baartman fut assimilée au chaînon manquant, une espèce de l’humanité qui se situe tout en bas de l’échelle de l’évolution, quelque part entre l’espèce humaine et l’orang-outan subhumain*"

bin quand on se reclame de darwin, voila ou ca mêne...



"Par pur cynisme, notons qu’à sa mort en 1832, Cuvier vit son cerveau également prélevé et mis dans un bocal sur une étagère, où il voisina avec celui de Sarah Baartman…"

on apelle ca la justice immanente. :)

7:01 AM  

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