Wednesday, August 16, 2006

A propos de Louis XVII

(Légende : Louis XVII, roi de France, martyrisé au nom de la République, de la Démocratie et des Droits de l'Homme)
Françoise Chandernagor, la première femme major de promotion de l’ENA, pond un bouquin sur Louis XVII. Ma foi, pourquoi pas… La grande presse a flairé un livre comme le chien approche un hérisson. Beaucoup de « pourquoi ? » dans ce livre, mais guère de « parce que »… « Comment une telle ignominie a été possible ? » fait mine de demander Marie-Françoise Leclère dans les colonnes du Point (25 octobre). Personne n’ose donner la réponse. En fait, si une telle ignominie a été possible, c’est qu’elle était inscrite dans les gènes de la République. La République, comme disait Saint-Just, c’est la destruction de tout ce qui s’oppose à elle, même si ce sont des enfants… Idéologie de haine et de mort, la République, cette marâtre à bonnet phrygien, a infligé au petit roi Louis XVII le sort qu’elle prévoit à la France. La République, c’est l’anti-France par excellence, c’est la destruction de celle-ci… La volonté des Illuminati et de leur précurseur Comenius était « de libérer l’homme » de la monarchie et de la religion pour créer une « société parfaite ». On en voit le résultat actuellement. Ce livre a au moins une qualité. Il montre ce que sont les Républicains : des lâches qui n’osent pas assumer leurs crimes et leurs responsabilités, des ordures qui n’hésitent pas à s’en prendre à des enfants, des pervers aussi. Un Républicain doit être éliminé sans le moindre commencement d’état d’âme. Nos frères russes ont canonisé le Tsar, la Tsarine et la famille impériale de Russie morte en haine de la foi. Un jour viendra où l’église catholique canonisera Louis XVI, Marie-Antoinette et le petit Dauphin martyr. Louis XVII a été victime du racisme républicain, tué uniquement au nom du sang royal qui coulait dans ses veines. Il y a des parallèles évidents entre la façon dont les Républiques française et russe ont traité les enfants royaux et la façon dont les parents bourreaux les plus socialement évolués s’y prennent avec les enfants martyrs. Il y a cette volonté non seulement de tuer, mais de détruire l’autre en tant qu’être humain. Quand on voit les pontes de la république maçonnique venir se repaître de la déchéance du petit prince, on repense aux témoignages des enfants maltraités que leurs bourreaux enferment dans un placard, interdisent de se laver ou affublent de vieux vêtements. Les geôliers de Louis XVII, ancêtres des kapos d’Auschwitz ou de la Kolyma, ne l’appèlent que « le sapajou » ou « le fils du cocu et de la putain ». Cette volonté de destruction méthodique d’un enfant de huit ans fait froid dans le dos. Et ce sont les admirateurs de ces gens-là qui se permettent de critique les nazis. Le martyr de Louis XVII était essentiellement talmudique : il était considéré comme un objet « impur », que l’on doit surveiller sans avoir le moindre contact avec lui. C’est la seule différence avec la procédure de destruction des enfants battus. Dans Le Mal interdit, Bénédicte Gutierrez évoque sa mère homosexuelle et directrice d’école qui l’avait détruite psychologiquement : dénigrement systématique, insultes, fausses accusations entraînant des séances de torture, vêtements ramassés dans les poubelles, cheveux coupés… Même cas de figure pour la petite Camille Laverne dans La Bassine rouge : mère cadre de direction alcoolique qui la torturait, meilleure amie de la mère directrice d’agence immobilière, pédophile et lesbienne qui abusait d’elle et détruisait son psychisme en la traitant comme un nourrisson et en la faisant lentement et méthodiquement retomber en enfance.
Les Républicains sont pires que ces nazis dont ils nous rebattent les oreilles. S’il faut détruire le national-socialisme au nom des enfants juifs qui ne sont pas revenus de déportation, alors il faut détruire la République au nom du petit Louis XVII et des enfants de Vendée… Cependant, vous verrez un certain nombre de pseudo-intellectuels, tous israélites, vous seriner que « la Shoah est unique » et que les massacres de la guerre de Vendée ne sont que « quelques bavures regrettables ». Et pour cause : même un anti-nazi admet que Hitler est l’homme qui a fait le plus vaciller le Moloch juif sur son piédestal. Or, selon le Talmud, seuls les Juifs sont des êtres humains, les goïm étant des animaux créés par Yahvé pour être leurs esclaves. Cet état d’esprit est celui de la majorité des instances dirigeantes juives. Certains pensent que le petit Louis XVII a réussi à s’évader du Temple et que ses descendants attendent le moment venu pour reprendre son trône. Nous l’espérons nous aussi. Mais si en deux siècles, la France a changé, et pas en mieux, les Républicains, eux, sont restés les mêmes… Des corrompus, des incapables, des ignares manipulés et vaniteux dont on achète l’âme en flattant leur ego mal placés à coups de bimbeloteries métalliques et de tabliers en peau de cochon… DELENDA REPUBLICA EST !

1 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Hi Enzo! Congratulations on your excellent exposition on the most sad (and there were too many) episodes of the French Revolution. This is one of the unexplainable facts that will always be a blot for mankind. The only explanation I find for the "Droits del'homme" is that these wild beasts self-called "revolutionaires" issued it in order to protect themselves from future prosecutions should Monarchy and (real) Legality would return. But, Justice acted on them too, they also got guillotined, but I feel that was not enough. The Wasted Sun, the King Boy Louis XVII will always be there, in that windowless cell in the darkness, freightened, waiting for Justice for him and the many martyred children of La Vendeé. From here to heaven, where he is for sure, I send Louis XVII a big and warm motherly hug and a sweet kiss.

2:04 PM  

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