A propos de Pierre Mendes-France
Publication phare de la haute finance apatride, Le Nouvel Observateur se veut une publication de la gauche républicaine et morale. Soit. Fondé par Jean Daniel, de son vrai nom Daniel Bensaïd, Le Nouvel Observateur n’a jamais caché son soutien à l’extrême gauche, n’hésitant pas à collaborer avec les terroristes du FLN et même, sous la plume de Jean Lacouture, à se livrer à une vibrante apologie de Pol Pot… Nous avons suffisamment évoqué le financement de ce journal par le biais du lobby pornographique pour ne pas y revenir. Bien évidemment, l’hebdomadaire ne cache pas sa haine des nationalistes et des catholiques de tradition. Nous avons souvenance d’un reportage sur Toulon réalisé par Chantal de Rudder que nous avions étrillé d’importance dans les colonnes du Libre Journal de la France Courtoise. Dans son numéro du 26 septembre, l’hebdomadaire parle à plusieurs reprises d’histoire, notamment de la Seconde Guerre Mondiale. Evidemment, le point de vue du journal n’a rien à voir avec la réalité historique, mais est en parfaite orthodoxie mondialiste. Pour commencer, un petit article de Mona Ouzouf sur le livre de Jean-Denis Bredin Un tribunal au garde-à-vous, le procès de Pierre Mendès France. Pour commencer, précisons que dans ce numéro, Mona Ouzouf a été placée dans la liste des personnalités « en hausse » de l’hebdomadaire. C’est ce qu’on appelle de l’auto-promotion… Le livre de Brendin essaie de nous faire pleurer sur le sort de Pierre Mendès-France, l’un des pires politiciens que notre pays ait connu… Mona Ouzouf nous ressort la thèse mille fois éculée et mainte fois réfutée dans nos colonnes du « complot antisémite international ». Elle ose même conclure : «On peut alors redouter que la moindre crie de la démocratie ne fasse renaître » Comme si les prétendus « antisémites » n’étaient pas eux-mêmes les boucs émissaires des Juifs, comme si la République n’avait pas non plus eu ses boucs émissaires, les « calotins », les « fascistes » et autres « mauvais républicains »… Comme si les B’naï B’rith, les Illuminati, la Golden Dawn, les Palladistes n’étaient que pure invention… Son article est une véritable entreprise de falsification historique, notamment lorsqu’elle accuse la France de Vichy d’avoir eu « recours, pour conjurer l’angoisse de la défaite et prendre une revanche globale sur l’affaire Dreyfus, sur le gouvernement Blum, sur la démocratie, au démon familier de l’antisémitisme ». On comprend que Mona Ouzouf veuille protéger ses compatriotes et ses amis politiques. A nous de donner les arguments rétablissant la vérité historique et l’honneur de la Révolution Nationale. Comme je le prouve dans Le Mensonge antiraciste, les extrémistes juifs ont joué un grand rôle dans la débâcle de 1940. Blum, lié aux 200 familles qu’il vilipendait tant dans ses discours (ce qui lui valut la haine tenace de plusieurs communistes, à commencer par Aragon et Thorez), avait désarmé la France de 1936 à 1938 avant de nous précipiter à la guerre pour l’intérêt bien compris de Wall Street. Bien que vomissant l’Allemagne par tous les pores de sa peau, Charles Maurras avait compris que la France n’était pas du tout prête à la guerre face à une nation remise sur ses rails en quelques mois par la volonté d’un homme, Hitler, mais aussi un coup de main providentiel de l’URSS et des Etats-Unis. Car l’enjeu était clair. Il fallait que l’Allemagne et la France s’épuise dans une longue guerre mutuelle, du même ordre que celle de 14-18, afin que l’URSS puisse passer à l’offensive le 6 juillet 1941 et gagner la guerre en Europe. Seulement, rien ne s’est passé comme prévu : les Allemands, grâce à l’idiotie de F... Maurice Gamelin, ont été informés du projet allié d’invasion de la Norvège et ont donc anticipé avec succès. De plus, l’audace du passage en force dans les Ardennes grâce à la théorie de la Blitzkrieg (mise au point entre autres par deux patriotes allemands ayant du sang juif dans les veines : le général Erich Lewinsky von Manstein et le général d’aviation Helmut Wilberg…) permit aux troupes du Reich de faire voler en éclat l’armée française, dont certains combattants eurent une attitude héroïque (et paradoxalement, deux futurs collaborateurs : Joseph Darnand et Louis Darquier dit de Pellepoix), amenant à la signature de l’armistice en 38 jours. Résultat, la Grande-Bretagne se retrouva seule contre l’Allemagne. Hitler, rassuré par Rudolf Hess, était persuadé que lord Halifax obtiendrait le poste de Premier Ministre et ainsi signerait la paix. Or, à la grande surprise de Hess manipulé par la Golden Dawn, ce fut Churchill qui reçut l’investiture. Le Japon poussé à la guerre par Roosevelt, les Américains soutenant l’URSS que les Allemands purent contenir grâce à la guerre préventive amenèrent au résultat que l’on sait. Le gouvernement de Front Populaire, vendu au gros capital apatride, fut le seul et l’unique responsable de la débâcle de 1940 et le procès de Riom en était son juste châtiment. Point final ! Le plus beau : la rengaine « Mendès France patriote » Mendès France républicain, oui. Mais pas patriote. Un dignitaire républicain ne peut pas aimer la France. D’ailleurs, et Mona Ouzouf se garde bien de le préciser, Mendès France était totalement vendu à la haute finance anglo-saxonne, comme l’a magistralement démontré Henry Coston dans Les Financiers qui mènent le monde. Depuis le début de sa carrière, les bonnes fées de la haute finance apatride, jamais en retard quand il s’agit de soutenir un frère de sang, se penchèrent sur son berceau… Issu d’une famille de négriers de Bordeaux (après avait quitté la péninsule ibérique, d’où le patronyme), Pierre Mendès France fut initié en L... le 19 mai 1928 (L... Paris) avant de s’affilier à la L... Union et Progrès de Pacy-sur-Eure… Avocat d’affaires, ce prétendu humaniste n’a pas hésité à se faire le défenseur du trust capitaliste américain Bunge, spécialisé dans les céréales et le textile. Il est beau, le héraut (héros ?) (zéro ?) de la gauche… Cette curieuse amitié apatride ne l’empêcha pas d’être élu député de Louviers en bénéficiant de l’aide du PCF. A l’Assemblée, il se fit l’ardent défenseur de mondialisme et notamment pour la suppression des banques nationales au profit d’un organisme apatride (qu’il voyait, cela va sans dire, dirigé par ses frères de sang) : dans son livre La Banque Internationale, il chantait les louanges de la loi de la finance suppléant le droit individuel…Véritable ministre des finances de Blum, il fut mobilisé en Syrie puis à Mérignac. Lors de l’affaire du Massila, Mendès-France et ses amis voulaient ni plus ni moins s’enfuir pour l’Argentine. Mais Buenos Aires ne voulant pas d’eux, ils se replièrent sur le Maroc. Mendès rejoignit alors la Grande-Bretagne pour s’engager dans la RAF et venir bombarder la France. Pierre Mendès-France fut ensuite mandaté par la haute finance afin de liquider l’empire colonial français. Staline mis hors d’état de nuire et le shabbat-goy Beria liquidé, l’URSS redevenait la sœur chérie revenue dans le giron internationaliste avec Perlmutter dit Khrouchtchev… Pour que la France devienne dépendante des Etats-Unis, il fallait qu’elle perde le pétrole algérien et les richesses minérales et agricoles de l’Indochine. Il trouva un écho à la Banque Lazard. Celle-ci, alliée au Gradis et aux Servan-Schreiber, avait l’un de leur principal concurrent (la banque Indosuez probablement) qui disposait de gros intérêts dans la partie septentrionale de l’Indochine. En lâchant l’Indochine, cette banque perdait tous ses avoirs. Ce qui fut fait. A noter que les mendésistes se dotèrent rapidement d’un journal, L’Express, dont le fondateur fut Servan-Schreiber ! Puis, Mendes-France, à la demande des banques apatrides américaine, fit capoter le projet de CED pour la bonne raison que ce dernier émanait de Pie XII et se voulait une volonté d’une Europe catholique face à l’hégémonie rouge. Or, par le biais de leur employé JEAN Monnet, les trust américains voulaient une Europe sous contrôle protestant qu’il puisse bien tenir. D’autre part, l’échec de la CED allait amener le réarmement puissant de l’Allemagne, donc une augmentation des impôts chez celle-ci… Ce fut lui également qui, avec son projet de « reconversion « , planifia la liquidation du petit commerce et de l’agriculture traditionnelle pour placer l’économie française sous la coupe de ses maîtres américains…Pour conclure, Mendès France n’avait qu’une patrie, Israël (au sens biblique du terme, pas l’état proche-oriental), et son cœur ne battait qu’à l’unisson de la bourse de New-York. Rien n’était français chez PMF, pas même son nom… Journal israélite jusqu’aux tréfonds de son âme, Le Nouvel Observateur st on ne peut plus légitime pour parler de sa mémoire. Cependant, on ne peut considérer cet hebdomadaire comme un titre français. Il s’agit plutôt d’un journal israélien (tendance de gauche) en langue française. Chacune de ses pages tend à la gloire d’Israël et de son peuple et au mépris de la France traditionnelle. Pas un Français digne de ce nom ne doit acheter cet hebdomadaire, ni être client des entreprises qui le finance. Tant que le Talmud n’aura pas été brûlé en place publique par les rabbins et tant qu’une réunion de tous les responsables des Consistoires n’auront pas fait repentance pour les persécutions commises contre les catholiques, alors tout dialogue avec les Juifs sera impossible…
Labels: France, juifs, mondialisme
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