Wednesday, August 16, 2006

A propos de la guerre de 14-18...

11 Novembre 1918, jour de la Saint Martin. La Première Guerre Mondiale vient de s’achever. Plus d’un million trois cent mille jeunes français sont tombés au combat. La fine fleur de la France paysanne et chrétienne. Notre famille a été relativement épargnée par le conflit. Il est vrai que le taux de natalité était plutôt bas chez nous… Mon arrière-grand-oncle est tombé au front le 31 août 1918 au sein du 32e d’artillerie. Un autre de mes arrière-grands-oncles est monté au front au sein du 4e régiment de dragons royaux (ou était-ce des cuirassiers ?) de l’armée italienne. Lui est revenu (et le premier qui me dit : c’est normal, il était Italien, je lui fais dresser la liste des morts tombés sur le Piave)… La question qui me taraude (en fait, elle ne me taraude plus car je connais la réponse…) c’est POURQUOI ? Pour la défense de la France et de l’Italie ? La belle affaire… Quand on voit ce que sont devenus ces deux pays, véritables cloaques où l’envahisseur (qui ne porte pas de casque à pointe) parade, qu’on ne vienne pas me la jouer « la Patrie en danger ». Cette guerre a été voulue, provoquée, poursuivie par les L\ maçonniques et la juiverie. Mieux, pour en finir définitivement avec l’Allemagne, ils ont remis le couvert vingt ans plus tard. Qui sont ces gens qui se sont arrogés le droit de nous faire marcher au son du clairon ? Quelle légitimité ont-ils sinon un petit bout de papier sale plié en deux qu’une masse désinformée glisse dans une enveloppe ? Aucune. Quand on analyse minutieusement les origines des deux guerres mondiales, on ne peut que voir le nez arrogant, le nez impudent, que dis-je, le nez odieux de l’anti-France… En fait, ils profitent de nos faiblesses, de la capitulation de nos élites. Dans la vie, les erreurs se paient cash… Louis XIV a scié la branche sur laquelle reposait son trône en cassant la noblesse. En l’amenant à Versailles et en la ruinant, il la coupait du peuple et surtout la soumettait aux influences néfastes des L\. Il est intéressant de constater que c’est la noblesse pauvre et loin de la cour, celle de la Vendée et de la Bretagne, qui fut la seule à résister à la Révolution. En 1866, Napoléon III, jouet docile des L\ maçonniques qui agitaient devant lui les mânes de l’oncle, laissa écraser l’Autriche au profit de la Prusse, nous privèrent de l’allié Russe pour le profit de la Grande-Bretagne et, puisque il voulait faire un contrepoids aux Etats-Unis, ne soutint pas assez fermement les Etats Confédérés et l’Empire du Mexique. En 1871, Guillaume II, manipulé par les L\ de Prusse refit la même erreur, mais en sens inverse. Alors que Bismarck lui conseillait de ménager la France en ne lui prenant que Strasbourg et la rive gauche du Rhin sur une profondeur de 5 kilomètres, il exigea l’annexion du Bas-Rhin et du Haut-Rhin puis, comme Gambetta avait attaqué, y ajouta la Moselle… En 1914, les L\ tenaient le gouvernement de la France, celui de la Grande-Bretagne, celui de la Turquie, celui de l’Allemagne, celui des Etats-Unis, celui de l’Italie et avaient infiltré au plus haut niveau l’empire d’Autriche-Hongrie. Tout était près pour le conflit sanglant. Prenons le cas de la France, sachant qu’en Allemagne, ce n’était guère différent… En France, les socialistes avaient joué leur rôle avec Jaurès (alias Joroch), ce dernier ayant été assassiné par un exalté relevant plus de la psychiatrie que du complot politique. Les ganaches maçonnes avaient épuré l’armée de ses éléments catholiques (l’affaire des Fiches, révélée en 1905, continuait encore). Résultat, l’incompétence des généraux maçons provoqua la non-victoire de 1914. F\ Joffre et F\ Nivelle saignèrent à blanc les provinces catholiques. Dans l’enfer de Verdun, dans la fournaise de Douaumont, les régiments les plus décimés, ceux que l’on sacrifiait dans des offensives stupides et dérisoires, venaient comme par hasard de Lorraine ou de Bretagne (23 % des morts de la Grande Guerre venaient de cette seule région !). Les morts des tranchées des baïonnettes étaient tous Vendéens, morts chapelet en main. L’Action Française a été décimée. Quand on se promène dans le cimetière de ma ville natale de Ris-Orangis, on voit leurs tombes. Tous soldats à l’exception d’un Maréchal des Logis. Tous âgés de moins de 30 ans, sauf un qui avait dépassé la quarantaine… Lors de la dernière campagne des Législatives, je me suis arrêté dans chaque commune de la circonscription d’Issoire pour lire les noms sur le monument aux morts. Des morts qui ne passent pas au journal de 20 heures, trop goïm pour cela… Quand je suis allé en Bavière, j’ai fait la même chose pour constater que certains villages, grands pourvoyeurs de régiments de chasseurs alpins, avaient été décimés en 1914 d’abord, en 1940 ensuite… Ensuite, lorsqu’on se promène dans la rue et que l’on voit la France subir l’aberrant régime mondialiste (beurs, chocolats, citrons et autre curry), on se dit que finalement, on préfère encore les Allemands. La France ne s’est jamais remise de la guerre de 1914-1918. Cette guerre voulue par les Républicains (il fallait abattre les monarchies européennes et l’Autriche cléricale) a entraîné des bouleversements de la société que l’on a payé cher en 1939, encore plus cher en 1945 et trop cher depuis. Rien que pour cela, les vrais républicains (pas la masse des gens qui sont républicains parce qu’on est en république) méritent d’être pendus…

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