Wednesday, August 16, 2006

A propos du racisme juif en Europe de l'Est


(Légende : les Juifs membre du Politburo planifièrent le 7 juin 1937 l'extermination du peuple ukranien pour la deuxième fois en 7 ans. A Vinnytsia, plus de 10.000 personnes furent exterminées, la plupart ayant été massacrées ici, au siège du NKVD. La totalité de la direction du NKVD et des prisons de la ville étaient de confession israélite.)
Dans Le Figaro du 27 février 2003, Jean Kahn se livre à l’habituelle falsification des faits lors de la Seconde Guerre Mondiale. Sa contribution est une véritable déclaration de guerre, une de plus, contre la chrétienté. Analyse pièce par pièce : « Nous sommes aujourd'hui à la veille de l'élargissement de l'Union européenne (UE) et il apparaît que l'on se soucie essentiellement des problèmes économiques et financiers que pose l'ouverture de cette Europe à de nouveaux Etats. Alors que, pour beaucoup d'entre nous, l'Europe devrait constituer avant tout une communauté de valeurs, on s'est fort peu préoccupé de connaître le niveau des droits de l'homme et du combat contre le racisme et l'antisémitisme dans chacun de ces nouveaux Etats candidats à l'Union ; des pays où très souvent des phénomènes qui seraient sanctionnés dans l'Union des Quinze continuent de se manifester sans tomber sous le coup de la loi. En France, le président Jacques Chirac, dans son discours de juillet 1995, a fait acte de repentance, de contrition et de réparation à l'égard de ceux qui furent victimes de la France du fait de la Collaboration. Dans de nombreux pays de l'Union, les gouvernements ont agi de manière similaire. Or on sait qu'en certains pays comme la Pologne, la Lituanie et bien d'autres, les Juifs étaient massacrés non seulement par les nazis allemands mais souvent, trop souvent, par des citoyens de ces pays. Avant l'adhésion de ces pays, n'aurait-il pas fallu un travail de mémoire complété par une repentance nationale ? En Pologne, par exemple, on continue à présenter le pays comme martyr du IIIe Reich, ce qu'il fut certes mais en occultant les massacres et les pogroms visant des Juifs et trop souvent du fait des Polonais. De nombreuses villes comme Kielce, Jedwabme, furent le théâtre d'horribles tueries de Juifs. Le débat commence à peine dans ce pays et certains ont fait repentance ; mais le travail est loin d'être achevé, car le gouvernement polonais n'a pas officiellement reconnu les faits et l'on enseigne peut-être encore dans toutes les écoles le martyrologe qu'a subi la Pologne sans que soit évoqué le rôle de bien des Polonais dans les massacres de Juifs. N'oublions pas que, le 27 janvier 1995, à l'occasion du 50e anniversaire de la libération d'Auschwitz, le président Walesa s'était refusé, dans son discours prononcé sur le site même d'Auschwitz-Birkenau, d'évoquer le sort des Juifs morts dans ce camp alors que 95 % des victimes étaient juives. Pouvons-nous demain nous sentir en communauté de valeurs avec les Polonais dont les dirigeants n'ont pas encore réellement accepté ce devoir de mémoire ? L'historien polonais Alexander Smolar, qui a beaucoup réfléchi à ce problème, ne dit-il pas que le “débat sur la mémoire fait partie de la culture démocratique” ?Il doit en être ainsi pour la culture démocratique de l'Union européenne. Soyons exigeants à l'égard des nouveaux membres candidats au moment de leur entrée dans l'Union. Leur constitution tient-elle compte de la charte fondamentale européenne ? Leur législation sanctionne-t-elle les actes racistes, antisémites et xénophobes ? Voilà ce qui, plus que les aspects économiques, doit interpeller nos dirigeants ». Haine et falsification historique. Kahn veut imposer la dictature de la pensée en Europe et la version officielle et kasher de l’histoire. Il occulte délibérément que les soi-disant pogroms commis dans les pays d’Europe centrale et orientale n’étaient qu’une légitime épuration contre une communauté juive qui a massivement collaboré avec Staline, les Soviétiques, d’ailleurs, n’hésitant pas à évacuer 80 % des populations juives de ces contrées au delà de l’Oural pour les soustraire aux représailles. Certains d’entre eux reviendront dans les fourgons de l’Armée Rouge pour écrire dans les pays asservis les pages les plus noires de l’histoire de l’Humanité. Les Hongrois martyrisés par le juif Bela Kuhn et le juif Radek, les Finlandais de Carélie par le juif Jdanov, les Tchèques par le juif Gottwald, les Roumains par la juive Pauker, les Polonais par le juif Berman, les Serbes et les Croates par le juif Tito, les Lettons par le juif Vichinsky, les Lituaniens par le juif Souslov et les Ukrainiens par le juif Kaganovitch ne sont tout simplement pas dignes d’estime par Kahn. Combien de temps les catholiques de ces pays pourront-ils tolérer de se faire continuellement cracher dessus par un homme qui s’est vanté lui et les membres de sa communauté, d’être inféodé à une puissance étrangère ? Kahn est un raciste patenté, qu’il aille prêcher sa haine dans les colonies de la bande de Gaza. A noter la petite pique contre Lech Walesa que le lobby détestait pour le seul crime d’être catholique pratiquant. Quant aux 95 % de morts juifs à Auschwitz, c’est totalement faux. Sur les 75.000 morts officiels du camp (en réalité 150.000 environ), on compte déjà 18.000 Tziganes (communauté très peu résistante au typhus et à la tuberculose) et de nombreux Polonais catholiques déportés dans ce camp de travail pour faits de résistance. Mais il est vrai qu’ils ont toujours eu des problèmes avec les chiffres…

1 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Vous avez complètement raison. je m'intéresse beaucoup aux juifs et à leur histoire; j'en déduis qu'il faut les aider. Ils ont été vraiment malheureux de subir toutes ces injustices. Je pense que c'est épouvantable de supporter des choses aussi affreuses. Pourquoi faire souffrir à cause de la religion ?
Judith GRAPELOUP

12:00 PM  

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