Thursday, August 17, 2006

A propos de l'apport israélite au communisme roumain

Le 13 juin 2003, le gouvernement roumain a choqué la communauté juive, en mettant en doute la mise à mort de Juifs dans le pays au cours de la Seconde Guerre mondiale, alors même que 380.000 juifs roumains auraient été tués ou déportés sous le règne du maréchal Ion Antonescu selon le dogme officiel. « Nous affirmons fermement qu’il n’y a pas eu d’holocauste à l’intérieur des frontières de la Roumanie entre 1940 et 1945 », déclare un communiqué du ministère de l’Information publique transmis à l’Associated Press. La veille, le Holocaust Memorial Museum de Washington avait pourtant obtenu l’autorisation d’accéder aux archives roumaines concernant la déportation des populations juives. Finalement, les pressions furent telle qu’il est finalement revenu sur ses propos le 17 juin et a «été contraint à déclarer que « le régime du dirigeant pro-nazi Ion Antonescu avait déporté et exterminé des juifs roumains entre 1940 et 1944 » et que ce régime « s’est rendu coupable de grave crimes de guerre, pogroms et déportations massives de juifs roumains vers des territoires occupés ou contrôlés par l’armée roumaine », sans fournir la moindre preuve tangible… La propagande officielle prétend que plus de la moitié des 760.000 juifs qui vivaient en Roumanie avant la guerre auraient péri dans l’Holocauste. La plupart seraient morts en Union Soviétique, où ils avaient été déportés vers des camps de concentration sous l’autorité du maréchal roumain Antonescu. Près de 130.000 ont été déportés vers des camps nazis par le régime hongrois, qui a repris la Transylvanie pendant une partie de la guerre. En fait, la plus part des Juifs ont été déplacé par l’Union Soviétique peu après l’offensive allemande en Russie, quand elle a fait évacuer vers l’Oural et vers Moscou quelque 80 % des Juifs des territoires qu’elle contrôlait. La moitié de ces Juifs sont mort durant l’évacuation à cause des conditions de transport désastreuses… Holocauste ou pas, il en restait suffisamment en 1944 pour constituer un gouvernement de collaboration avec les Soviétiques qui a massacrés des dizaines de milliers de chrétiens roumains. Outre la tristement célèbre Anna Rabinsohn Pauker, fille de rabbin et ministre des Affaires étrangères, il y eut son assistante Ilka Wasermann, le numéro deux du PC Ioska Broitman (Iosif Kisinevski ad usum goïm), Baruch Tescovich (Theohari Giorgescu ad usum goïm), le Secrétaire Général du Praesidium de la Grande Assemblée Abraham Gutman (Avram Bunaciu ad usum goïm), les ministres Lothar Würtzell (Lothar Radaceanu ad usum goïm), Mehr Kahn (Miron Constantinescu ad usum goïm), Alejandro Moghiorosh… Les forces de la répression étaient également massivement judaïsées : la Securitate fut fondée par Walter Roman (dont le fils Petre fut le gendre officieux de Nicolae Ceaucescu), la Région Militaire de Bucarest était sous le contrôle du lieutenant-général Moises Haupt, la Sûreté Générale sous celui du colonel-général Zamir, le contre-espionnage sous celui du major-général William Süder, la Sûreté de Bucarest sous ceux de Alejandro Braunstein (Badau ad usum goïm) et du colonel Moscovitch (Hoban ad usum goïm), la presse était censurée par le Major Lewine… (la liste est loin d’être exhaustive). Le bilan du communisme en Roumanie est d’environ 1,5 million de morts. Rappelons à toutes fins utiles que l’actuel président de la Roumanie, Ion Illescu, est également juif.

0 Comments:

Post a Comment

<< Home