A propos du racisme
(Légende : Escouade du BETAR à Berlin en 1935. Sous le IIIe Reich, les Betaris avaient le privilège de garder le drapeau israélien d'alors. C'était de facto la seule organisation juive autorisée).
Le 11 août 2003, Marianne fait un grand numéro sur Les Nouveaux racistes. On est en droit de s’attendre au pire et on n’est pas déçus… Le dossier a été réalisé par Thomas Vallières, l’inénarrable Bénédicte Charles, Martine Gozlan, sans oublier Elisabeth Lévy et Patrick Girard. C’est exactement le genre de haine de l’autre barbouillé sommairement d’une couche de peinture rose mais qui ne trompe personne… Un « antiraciste », c’est comme un « démocrate ». Ça n’existe pas et cela ne peut pas exister. Qu’est-ce qu’un raciste ? Si on en croit le Larousse, un raciste est une personne qui voue à une catégorie de personnes déterminée une hostilité systématique. Or, il y a toujours une catégorie de personnes à qui nous vouons une hostilité de principe. Dans Marianne, on exhale la haine de celui qui est différent : le catholique qui refuse la trahison de Vatican II, celui qui refuse de gober la propagande officielle en ce qui concerne la Seconde Guerre Mondiale, celui qui milite dans un mouvement de droite nationale… On est toujours le raciste ou le négationniste de quelqu’un. Cela me rappelle un vieux numéro du Journal du Dimanche de 1975, à l’époque où Tabarly et Goscinny commentaient l’actualité et donnaient chaque semaine une bande-dessinée où le célèbre Grand Vizir Iznogoud (dans Astérix, on vit d’ailleurs le cousin hindou de ce dernier, Veribad) parlait à l’ONU contre un état ennemi et fulminait : « Il faut être sans pitié, il faut tous les exterminer, les hommes, les femmes, les enfants ! » sous un flot d’applaudissements… Son bras-droit/souffre-douleur Dilat Larat lui déclara : « Formidable discours patron, mais pourquoi vous les haïssez tant ? » Réponse du Vizir : « Ils ont un défaut que je ne supporte pas : ils sont racistes ! ». Il y a deux catégories de personnes, les racistes avoués et les hypocrites, généralement encore plus racistes et plus haineux que ceux qui admettent ouvertement leur volonté d’être le plus souvent possible avec des gens qui leur ressemblent… L’article de Marianne se place dans la lignée des articles de Claude Askolovitch (voir Le Libre Arverne n°17). Ainsi, Thomas Vallières déplore « Juifs arabophobes, Beurs antisémites ». Remarquez, on continue d’autoriser à ces deux communautés leur racisme traditionnel contre l’indo-européen. C’est toujours le même regret : la fissure de l’alliance pan-sémite, n’en déplaise aux naïfs qui veulent nous allier avec Salomon contre Slimane… ou avec Slimane contre Salomon ! Vallières ose déclarer : « Pourtant, un Irakien devrait rester un être humain, à priori égal à un être humain ». Or, si les Irakiens sont victimes d’un véritable génocide, ils ne sont que la preuve supplémentaire de l’imposture de leur « démocratie », de leur « antiracisme » et de leurs « droits de l’homme ». C’est au nom de ces valeurs que l’on pourrait juger respectables sur le papier que se sont perpétrés les pires génocides du siècle dernier. Leur morale, ne l’oublions pas, est celle qui a fait mourir les femmes et les enfants boers dans les camps anglais. C’est le blocus criminel des Américains et des Anglais qui en 1919 provoqua la mort de 980.000 femmes et enfants allemands. Ce sont ces mêmes moralistes qui, par pure haine anti-chrétienne et solidarité ethnique, ont financé l’URSS : pendant que les enfants ukrainiens mourraient de faim suite au génocide planifié de leur peuple (voir article plus loin), Rockefeller touchait ses royalties sur l’exploitation du pétrole du Caucase officiellement nationalisé. C’est le second génocide allemand, celui de 1939-1950 et ses 13 millions de morts. Le Vietnam passé au défolient, le Cambodge abandonné à Pol-Pot, les bombardements de la Serbie et de l’Irak à l’uranium appauvri en totale opposition avec leur chiffon de papier appelé « Convention de Genève »… La lecture du dossier de Marianne donne la même impression désagréable que celle que j’ai eue en participant à certains débats sur Internet : l’idée ancrée dans la tête de la majeure partie des bien-pensants, des bigots de la tolérance à sens unique et de l’antiracisme unilatéral, qu’il y a des morts supérieurs et des morts inférieurs. Pour susciter les larmes et la compassion, pour être « médiatiquement correct », il vaut mieux choisir l’endroit où l’on meurt. Il existe une véritable hiérarchie des races en matière d’antiracisme et de compassion institutionnalisée , fondée sur un subtil mélange politique, ethnique et religieux. Ce qui explique pourquoi certaines victimes sont sur-médiatisées alors que le bourreau est le même. Quitte à mourir sous les bombes américaines, mieux vaut être un Vietnamien qu’un Français… Et quand on est victime de Staline, mieux vaut être révolutionnaire juif victime des purges intra-sémites de 1936-1938 qu’un pauvre goy coupable d’avoir prié Dieu… D’ailleurs, aux yeux de Kahn et de sa clique, il existe un seul racisme casher, celui d’ailleurs dont ils se repaissent avec délectation : le racisme anti-Gaulois, résumé en cette phrase « le petit Blanc xénophobe [forcément, chaque Français est un raciste en puissance, c’est bien connu] se délectant , lui, des effets délétères des deux dérives (la petite guéguerre entre les deux demi-frères sémites). C’est le message primordial du dossier, la grande peur juive : la dislocation du front commun anti-Gaulois, de l’alliance des deux peuples du désert contre le peuple des forêts… Passons maintenant aux deux articles de Bénédicte Charles, preuve accablante de ce racisme banalisé appelé « antiracisme ». Tout d’abord, elle parle de la Corse et dénonce le racisme insulaire, mais reprend les propos racistes d’un certain Mohamed (27 ans) qui prétend que si les Corses se permettent de discriminer ouvertement les Arabes, c’est qu’ils n’ont pas peur de ces derniers et que le discours politiquement correct n’a aucune prise sur eux … Aveu pour le moins révélateur ! Ensuite, elle parle du « racisme des victimes du racisme ». Ne croyez pas qu’elle parle du racisme le plus répandu, le plus violent et le plus meurtrier en France, le racisme anti-Gaulois, non, elle parle… de quelques propos racistes tenus par des Arabes contre des Noirs. Le racisme anti-français est limité à une « défiance des jeunes Arabes envers les « Gaulois ». Pas un juif n’a été tué, pas une juive violée au nom de sa race en France alors que chaque mois, plusieurs Français et Françaises le sont. Mais cela n’intéresse pas Bénédicte Charles. On en a fusillé pour moins que ça en 1944… Plus loin, Martine Gozlan se demande : « Mais pourquoi donc y a-t-il des racistes juifs ? » Exemple même de la phrase raciste ! Ainsi pour elle, le simple fait d’être Juif vaccinerait contre le racisme. Ce sont les Palestiniens, les Russes, les Baltes et les Allemands qui vont être heureux de l’apprendre… Elle nous prend pour qui ? Elle croit peut-être qu’on n’a jamais lu le Talmud et la Torah ? La religion juive est la plus raciste du monde : elle prône l’extermination (pour les catholiques) et la réduction en esclavage (pour le reste) de la totalité de l’humanité dans son principal livre sacré, le Talmud, livre de chevet de tous ces juifs de gauche qui font profession d’antiracisme, y compris dans le show-biz (à ne pas confondre avec le shoah-biz qui est dans le même registre) : Arthur, Bruel, Winter… Comme le pharisianisme n’est pas mort, les religieux juifs cités par Gozlan prétendent : « cette haine de l’autre est en conflit total avec l’éthique hébraïque ». Là où Gozlan se montre astucieuse, c’est qu’elle met sur le même plan les délires des fanatiques de « Nazisraël » pour qui les médiats sont détenus par des antisémites pro-musulmans et ceux qui, preuve à l’appui, montrent la sur-représentation d’un petit peuple sur de lui et dominateur dans les médiats. Les médiats « pro-palestiniens » ? C’est un peu fort de keffieh ! On imagine mal Le Figaro, L’Express, Le Point, Valeurs Actuelles du bon M. Bloch-Dassault, Libération de M. July, Marianne de M. Kahn, Le Nouvel Observateur de M. Bensaïd-Daniel, TF1 si chère à Mme Elkrieff, le France-2 de M.Elkabbach et de Mme Assouline, le Canal Plus des frères Bronfman se faire les suppôts de la Bête immonde… Mais on sait que le monde est entre les mains du grand complot antisémite international… Gozlan nuance quand même ses propos, c’est tout de même des gens de la famille et les critiquer pourrait faire du tort au magasin. Elle n’a pas de chance, nous avons beaucoup de mémoire… Ses petites envolées négationnistes « Il y a vingt ans [1983 donc], les militants du Betar prônaient le Grand Israël mais sans sombrer dans l’ignominie actuelle » ne résistent pas une seconde à la confrontation avec les documents d’époque. Prenons l’excellent livre de notre confrère Emmanuel Ratier, Les Guerriers d’Israël (Facta), paru en 1995. On voit que le Betar avait exactement les même positions qu’aujourd’hui et ce, depuis sa création. On y trouve dans leur délire, quasiment mot à mot, les mêmes « excuses » avancées par Gozlan pour justifier leur violence. Quand elle dit « Cette omerta [le prétendu silence sur l’augmentation présumée d’actes antisémites] est un choc pour les juifs français, et elle prend fin trop tard ». C’est vrai, les médiats nous ont juste matraqués des journées entières avec cela… Comment ne pas penser aux délires de Jacques Lanzmann, l’apologiste du gazage des religieuses, qui après « l’attentat de Copernic » (perpétré par le Mossad puis mis sur le dos d’abord des néo-nazis et ensuite des Palestiniens) qui dans un article du 9 octobre 1980 dans VSD exigeait du gouvernement l’organisation d’une milice juive imposant sa loi (elle sera constituée officieusement comme s’en vantera Françoise Fabius-Castro le 4 mars 1986)… Après avoir collaboré avec Hitler de 1933 à 1944 et avec Mussolini de 1922 à 1943, les Betaris, dont le chant dit « De la fosse, pourriture et poussière, naîtra une race fière généreuse, dure », multiplieront les exactions en France, y compris même contre les Arabes (bataille rangée à Belleville le 5 juin 1968) mais surtout contre les Gaulois : attaque d’une réunion des Comités Palestine (fondés par François Duprat) en 1969 à Assas, attaque du congrès de l’œuvre Française le 19 juin 1976, plastiquage du domicile de Jean-Marie Le Pen le 2 novembre 1976 (Marine Le Pen n’eut la vie sauve que miraculeusement), assassinat de François Duprat le 18 mars 1978, incendie de la Librairie Française le 24 juin 1978, attentat contre Saint-Nicolas-du-Chardonnet le 21 décembre 1978, vitriolage de Miguel Caignet (dans le commando figurait le beau-fils de Jean-Pierre Pierre-Bloch) le 29 janvier 1981, agressions de journalistes en avril 1982…(la liste de leurs crimes de 1979 à 1994 fait 30 pages…). Rappelons encore à Gozlan l’amnésique que dans son numéro du 13 mai 1988, le dessinateur de Tribune Juive Olivier Ramson appelle ouvertement au meurtre de Le Pen (il collabore actuellement au Parisien Libéré). Le Betar, « pionnier de la violence politique » titrait Le Matin le 27 septembre 1982… En fait, ce que reproche Gozlan à ses frères de race, c’est d’avoir étendu leurs agressions aux musulmans au lieu de se cantonner aux « de souche »… C’est quand même une joli bande de tartufes chez Myriam, pardon Marianne… Le journal se veut « antiraciste » mais est dirigé par Jean-François Kahn, qui a épousé Rachel Assouline, qui est de la même ethnie que lui. Le métissage, c’est bon pour les goïm… Assouline a accepté d’être le témoin de mariage de Anne Schwartz dite Sinclair, celle-là qui déclarait que jamais elle n’aurait voulu d’un non-juif… Ni Salomon, ni Slimane, ni keffieh, ni kippa, tout le monde dehors !!!
Le 11 août 2003, Marianne fait un grand numéro sur Les Nouveaux racistes. On est en droit de s’attendre au pire et on n’est pas déçus… Le dossier a été réalisé par Thomas Vallières, l’inénarrable Bénédicte Charles, Martine Gozlan, sans oublier Elisabeth Lévy et Patrick Girard. C’est exactement le genre de haine de l’autre barbouillé sommairement d’une couche de peinture rose mais qui ne trompe personne… Un « antiraciste », c’est comme un « démocrate ». Ça n’existe pas et cela ne peut pas exister. Qu’est-ce qu’un raciste ? Si on en croit le Larousse, un raciste est une personne qui voue à une catégorie de personnes déterminée une hostilité systématique. Or, il y a toujours une catégorie de personnes à qui nous vouons une hostilité de principe. Dans Marianne, on exhale la haine de celui qui est différent : le catholique qui refuse la trahison de Vatican II, celui qui refuse de gober la propagande officielle en ce qui concerne la Seconde Guerre Mondiale, celui qui milite dans un mouvement de droite nationale… On est toujours le raciste ou le négationniste de quelqu’un. Cela me rappelle un vieux numéro du Journal du Dimanche de 1975, à l’époque où Tabarly et Goscinny commentaient l’actualité et donnaient chaque semaine une bande-dessinée où le célèbre Grand Vizir Iznogoud (dans Astérix, on vit d’ailleurs le cousin hindou de ce dernier, Veribad) parlait à l’ONU contre un état ennemi et fulminait : « Il faut être sans pitié, il faut tous les exterminer, les hommes, les femmes, les enfants ! » sous un flot d’applaudissements… Son bras-droit/souffre-douleur Dilat Larat lui déclara : « Formidable discours patron, mais pourquoi vous les haïssez tant ? » Réponse du Vizir : « Ils ont un défaut que je ne supporte pas : ils sont racistes ! ». Il y a deux catégories de personnes, les racistes avoués et les hypocrites, généralement encore plus racistes et plus haineux que ceux qui admettent ouvertement leur volonté d’être le plus souvent possible avec des gens qui leur ressemblent… L’article de Marianne se place dans la lignée des articles de Claude Askolovitch (voir Le Libre Arverne n°17). Ainsi, Thomas Vallières déplore « Juifs arabophobes, Beurs antisémites ». Remarquez, on continue d’autoriser à ces deux communautés leur racisme traditionnel contre l’indo-européen. C’est toujours le même regret : la fissure de l’alliance pan-sémite, n’en déplaise aux naïfs qui veulent nous allier avec Salomon contre Slimane… ou avec Slimane contre Salomon ! Vallières ose déclarer : « Pourtant, un Irakien devrait rester un être humain, à priori égal à un être humain ». Or, si les Irakiens sont victimes d’un véritable génocide, ils ne sont que la preuve supplémentaire de l’imposture de leur « démocratie », de leur « antiracisme » et de leurs « droits de l’homme ». C’est au nom de ces valeurs que l’on pourrait juger respectables sur le papier que se sont perpétrés les pires génocides du siècle dernier. Leur morale, ne l’oublions pas, est celle qui a fait mourir les femmes et les enfants boers dans les camps anglais. C’est le blocus criminel des Américains et des Anglais qui en 1919 provoqua la mort de 980.000 femmes et enfants allemands. Ce sont ces mêmes moralistes qui, par pure haine anti-chrétienne et solidarité ethnique, ont financé l’URSS : pendant que les enfants ukrainiens mourraient de faim suite au génocide planifié de leur peuple (voir article plus loin), Rockefeller touchait ses royalties sur l’exploitation du pétrole du Caucase officiellement nationalisé. C’est le second génocide allemand, celui de 1939-1950 et ses 13 millions de morts. Le Vietnam passé au défolient, le Cambodge abandonné à Pol-Pot, les bombardements de la Serbie et de l’Irak à l’uranium appauvri en totale opposition avec leur chiffon de papier appelé « Convention de Genève »… La lecture du dossier de Marianne donne la même impression désagréable que celle que j’ai eue en participant à certains débats sur Internet : l’idée ancrée dans la tête de la majeure partie des bien-pensants, des bigots de la tolérance à sens unique et de l’antiracisme unilatéral, qu’il y a des morts supérieurs et des morts inférieurs. Pour susciter les larmes et la compassion, pour être « médiatiquement correct », il vaut mieux choisir l’endroit où l’on meurt. Il existe une véritable hiérarchie des races en matière d’antiracisme et de compassion institutionnalisée , fondée sur un subtil mélange politique, ethnique et religieux. Ce qui explique pourquoi certaines victimes sont sur-médiatisées alors que le bourreau est le même. Quitte à mourir sous les bombes américaines, mieux vaut être un Vietnamien qu’un Français… Et quand on est victime de Staline, mieux vaut être révolutionnaire juif victime des purges intra-sémites de 1936-1938 qu’un pauvre goy coupable d’avoir prié Dieu… D’ailleurs, aux yeux de Kahn et de sa clique, il existe un seul racisme casher, celui d’ailleurs dont ils se repaissent avec délectation : le racisme anti-Gaulois, résumé en cette phrase « le petit Blanc xénophobe [forcément, chaque Français est un raciste en puissance, c’est bien connu] se délectant , lui, des effets délétères des deux dérives (la petite guéguerre entre les deux demi-frères sémites). C’est le message primordial du dossier, la grande peur juive : la dislocation du front commun anti-Gaulois, de l’alliance des deux peuples du désert contre le peuple des forêts… Passons maintenant aux deux articles de Bénédicte Charles, preuve accablante de ce racisme banalisé appelé « antiracisme ». Tout d’abord, elle parle de la Corse et dénonce le racisme insulaire, mais reprend les propos racistes d’un certain Mohamed (27 ans) qui prétend que si les Corses se permettent de discriminer ouvertement les Arabes, c’est qu’ils n’ont pas peur de ces derniers et que le discours politiquement correct n’a aucune prise sur eux … Aveu pour le moins révélateur ! Ensuite, elle parle du « racisme des victimes du racisme ». Ne croyez pas qu’elle parle du racisme le plus répandu, le plus violent et le plus meurtrier en France, le racisme anti-Gaulois, non, elle parle… de quelques propos racistes tenus par des Arabes contre des Noirs. Le racisme anti-français est limité à une « défiance des jeunes Arabes envers les « Gaulois ». Pas un juif n’a été tué, pas une juive violée au nom de sa race en France alors que chaque mois, plusieurs Français et Françaises le sont. Mais cela n’intéresse pas Bénédicte Charles. On en a fusillé pour moins que ça en 1944… Plus loin, Martine Gozlan se demande : « Mais pourquoi donc y a-t-il des racistes juifs ? » Exemple même de la phrase raciste ! Ainsi pour elle, le simple fait d’être Juif vaccinerait contre le racisme. Ce sont les Palestiniens, les Russes, les Baltes et les Allemands qui vont être heureux de l’apprendre… Elle nous prend pour qui ? Elle croit peut-être qu’on n’a jamais lu le Talmud et la Torah ? La religion juive est la plus raciste du monde : elle prône l’extermination (pour les catholiques) et la réduction en esclavage (pour le reste) de la totalité de l’humanité dans son principal livre sacré, le Talmud, livre de chevet de tous ces juifs de gauche qui font profession d’antiracisme, y compris dans le show-biz (à ne pas confondre avec le shoah-biz qui est dans le même registre) : Arthur, Bruel, Winter… Comme le pharisianisme n’est pas mort, les religieux juifs cités par Gozlan prétendent : « cette haine de l’autre est en conflit total avec l’éthique hébraïque ». Là où Gozlan se montre astucieuse, c’est qu’elle met sur le même plan les délires des fanatiques de « Nazisraël » pour qui les médiats sont détenus par des antisémites pro-musulmans et ceux qui, preuve à l’appui, montrent la sur-représentation d’un petit peuple sur de lui et dominateur dans les médiats. Les médiats « pro-palestiniens » ? C’est un peu fort de keffieh ! On imagine mal Le Figaro, L’Express, Le Point, Valeurs Actuelles du bon M. Bloch-Dassault, Libération de M. July, Marianne de M. Kahn, Le Nouvel Observateur de M. Bensaïd-Daniel, TF1 si chère à Mme Elkrieff, le France-2 de M.Elkabbach et de Mme Assouline, le Canal Plus des frères Bronfman se faire les suppôts de la Bête immonde… Mais on sait que le monde est entre les mains du grand complot antisémite international… Gozlan nuance quand même ses propos, c’est tout de même des gens de la famille et les critiquer pourrait faire du tort au magasin. Elle n’a pas de chance, nous avons beaucoup de mémoire… Ses petites envolées négationnistes « Il y a vingt ans [1983 donc], les militants du Betar prônaient le Grand Israël mais sans sombrer dans l’ignominie actuelle » ne résistent pas une seconde à la confrontation avec les documents d’époque. Prenons l’excellent livre de notre confrère Emmanuel Ratier, Les Guerriers d’Israël (Facta), paru en 1995. On voit que le Betar avait exactement les même positions qu’aujourd’hui et ce, depuis sa création. On y trouve dans leur délire, quasiment mot à mot, les mêmes « excuses » avancées par Gozlan pour justifier leur violence. Quand elle dit « Cette omerta [le prétendu silence sur l’augmentation présumée d’actes antisémites] est un choc pour les juifs français, et elle prend fin trop tard ». C’est vrai, les médiats nous ont juste matraqués des journées entières avec cela… Comment ne pas penser aux délires de Jacques Lanzmann, l’apologiste du gazage des religieuses, qui après « l’attentat de Copernic » (perpétré par le Mossad puis mis sur le dos d’abord des néo-nazis et ensuite des Palestiniens) qui dans un article du 9 octobre 1980 dans VSD exigeait du gouvernement l’organisation d’une milice juive imposant sa loi (elle sera constituée officieusement comme s’en vantera Françoise Fabius-Castro le 4 mars 1986)… Après avoir collaboré avec Hitler de 1933 à 1944 et avec Mussolini de 1922 à 1943, les Betaris, dont le chant dit « De la fosse, pourriture et poussière, naîtra une race fière généreuse, dure », multiplieront les exactions en France, y compris même contre les Arabes (bataille rangée à Belleville le 5 juin 1968) mais surtout contre les Gaulois : attaque d’une réunion des Comités Palestine (fondés par François Duprat) en 1969 à Assas, attaque du congrès de l’œuvre Française le 19 juin 1976, plastiquage du domicile de Jean-Marie Le Pen le 2 novembre 1976 (Marine Le Pen n’eut la vie sauve que miraculeusement), assassinat de François Duprat le 18 mars 1978, incendie de la Librairie Française le 24 juin 1978, attentat contre Saint-Nicolas-du-Chardonnet le 21 décembre 1978, vitriolage de Miguel Caignet (dans le commando figurait le beau-fils de Jean-Pierre Pierre-Bloch) le 29 janvier 1981, agressions de journalistes en avril 1982…(la liste de leurs crimes de 1979 à 1994 fait 30 pages…). Rappelons encore à Gozlan l’amnésique que dans son numéro du 13 mai 1988, le dessinateur de Tribune Juive Olivier Ramson appelle ouvertement au meurtre de Le Pen (il collabore actuellement au Parisien Libéré). Le Betar, « pionnier de la violence politique » titrait Le Matin le 27 septembre 1982… En fait, ce que reproche Gozlan à ses frères de race, c’est d’avoir étendu leurs agressions aux musulmans au lieu de se cantonner aux « de souche »… C’est quand même une joli bande de tartufes chez Myriam, pardon Marianne… Le journal se veut « antiraciste » mais est dirigé par Jean-François Kahn, qui a épousé Rachel Assouline, qui est de la même ethnie que lui. Le métissage, c’est bon pour les goïm… Assouline a accepté d’être le témoin de mariage de Anne Schwartz dite Sinclair, celle-là qui déclarait que jamais elle n’aurait voulu d’un non-juif… Ni Salomon, ni Slimane, ni keffieh, ni kippa, tout le monde dehors !!!
4 Comments:
Vos propos sont tout simplement honteux et à vomir, et pour véhiculer tant de haine je me dis que vous devez être énormément aigris à l'intérieur de vous-même, celà ne peux cacher qu'une profonde frustration intérieure (peut-être d'ailleurs contre certaines choses bien réelles j'en sais rien) frustration qui se transforme en haine anti Juive (un phénomène classique et vieux comme le monde)
Je vous plains de tout mon coeur, celà ne vous mènera pas très loin (et votre blog non plus d'ailleurs dont je prévois un renvoi prochain dans les oubliettes ... )
Le commentaire précédent, dégoulinant de crasse talmudique est la 45638e illustration de ce que Hervé Ryssen a magistralement démontré dans "Psychanalyse du Judaïsme". Le courageux anonyme nopus montre encore les tares de son peuple : 1 - refus d'assumer ses crimes ; 2 - Accuser le goy de ses propres crimes ; 3 - Dénigrement systématique de l'adversaire
Bref, vieilles rangaines qu'ils ressassent depuis 2000 ans, tellement englué dans leur étroitesse intellectuelle qu'ils sont incapables d'imaginer autre chose.
Je ne dis rien, je montre : lisez le commentaire ci-dessus et dites-vous : l'ennemi, c'est ça ! Je pense qu'on les a un peu trop surestimés...
En qualité de pas trop mauvais hébraïsant et connaissant assez bien le Talmud, j'atteste que cet article n'avance que des choses authentiques qu'il est facile de vérifier.
Oui effectivement tout est juste...
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