Friday, August 18, 2006

A propos du premier génocide ukrainien (1933)

(Légende de la photo : ces hommes, ces femmes, ces enfants ukraniens, plus de 6 millions au total, seront exterminés sur ordre de Kaganovitch et du Politburo. Quatre ans plus tard, un second génocide frappera l'Ukraine. Beaucoup d'Ukrainiens se vengeront en 1941...)
« Terrible hiver pour l’Ukraine, livrée aux troupes de Staline, sanglant hiver de la haine, génocide et famine. Sur les routes sifflent les balles, ils chassent les populations, par la faim et les rafales, ils en tuent six millions… » Cette chanson du groupe Montjoie Saint-Denis illustre l’un des plus sanglants génocides du vingtième siècle, l’un des plus oubliés aussi… Tout commence en 1927. Au Kremlin, Staline met en branle son projet de conquête de l’Europe, avec l’aval de la grande finance juive américaine qui finance son régime depuis 1917 par solidarité ethnique (mis à part quelques cautions goïm, la totalité des dirigeants soviétiques sont juifs). La stratégie soviétique nécessite la création d’une force aéroportée forte de 10 corps d’armées. Pour cela, en comptant les réserves, il fallait un million de parachutistes, donc acheter des quantités impressionnantes de soie. Où trouver les devises ? C’est le beau-frère de Staline, Lazare Moïsevitch Kaganovitch, qui trouve la solution. Finale. Voler la totalité de la récolte de blé de l’Ukraine, du Kazakhstan et du Kouban pour l’exporter à l’étranger. Bien entendu, cela provoquera une famine gigantesque et des millions de morts, mais Kaganovitch peut sans aucun mal convaincre Staline de l’intérêt de voir exterminer des millions de chrétiens. En 1931, le génocide est en place, planifié par décision du Politburo du 5 janvier 1930 et exécuté par Kaganovitch et son bras droit en Ukraine, un certain Salomon Perlmutter qui gagnera une notoriété ultérieure à l’Ouest sous le nom ad usum goyim de Nikita Khrouchtchev… Les activistes communistes razzient les villages, volent le grain… Affamés, les paysans fuient vers les villes où l’armée et la police les chassent vers les campagnes où ils meurent de faim. Staline déclare : « Il s’agit d’une guerre à mort contre ceux qui mènent une guerre de sape contre le pouvoir soviétique. Un sabotage silencieux (…) Les coupables devront répondre de leur comportement ». Le monde savait, informé par le consulat d’Italie. Aussitôt, l’URSS fit donner son réseau négationniste et collaborateur : Edouard Herriot en France, William Duranty aux Etats-Unis, Webb en Grande-Bretagne vont prétendre qu’il n’y a pas d’holocauste en Ukraine. Le bilan est lourd : 7 millions de morts en Ukraine, 2 millions dans le Caucase et le Kazakhstan… En 1941, ces peuples martyrs, accueilleront les Allemands venus les libérer. Hélas, l’agent du NKVD Martin Bormann intriguera pour que le communiste infiltré Koch soit nommé comme Gauleiter d’Ukraine afin de saboter les relations entre le peuple ukrainien et le peuple allemand. Ce génocide permettra aux différents mouvements communistes de théoriser « l’arme de la faim » : utiliser une famine sciemment provoquée pour exterminer les population rebelles : Chine, Cambodge, Vietnam, Angola, Mozambique, Nicaragua… Cette arme sera également utilisée par les régimes ploutocratiques contre l’Allemagne en 1919 et en 1945. Au nom du devoir de mémoire, l’Ukraine a décidé de voter une résolution qualifiant de « génocide », malgré l’opposition des communistes. Ils espèrent également faire reconnaître le génocide par les Nations-Unies. Nous sommes persuadés qu’ils n’y arriveront pas… Comme je l’ai dis, l’ONU est construite sur les terres de Rockefeller, propriétaire de l’ancienne Standard Oil, principal soutien financier de l’URSS de Staline…

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